Deux ex-employés de Landscope Mauritius demandent leur réintégration au sein de l’organisme. Deux correspondances ont été adressées en ce sens au Chairman de Landscope Mauritius.
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D’abord, celle d’Atma Shanto de la Fédération des Travailleurs Unis (FTU) et qui dans une lettre, fait part du sort d’une employée dont le contrat a été résilié par un comité disciplinaire en février 2019. L’employée souhaite être réintégrée à son poste. Le ministère du Travail a été informé de la situation. Selon Atma Shanto, si le cas n’est pas résolu, cela peut déboucher sur une action de grève de la faim.
La deuxième correspondance a été rédigée par le syndicaliste Narendranath Gopee de la Fédération du Service Civil and Other Unions (FCSOU). Un employé a été mis à la porte en avril dernier. Selon le président de la fédération, il s’agirait d’ «un licenciement injustifié».
« L’employé avait des problèmes de santé. Il avait même présenté des certificats médicaux lorsqu’il s’était présenté devant un comité disciplinaire. Mais on ne les a pas acceptés. On peut dire que Landscope Mauritius a été mal motivé sa décision», a précisé Narendranath Gopee.
Sollicité pour une réaction par Radio Plus, Gérard Sanspeur affirme être au courant de ces deux dossiers. Le chairman de Landscope Mauritius rassure les syndicalistes que leurs points de vue seront pris en considération lors d’une réunion du conseil d’administration programmée le 25 juillet prochain.
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