Flic-en-Flac, Mahébourg et Rodrigues.
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Ce sont les régions utilisables identifiées par le Mauritius Research Council (MRC) pour la construction de parcs éoliens offshore. Les résultats de ces études préliminaires ont été présentés le mercredi 26 octobre, lors d’un atelier de travail co-organisé par l’ambassade des États-Unis à la Cybercité.
Arjoon Sudhoo, président du MRC, a expliqué que ces informations préliminaires ont été extraites des données fournies par des satellites. En revanche, pour être sûr des résultats, il faudra notamment mener des études géotechniques sur les sites proposés.
« Dans le cas de Flic-en-Flac, nous avons choisi cette région à cause de la demande en électricité. Puis il y a toute la région du Sud-Est à cause du South-East Trade Wind », a souligné Arjoon Sudhoo. Il a toutefois tenu à préciser que l’on pourrait construire une ferme éolienne n’importe où autour de l’île grâce à la position géographique du pays.
Gautier de Martene, spécialiste de la question pour General Electric, a été invité à l’atelier pour exposer les défis que devra relever le pays pour lancer un parc éolien offshore. Il a indiqué qu’avec une éolienne offshore, on pourrait produire de l’électricité pour satisfaire la demande pour 14 000 Mauriciens. Selon lui, la meilleure méthode pour attirer les investisseurs serait de réduire les risques en investissant massivement dans des travaux de recherche préliminaires, dont les résultats devraient être en accès libre.
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