Agressé à la matraque dans une boulangerie

Un quinquagénaire de la capitale, A.J, affirme avoir été agressé, mardi, par des employés d’une boulangerie du Ward IV, Port-Louis. Il a consigné une déposition à cet effet au poste de police de Line Barracks. Selon la victime, les faits se seraient déroulés vers 18 heures. A.J revenait de son travail et s’est rendu à cette boulangerie pour acheter du pain pour lui et ses deux fils pour le repas du soir. « Le boulanger m’a demandé d’attendre quelques minutes car il venait de mettre les pains au four. J’ai attendu une dizaine de minutes. Ensuite, lorsque les pains étaient prêts, je lui ai remis un sac dans lequel il a mis les pains. Après, je suis rentré à la maison », raconte-t-il. Une fois chez lui A.J s’aperçoit avec stupéfaction que quelques-uns des pains que lui a remis le boulanger étaient froids. « Je suis aussitôt retourné à la boulangerie pour me plaindre. C’est là qu’un préposé a commencé à m’agresser verbalement. Li koz arrogan ar mwa. Li dir : ki mo kapav fer mwa, mo fek vini. Je lui ai demandé de baisser le ton et je lui ai dit que ce n’est pas une bonne façon de parler aux clients. C’est alors qu’un des proches du boulanger est venu vers moi, une matraque à la main, et il a commencé à me donner des coups. J’ai beau essayé de me défendre, mais en vain. Ils étaient trois contre moi. Je suis tombé et mes vêtements ont été déchirés. Les autres clients sont restés impassibles », explique la présumée victime. Pris de douleur à l’estomac, à la main et au genou, A.J décide de regagner son domicile avant de se rendre au poste de police de Line Barracks où il a consigné une déposition contre ses trois agresseurs. « Je suis une personne sans histoire et je ne suis pas du genre à chercher la bagarre. Mais ce n’est pas la première fois qu’ils s’adressent mal à un client », affirme A.J. [padding-p-1 custom_class=""][/padding-p-1]

« Le voleur arrêté avant la déposition de la victime »

Prompte intervention des éléments de la Divisional Crime Intelligence Unit de Flacq mardi. Les policiers patrouillaient à Riche-Mare quand ils ont remarqué un homme à l’allure louche. Ce dernier, âgé de 21 ans, originaire de Poste-de-Flacq, est connu des services de police. En s’approchant du jeune homme, les policiers ont remarqué qu’il avait à son cou un médaillon portant d’autres initiales que les siennes. Quand les policiers l’ont interrogé, il a avoué l’avoir volé à une dame au marché. Peu après, la victime s’est présentée au poste de police pour consigner une déposition pour le vol de son médaillon. Le suspect a été identifié par la victime. Il a été maintenu en cellule policière. Le prix du médaillon est estimé à Rs 5 000.

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« Agression sauvage d’un maçon »

Un maçon de 31 ans habitant Riche-Mare a été sauvagement agressé dans la nuit de mardi. Il se trouvait dans la localité quand il a été accosté et violemment agressé par un groupe de gens. Grièvement blessé, la victime s’est précipitée au domicile de son cousin qui l’a transporté à l’hôpital de Flacq où il a subi une intervention chirurgicale. Son état de santé inspire de vives inquiétudes. En raison de son état, il n’a pas encore donné sa version des faits aux enquêteurs.

« Rs 77 500 bijoux volés »

Elle ne sait plus à quel saint se vouer. Une habitante de Cent-Gaulettes, dans la région de Flacq, âgée de 34 ans, a eu la désagréable surprise de voir que des bijoux qu’elle avait conservés dans son armoire avaient disparu. Le butin s’élève à Rs 77 500. Il n’y a aucune trace d’effraction.