Etienne Sinatambou passe également à la trappe. Un temps porte-parole du gouvernement, l’ancien ministre travailliste, qui a « vire mam » en 2014, s’est lui aussi retrouvé au centre de diverses polémiques durant ces cinq dernières années.
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Bashir Jahangeer, qui a régulièrement croisé le fer avec Ivan Collendavelloo, paie cher ses prises de positions parfois anti-gouvernementales. Idem pour Sangeet Fowdar a qui il est reproché sa grande proximité avec le Parti travailliste.
L’ex-ministre de l’Egalité des genres, Roubina Jadoo-Jaunboccus, qui avait été éclaboussée par le rapport de la commission d’enquête sur le trafic de drogue en 2018, devra d’abord laver son honneur. « Nous sommes tombés d’accord que je ne ferai pas face à l’électorat cette fois », déclare-t-elle.
Sanjeev Teeluckdharry, qui avait également été égratigné par le rapport de la commission d’enquête sur la drogue, avait déjà informé de son souhait de ne pas être de la partie. « Je n’ai jamais caressé l’idée de demander un second mandat », dit-il.
Alain Wong, qui avait quitté le PMSD après la cassure entre le MSM/ PMSD/ML pour ensuite devenir ministre de l’Intégration sociale, se voit reprocher sa performance au gouvernement.
Les autres qui ne sont pas sur la liste des candidats du MSM/ ML sont : Raj Dayal, Sudesh Rughoobur, Pradeep Roopun et Kalyan Tarolah.
Sudhir Sesungkur n’obtiendra pas l’investiture du MSM. Il occupait le portefeuille des Services financiers et de la Bonne gouvernance.
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