Le bureau du Haut-Commissaire des Nations-Unies aux droits de l’homme a répondu positivement aux sollicitations d’Anishta Babooram.
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Le 16 juin dernier, elle a porté à l’attention de cette instance les circonstances dans lesquelles le bureau du Premier ministre l’a éjectée de la National Human Rights Commission, accusant le gouvernement de se débarrasser d’elle par « vendetta politique ».
Mardi, le bureau du Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme a répondu en indiquant que « the subcommittee on prevention of torture is looking into the matter » et lui demandant de confirmer qu’elle n’avait aucune objection à ce que ce sous-comité « raise the issue with the Government of Mauritius ».
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