Akai Fisheries Ltd met les points sur les i concernant les facilités de financement demandées auprès de la Mauritius Investment Corporation (MIC). Cela, à la suite des récentes déclarations d’un membre de l’Assemblée nationale.
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Dans un communiqué, ce mercredi 28 juillet, le conseil d’administration et les actionnaires de l’entreprise tiennent à souligner les points suivants :
• La famille à la tête du groupe n’a aucun lien privilégié, politique ou familial, de près ou de loin, avec le gouvernement au pouvoir. De plus, aucune des sociétés gérées par le groupe n’opère à Angus Road.
• Akai Fisheries Ltd répond aux exigences de la MIC pour bénéficier d’un prêt. L’un des trois critères d’éligibilité vise les entreprises investissant dans un portefeuille diversifié d’actifs de croissance, dans le but de générer de la richesse pour les futures générations de Mauriciens, comme indiqué sur le site web de la MIC.
• Une telle requête est assujettie d’un certain nombre de conditions, notamment des garanties d’ordre légal et financier, mais aussi d’engagements, tels qu’un montant de participation dans le capital du projet.
Akai Fisheries Ltd a effectivement été incorporée en janvier 2021. Il s’agit d’un « Special Purpose Vehicle (SPV) », une entité privée créée pour investir dans un outil de pêche spécifique. Cette pratique est par ailleurs courante pour les acteurs internationaux dans le monde de la pêche industrielle.
Par ailleurs, dans le communiqué, le conseil d’administration d’Akai Fisheries Ltd et ses actionnaires disent déplorer les propos diffamatoires à l’égard de la société et de ses directeurs.
Ils se réservent le droit de prendre toute mesure ou d’engager toute action qu’ils estiment nécessaires pour protéger la réputation, l’intégrité et le bon déroulement des affaires de l’entreprise.
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