L’Icac avait fait 190 recommandations à la NTA

Depuis que la boîte de Pandore a été ouverte, les cas présumés de fraude et de corruption pleuvent à la National Transport Authority (NTA). Pourtant, depuis 2004, l’Independent Commission against Corruption (Icac) a mené plusieurs enquêtes sur les possibles sources de corruption. Elle a remis à la direction de la NTA neuf Corruption Prone Areas Reports contenant 190 recommandations.  

Ce qui en intrigue plus d’un à la commission anticorruption. « Il y a anguille sous roche. Si ces recomman-dations avaient été appliquées, on n’aurait pas eu des cas à une telle échelle. Nous ne comptons pas rester les bras croisés bien qu’il n’y ait pas d’obligations légales de les mettre en pratique. Mais nous pouvons identifier les gens du Top Management qui ont laissé la situation s’envenimer », tempête-t-on dans le milieu de l’Icac. Nos démarches pour obtenir une réaction du Dr Koshik Reesaul, Road Transport Commissioner de la NTA, se sont avérées vaines.