Ce n’est pas tout le monde qui peut mener une grève de la faim. Le Dr Ishaq jowahir, vice-président de la Private Medical Practitioners Association, explique que si un gréviste de la faim souffre déjà de complications de santé, son action risque d’être néfaste pour lui.
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Le travailleur Salim Muthy, qui a déjà participé à trois grèves de la faim dans le passé, souligne qu’il garde toujours des séquelles de ces actions.
Depuis le lundi 16 octobre, cinq femmes employées comme agents de nettoyage dans diverses écoles du pays par des sous-traitants ont entamé une grève de la faim au jardin de la Compagnie afin de protester contre leurs conditions de travail. Elles touchent la modique somme de Rs 1 500 en guise de salaire mensuel. Elles sont accompagnées dans ce mouvement de grève par les syndicalistes Reaz Chuttoo et Jane Ragoo.
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