Après l’agression d’Aslam Noorsing, qui a eu les poignets sectionnés, celle du couple Adrien, où l’épouse a perdu l’usage d’un bras, et la maison saccagée de Dass Ramasawmy, des habitants du Sud disent vivre dans la peur. Les victimes d’un présumé « gang du Sud » étaient présentes lors d’une conférence de presse, organisée par le Comité de soutien pour la justice, le mercredi 25 mai à l’hôtel Le Saint-Georges, Port-Louis.
Bien que les victimes aient pu identifier certains des agresseurs, la police ne les aurait aucunement inquiétés, allègue le comité. Pourtant, ajoute le porte-parole, Riad Hillemuth, certains membres de ce gang sont en liberté conditionnelle pour divers délits, dont ceux de « damaging property by band » ; « attempt at murder » ; « serious assault » ; « giving instruction to commit crime » et « profanation ».
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