Des rires aux éclats, des sourires radieux. Des voix d’enfants, petits et grands, qui se mêlent dans un joyeux brouhaha. Chez Abaim, les plaisirs simples de l’enfance sont célébrés chaque jour à travers les jeux d’antan auxquels ils s’abandonnent avec innocence.
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Avant que la technologie ne déferle sur le monde, transformant irrémédiablement notre façon de vivre, nos interactions avec notre entourage, nos loisirs, reléguant au second plan les petits plaisirs simples de la vie, nos enfants pédalaient sur le vélo noir appelé « bisiklet korbo », jouaient à la marelle, à la corde à sauter, au sapsiway, à l’élastique, aux billes, à la roue et à son « ariaz » fabriqué avec une boîte de fromage en métal, au jeu du talon fait avec des coquillages, au badminton en plein air, aux dominos… Ils lisaient, en groupe ou en solo, partageant une complicité sans pareille, profitant pleinement de l’instant présent.
Chez Abaim, on continue, cependant, de cultiver cette joie de vivre et cette créativité à travers notamment la pratique des jeux traditionnels, qui sont la richesse de notre pays. Les anciens ont inculqué aux générations suivantes le développement émotionnel, en leur apprenant à fabriquer et à jouer des instruments comme la ravanne, confie Alain Muneean, formateur de musique.
Il ajoute que chez Abaim, ce sont les enfants eux-mêmes qui enseignent à leurs camarades ces jeux traditionnels, assurant ainsi la transmission.
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