Le Central Criminal Investigation Department (CCID) enquête sur les circonstances entourant la mort du constable Arvind Hurreechurn. Cet habitant de Temple Road, Rivière-du-Rempart, a été retrouvé mort dans sa cellule au Moka Detention Centre dans la nuit du samedi 29 au dimanche 30 octobre.
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L’autopsie a conclu qu’il est mort d’une asphyxie due à la pendaison. Selon les premiers éléments de l’enquête, le constable Arvind Hurreechurn, 30 ans, s’est donné la mort dans sa cellule.
Le commissaire de police Mario Nobin, dans une déclaration à Radio Plus ce lundi 31 octobre, affirme que c’est la procédure normale d’ouvrir une enquête lorsqu’il y a mort d’homme dans une cellule policière (écoutez ses explications sur notre player plus haut).
La version des policiers qui étaient de service au Moka Detention Centre samedi soir a été enregistrée ce lundi matin par les hommes de l’assistant commissaire de police Devanand Reekoye, patron du CCID. Les enquêteurs ont aussi pour tâche de visionner les images des caméras de surveillance installées dans les cellules.
Affecté au poste de Piton, le constable Arvind Hurreechurn avait été arrêté à l’aéroport de Plaisance mardi 25 octobre avec deux kilos d’héroïne estimés à Rs 35 millions. Un autre policier a été arrêté dans cette affaire.
La mort d’Arvind Hurreechurn risque-t-elle d’affaiblir l’enquête dans l’affaire de trafic de drogue dans laquelle il était impliqué ? L’avocat Siddhartha Hawoldar nous donne son avis. Ecoutez ci-dessous ses explications.
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