Comment développer la zone économique spéciale de Jin Fei ? Le projet de Dubai Ports World (DP World) n’étant plus d’actualité, le gouvernement se retrouve avec 325 arpents de terres sur les bras. Ces terres faisaient partie du deal potentiel avec DP World pour la création d’une zone franche à Riche-Terre.
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Un comité spécial a été institué par l’hôtel du gouvernement pour accorder différentes portions à 13 sociétés désireuses de démarrer des projets au coût total de Rs 3,5 milliards. Le montant de ces investissements s’avère être l’une des raisons ayant motivé le comité interministériel présidé par le vice-Premier ministre et ministre du Logement et des Terres, Showkutally Soodhun, à enterrer le projet DP World lors d’une réunion dudit comité, le mardi 10 janvier.
Le troisième opérateur portuaire au monde était disposé à injecter seulement Rs 700 millions pour développer une zone franche calquée sur le modèle du Jebal Ali Free Zone, à Dubaï, où des appareils électroniques fabriqués dans les pays du Sud-Est de l’Asie allaient être assemblés sur place avant d’être exportés vers l’Afrique.
Ces terres reprises par le précédent gouvernement à des planteurs de Riche-Terre étaient initialement destinées au projet de zone économique spéciale du promoteur chinois Tianli. Le projet n’ayant jamais vu le jour, les terres ont été cédées par la suite au consortium chinois Jin Fei.
D’ici un mois, le comité interministériel devra identifier lesquels de ces 13 projets tiennent la route avant d’accorder les permis de développement.
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