L’identité de la femme retrouvée décapitée à Petit-Raffray, le 13 juillet, demeure toujours inconnue.
Publicité
Si dans un premier temps, une certaine Anoushka A. a reconnu les vêtements de la victime comme étant ceux de sa mère portée disparue, elle s’est ravisée lorsqu’elle a vu le cadavre. Dix jours après la découverte du cadavre démembré et en état de décomposition, le champ de cannes a été passé au peigne fin, mais aucun indice pouvant mettre les enquêteurs sur une piste n’a été retrouvé. Le mardi 19 juillet, une dénommée Anouska A. a alerté la police de la Northern Division après avoir découvert des traces de sang au domicile de sa mère. Étant donné que cette dernière est portée manquante, elle a tout de suite informé la police. Anouska a identifié les vêtements de la victime comme étant ceux de sa mère. Mais jeudi, à l’identification du cadavre, elle s’est ravisée. De plus, selon les informations recueillies, la mère d’Anouska s’est rendue à l’hôpital de Flacq jeudi 14 juillet, soit un jour après la découverte du cadavre décapité. L’employeur de cette dernière a aussi affirmé aux enquêteurs, que le lundi 27 juin, Shrimati, la mère d’Anouska, lui aurait confié que son époux et elle déménageraient à Flic-en-Flac. La police lance un appel à témoins pour faire la lumière dans cette affaire. La victime portait un churidar de couleur fuchsia, des leggings noires et du vernis à ongles rose pâle. Toute information susceptible de faire avancer l’enquête doit être communiquée sur les numéros suivants : 208 0034/35 et/ou 264 9709.
Notre service WhatsApp. Vous êtes témoins d`un événement d`actualité ou d`une scène insolite? Envoyez-nous vos photos ou vidéos sur le 5 259 82 00 !