À la découverte de Papang : le premier téléphérique de l’océan Indien

Une équipe sympathique accueille les passagers.

Un petit coucou aux autres passagers.

Les petits aiment les petites balades dans les cabines flottantes.

Des travaux sont effectués en ce moment pour une aire de stationnement près des stations.

Le ticket est valable pour deux heures.

Cinq belles gares et trois stations intermédiaires (Campus, Moufia, Bancoul).

Chaque cabine contient dix places. 46 cabines desservent le trajet.

Une vue panoramique s’offre aux utilisateurs.

Cette station donne un coup de neuf au Chaudron.

Un nouveau bijou retient en ce moment l’attention dans l’océan Indien. Pleins feux sur l’île de la Réunion, où une nouvelle télécabine relie Le Chaudron (dans l’est de Saint-Denis) à Bois de Nèfles (au nord) en quatorze minutes. Il a été baptisé Papang. Opérationnel depuis le 15 mars, le téléphérique est un nouveau mode de transport. Il vise à décongestionner la ville, mais c’est aussi une attraction pour les touristes et pour ses habitants. Reportage en images…

Pourquoi Papang ?

Le nom Papang a été choisi par les Réunionnais. Le Busard de Maillard est un oiseau appelé Papangue ou Papang à l’île sœur. C’est un rapace endémique qui fait partie des espèces protégées de la Réunion. Il est classé en danger d’extinction depuis 2004.

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