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La plage de Flic en Flac, un véritable studio à ciel ouvert

La Plage de Flic-en-Flac, converti en studio à ciel ouvert.

Un dauphin avec son petit dans le lagon et a l’arrière se trouve un château, construit par Rajesh Chamroo, un habitant de Flic-en-Flac.

La sculpture commence à prendre forme.

Des Tresses nattées dans le sable représenter un rastaman.

Une représentation de Shiva sous sa forme la plus proche de l’absolu, dit l’artiste.

Cette sculpture divisée en deux parties distinctes représente le cerveau humain.

Une Sirène prise au piège des fléaux de ce monde. Une oeuvre réalisée par Evans Benjamin, Pallavi Saminaden, Matthieu Dabidin et Gregory Lingadoo, tous en 2ème Année à l’Ecole des Beaux-Arts au MGi.

Cette sculpture, nommée “Pans MWA”, a été créée par Ketsia Veerabudren, Keniel Veerabudren, Merija Permal, Elija Permal et Youstasha Jugloll. Ces talentueux artistes viennent du Collège St. Andrew’s et du SSS de Beau Bassin.

L’eveil spirituel est un une étape du parcours de vie de tout être humain. C’est le message que veut transmettre cette sculpture.

Une sculpture représentant une tortue prise au piège.

Une oeuvre illustrant la relation entre l’humanité et les animaux.

Un travail pour mettre en évidence la cruauté des humains envers les animaux, notamment sur la plage de Flic en Flac où de nombreux chiens ont été retrouvés morts en février 2023.

Des cachalots symbolisant l’influence néfaste de la cigarette et de la drogue avec leurs conséquences tragiques pour les familles.

Une baleine bleue pour représenter l’impact de la pollution par le plastique sur l’environnement et les animaux marins.

La plage de Flic en Flac s’est transformée en un véritable studio à ciel ouvert le samedi 15 juillet 2023. 

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Le groupe Forces Vives de Flic-en-Flac a organisé une compétition de sculptures sur sable sur la plage de la localité. Cet événement, qui s’est tenu pendant les trois dernières années avant la pandémie, revient aujourd’hui avec sa quatrième édition. 

La compétition réunit une cinquantaine de participants âgés  de cinq à 50 ans. Des habitants de Flic-en-Flac et des étudiants de l’École des Beaux-Arts du MGI y ont participé. 

Les artistes de plage avaient la liberté de choisir leur thème, en fonction de l’actualité locale et internationale. Ils ont privélégié l’environnement, le changement climatique, la faune et la flore, ainsi que les problèmes sociaux à Maurice. 

Cette compétition vise à mettre en valeur les compétences de chaque participant. Les organisateurs se disent satisfaits du nombre de participants.

Krishna Luchoomun, enseignant à l’École des Beaux-Arts au MGI et designer renommé faisait partie du jury. 

 

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