Le déblayage pour faire place au Metro Express se poursuit.
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Après les maisons de Grande-Rivière-Nord-Ouest, ce sont celles de Barkly figurant sur le tracé qui ont commencé à être démolies le jeudi 30 novembre. Les bulldozers du contractuel ont rasé une partie des maisons et clôtures de six familles. Pour l’heure, difficile de savoir le nombre de logements et de structures ayant été détruits.
Les habitants eux-mêmes disent avoir été pris par surprise. « Nous savions que la démolition allait avoir lieu, mais les représentants du ministère des Infrastructures publiques nous avait dit que cela se ferait en janvier », indique Jonathan Gafoor, un habitant de Résidence Barkly. Il dit qu’il n’a pas eu l’occasion de se frayer une autre issue pour sortir de sa demeure car le tracé passera devant sa propriété et il sera impossible pour lui d’accéder à la route.
Un déficit de communication plusieurs fois déploré par les habitants touchés par la démolition entraîné par le projet. Aucune information n’a transpiré sur le nombre de maisons de Résidence Barkly qui seront rasées. Les responsables de Metro Express Co. Ltd renvoient la responsabilité au ministère des Infrastructures publiques. Au ministère, une source maintient que c’est la firme qui doit communiquer des informations à ce sujet.
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