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En revenant de son jogging : violée alors qu’elle était inconsciente

Sandrine (prénom modifié) a vécu la pire soirée de sa vie samedi. Cette habitante du Sud de 46 ans revenait de son jogging quand un homme l’a agressée à la tête. Elle s’est ensuite évanouie. Mais lorsqu’elle a repris connaissance, elle s’est retrouvée à moitié nue sur un terrain à Souillac. Elle portait des blessures sur le corps et entre les jambes. Elle ressentait également des douleurs aux parties intimes. Elle allègue que son agresseur l’a violée. Ce dernier est activement recherché par la police.

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 Sandrine se souvient avoir quitté sa demeure vers 17 heures ce jour-là pour faire son jogging. Quand elle était sur le chemin du retour, il faisait déjà nuit. Un inconnu l’a violemment agressée à la tête avec un gourdin. L’impact a été tel que Sandrine s’est évanouie. L’individu l’aurait ensuite soulevée avant de la déposer sur un terrain vague à Souillac.

Environ une demi-heure plus tard, Sandrine s’est réveillée. Elle a eu la désagréable surprise de constater qu’elle était à moitié nue. Elle avait des blessures sur plusieurs parties du corps. Son visage était boursouflé. Elle ressentait des douleurs aux parties intimes et portait de légères blessures entre les jambes. Elle a compris qu’elle avait été violée. Elle est aussitôt rentrée pour raconter sa mésaventure à sa mère.

Dimanche, Sandrine a porté plainte au poste de police de Chemin-Grenier. Elle a ensuite été conduite à l’hôpital Jawaharlal Nehru de Rose-Belle où elle a été admise après avoir reçu les soins nécessaires. Elle a remis ses vêtements à la police pour qu’elle les envoie au Forensic Science Laboratory. Lundi, la victime a été examinée par un médecin légiste.

Contactée, Sandrine dit avoir vécu un véritable cauchemar. « Kan mo finn regayn konesans, monn panike e ti pe fer nwar partou. Mo mem pa ti kone kot mo ete. Salerla kan monn trouve pena mo jeans lor mwa, monn soke e monn abriti. J’étais effrayée mais j’ai essayé de trouver le courage de me rhabiller. En voyant un supermarché, j’ai su que j’étais à Souillac. Bien que traumatisée, j’ai pris mes jambes à mon cou pour rentrer chez moi. »

Elle dit ignorer l’identité de son agresseur : « J’ai l’habitude de faire du jogging et je pars souvent à la mer pour faire un peu de marche. Mo pa finn remarke si kikenn finn swiv mwa. Je suis en bons termes avec tout le monde. » L’enquête est supervisée par l’inspecteur Doollub.

 

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