Les drogues synthétiques sont moins chères que les autres stupéfiants importés quand elles sont préparées en grande quantité. Vu qu’elles sont disponibles en grande quantité sur le marché, les jeunes peuvent s’en procurer facilement. Les recherches ont démontré que les drogues synthétiques ont des effets néfastes sur la santé, entraînant des problèmes d’ordre psychiatrique ou des complications liées au cancer.
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La commission a souligné que c’est en avril 2013, que la drogue synthétique a fait son apparition dans le pays. Là où le bât blesse, c’est l’incapacité des autorités, que ce soit la Brigade anti-drogue (Adsu) ou le Forensic Science Laboratory (FSL), à pouvoir définir la composition de ces substances.
Ces drogues ont différents noms comme ‘C’est pas bien’, ‘Salvia’, ‘Strawberry’, ‘Elie ans Sons’, ‘113’, ‘Volcano’ et ‘Black Mamba’. Elles sont mélangées avec des substances disponibles localement par les trafiquants.
En 2013 que la Dangerous Drugs Act a été amendée pour introduire les New Psychoactive Substances (NPS). Selon les nouvelles dispositions légales, toute personne trouvée en possession des drogues synthétiques est passible de poursuites. Un gramme de cette drogue est vendu à Rs 1 500 et un kilo à
Rs 1, 5 million.
Campagne de sensibilisation
Afin qu’il n’y ait pas davantage de morts par overdose ou autres causes liées à la consommation de la drogue, une campagne de sensibilisation doit être lancée au plus vite à l’intention du public en général et en particulier auprès des étudiants, des jeunes et dans les lieux de travail, recommande le rapport. Le FSL doit procéder à l’acquisition de nouveaux équipements afin de permettre la détection des drogues synthétiques. Le FSL doit aussi être réorganisé et doit agir comme un centre d’excellence pour des analyses.
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