Dans certains cas, la variole du singe peut tuer. Notamment si des personnes sont immunodéprimées. Affirmation du Dr Indrajit Hazarika, nouveau représentant de l’Organisation mondiale de la santé à Maurice. Il participait à un atelier dans le cadre de la Journée mondiale du donneur de sang observée hier.
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Il explique le « monkeypox » peut également représenter un risque pour les femmes enceintes. Le Dr Indrajit Hazarika répondait aux questions de la presse sur les 72 décès dus à la variole du singe enregistrés en région africaine depuis le 13 mai dernier.
Il précise que la décision finale de l’OMS sur la déclaration d’une éventuelle urgence internationale est attendue jeudi prochain.
Dans une publication en ligne hier, le 14 juin, lindependant.fr fait état des 72 décès. « À la fin de la semaine dernière, l’OMS avait détecté 1 285 cas dans 28 pays et 1 536 cas suspects (59 confirmés) dans des pays africains, dont 72 décès. »
On indique cependant qu’aucun décès n’a été enregistré en dehors de l’Afrique.
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