Harcèlement, arnaques, piratages et sextorsion : les adolescents sont de plus en plus touchés par ces fléaux.
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« La cybercriminalité n’est pas virtuelle, elle est bien réelle et peut détruire des vies », a déclaré la ministre Arianne Navarre-Marie. C’était lors d’un atelier de travail consacré à l’adolescence et à la cybercriminalité, au Conseil municipal de Port-Louis, ce jeudi, 9 septembre.
La cybercriminalité reste un fléau en forte expansion avec 5 200 cas enregistrés en 2024.
Arianne Navarre-Marie a souhaité que cet atelier, aboutisse à des propositions concrètes pour renforcer la sensibilisation et tracer une feuille de route nationale.
De son côté, le ministre des TIC’s, Avinash Ramtohul, a fait part que cinq cas de cybercriminalité sont signalés chaque jour. Il a annoncé une révision du cadre légal pour mieux protéger les victimes.
Marc Pierre
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