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Lallmatie : soupçonné d’avoir frappé à mort son père, le fils de la victime nie les faits

Le jeune suspect a indiqué aux policiers qu’il n’était pas présent dans la maison familiale au moment des faits

Le jeune homme de 22 ans était recherché depuis ce samedi matin, 28 septembre, à Lallmatie. Il est soupçonné d’avoir frappé son père, Hiteshwar Domun, et qui est décédé des suites de ses blessures aux petites heures de ce samedi.
 

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Le principal suspect dans cette affaire de parricide a été arrêté dans l’après-midi. Interrogé par les policiers, il a nié pour l’instant avoir tabassé son père, hier vendredi soir, après une soirée arrosée, comme l'ont révélé les premiers éléments de l’enquête.
 

Le jeune suspect a indiqué qu’il n’était pas présent dans la maison familiale au moment des faits. Une déclaration qui ne correspond pas à d’autres témoignages recueillis auparavant.
 

Séparée depuis six ans de son mari, la femme de la victime, Indira Domun, interrogée par Radio Plus, avait confirmé aujourd'hui aux alentours de 13h que son fils l’avait appelée ce samedi matin pour lui dire qu’il avait frappé son père. Selon les déclarations d’Indira Domun, «son mari était violent envers elle et ses enfants» quand elle vivait sous le toit conjugal. «Papa la bocou dominer», avait-t-elle aussi affirmé.
 

Par ailleurs, dans le voisinage, les langues avaient également commencé à se délier. Une voisine avait raconté qu’elle avait entendu beaucoup de bruit hier soir. La voisine avait même précisé avoir menacé le suspect «d’appeler la police si le tapage nocturne ne s’arrêtait pas». Elle avait déclaré qu'«il y avait souvent des disputes dans cette maison sur fond d’alcool».
 

Pour rappel, des policiers ont retrouvé Hiteshwar Domun, âgé de 44 ans, gravement blessé, ce samedi matin, 28 septembre, sur le bord d’une route à Lallmatie. Le quadragénaire présentait d’importantes blessures sur tout le corps.
 

L’habitant de la localité a été transporté d’urgence à l’hôpital de Flacq. Peu de temps après son admission, il est décédé des suites de ses graves blessures. Le quadragénaire a confié aux policiers avant de mourir qu’il avait été agressé par son garçon de 22 ans.

 

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