Poursuivi pour avoir fait travailler des Mauriciens au noir dans ses vergers et ses champs de canne, le Réunionnais Maximin Samarapaty a été fixé sur son sort en fin de semaine. La cour d’appel a confirmé la condamnation pour travail dissimulé et la relaxe pour le délit de traite d’êtres humains. Un jugement contesté par le parquet qui avait fait appel.
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Condamné en première instance à 2 ans de prison avec sursis et 45,000 euros d’amende, l’agriculteur de Sainte Suzanne payera donc son amende fiscale.
C’est en 2014 que cette affaire a éclaté. Des policiers aux frontières avaient reçu des renseignements concernant plusieurs Mauriciens qui travaillaient clandestinement dans une exploitation réunionnaise de fruits et de canne.
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