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Divali, un message d’amour, de partage et d’espoir pour tous - Arvin Boolell : «Que la lumière illumine le cœur de chaque Mauricien»

La fête de Divali revêt une signification particulière pour Arvin Boolell. Pour le ministre de l’Agro-industrie, Divali est avant tout un moment privilégié pour transmettre les valeurs de lumière, de partage et de bonté.

À chaque Divali, Arvin Boolell retrouve la flamme de son enfance, intacte malgré la vie politique. Pour lui, cette fête dépasse la religion : elle symbolise la victoire du bien, de la vérité et de la lumière, tout en rassemblant les Mauriciens autour de la paix et du partage.

« Que la lumière illumine le cœur de chaque Mauricien, » déclare Arvin Boolell, d’une voix empreinte d’émotion. Ces mots résonnent comme un vœu sincère, nourri de souvenirs d’enfance et de valeurs profondément ancrées. 

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C’est à la rue Saint-François Xavier, au cœur de Port-Louis, que le ministre de l’Agro-industrie, de la Sécurité alimentaire, de la Pêche et de l’Économie bleue a grandi, entouré de ses cousins, voisins et amis.  Chaque année, à Divali, la maison familiale se transformait en un véritable havre de joie et de fraternité. Les odeurs de gâteaux, le parfum du ghee et des fleurs emplissaient la cour. Les rires fusaient, les enfants s’impatientaient pour allumer les premières lampes en terre cuite.

« Je revois les rangées de diyas que ma mère allumait, une à une, avec tant de soin », se souvient-il avec nostalgie. Il ajoute : « Divali, c’était la fête du cœur. Il n’y avait pas de distinction entre les différentes communautés mauriciennes. Tout le monde venait partager un gâteau, allumer une lampe. C’était ça, Maurice ».

Dans la ruelle animée, les enfants lançaient des pétards, les familles échangeaient des douceurs, et la nuit tombée, les promenades à travers la capitale révélaient un spectacle féerique. Des milliers de lampes scintillaient sur les vérandas, illuminant les visages, les rues et les âmes.

De toutes les douceurs préparées pour la fête, le gâteau patate occupe une place particulière dans le cœur d’Arvin Boolell. « C’est mon préféré, et il le restera toujours », confie-t-il en souriant. À l’époque, chaque foyer en préparait en grande quantité, avec des recettes transmises de génération en génération. Aujourd’hui encore, il ne manque jamais d’en goûter quelques-uns préparés par ses proches ou offerts par des familles de sa circonscription.

Le député de Belle-Rose/Quatre Bornes reçoit en effet, à chaque Divali, des dizaines d’invitations à des cérémonies, à des partages de gâteaux et à des prières. « Je suis profondément touché par cette affection. C’est un moment où je sens la proximité avec les gens, où je mesure la beauté du vivre-ensemble mauricien », souligne-t-il.

Dans sa circonscription, comme dans tant d’autres coins du pays, cette fête est devenue un moment de communion nationale. Des familles de toutes confessions ouvrent leurs portes, s’échangent des vœux, des gâteaux, des sourires. Arvin Boolell veille à honorer ces invitations, non pas comme un homme politique, mais comme un Mauricien parmi les autres.

Un moment en famille

Cette année encore, il a tenu à vivre Divali en famille, dans la simplicité et la tendresse. Lundi, après les diverses cérémonies auxquelles il compte assister dans sa circonscription, il passera l’après-midi avec ses deux petits-enfants. « Les voir courir dans la cour avec des lampes dans les mains me ramène à mon propre passé », confie-t-il avec émotion. « Divali, c’est avant tout pour eux, pour leur transmettre la valeur de la lumière, du partage, et de la bonté », ajoute-t-il.

Entre éclats de rire et moments de recueillement, la journée s’achève dans la sérénité d’une prière familiale. Dans le silence du soir, le politicien se recueille pour ceux qui traversent des épreuves. « Dans ma prière, je pense toujours à ceux qui souffrent, ceux qui combattent des maladies, ceux qui vivent dans la solitude ou la précarité. Divali doit être un rappel que la lumière triomphe toujours de l’obscurité », dit-il.

Un message d’unité et d’espoir

Pour Arvin Boolell, Divali dépasse les rituels : elle est un état d’esprit, une philosophie de vie. « La lumière ne brille pas seulement dans les lampes, mais surtout dans le cœur de l’homme », dit-il avec sagesse. Dans un pays parfois traversé par les divisions et les tensions, il souhaite que cette fête soit un rappel que la force de Maurice réside dans son unité.

« Nous devons rallumer la flamme de l’empathie, de la bienveillance et de la solidarité. Divali nous enseigne que chaque geste, aussi petit soit-il, peut illuminer la vie de quelqu’un », fait-il ressortir.

Un politicien au grand cœur

Ce message, il le porte également dans son engagement public. Depuis des décennies, il reste fidèle à son image de politicien de proximité, celui qui écoute, qui marche parmi les gens, qui s’arrête pour serrer une main, pour échanger un mot bienveillant. « Je crois profondément qu’aider l’autre sans rien attendre en retour, c’est la plus belle forme de service », confie-t-il.

Dans son parcours politique, Arvin Boolell s’est toujours distingué par sa constance, sa retenue et son humanité. Derrière le costume du parlementaire, il y a un homme sensible, ému par la souffrance d’autrui, attentif à la moindre injustice. Ses proches le décrivent comme un homme discret, mais d’une grande écoute, toujours prêt à apporter un mot d’encouragement ou une aide concrète.

« Mettre un sourire sur les lèvres de ceux qu’on croise, c’est déjà changer un peu le monde », aime-t-il à répéter. Cette devise guide sa vie autant que sa carrière. Qu’il s’agisse d’une simple visite à une famille endeuillée ou d’un geste envers un citoyen dans le besoin, il agit sans ostentation, fidèle à l’éducation reçue dans son foyer de Port-Louis.

Pour lui, la lumière de Divali n’appartient pas à une religion, mais à toute l’humanité. Elle symbolise l’espoir qui renaît, la compassion qui guérit, la foi en des lendemains meilleurs. « Dans un monde où la violence, les conflits et les souffrances se multiplient, nous avons besoin plus que jamais de lumière intérieure », dit-il.

Cette année encore, il souhaite que Divali apporte la paix dans chaque foyer, la prospérité dans chaque famille et la sérénité dans chaque cœur : « Que la lumière du bien triomphe du mal, que la vérité l’emporte sur la haine, et que chaque Mauricien retrouve cette flamme d’unité et d’amour qui a toujours fait notre force ».

Pour Arvin Boolell, le véritable Divali n’est pas seulement celui qu’on célèbre avec des lampes et des gâteaux, mais celui qui se vit dans la bienveillance et la solidarité. « Allumer une lampe, c’est symbolique. Mais illuminer le cœur de quelqu’un, c’est spirituel. Et c’est cela, la vraie signification de Divali », fait-il remarquer.

Entre souvenirs d’enfance, valeurs humaines et engagement politique, Arvin Boolell incarne cette génération de Mauriciens qui voient dans chaque fête une opportunité de rapprocher les cœurs. Et cette année encore, à la lueur des diyas, il formulera le même vœu : « Que la lumière de Divali continue d’éclairer le chemin de Maurice, dans l’unité, la paix et l’amour ».

 

 

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