Diagarajen Carpanen: l’ingénierie dans la peau

[[{"type":"media","view_mode":"media_large","fid":"18201","attributes":{"class":"media-image size-full wp-image-30986","typeof":"foaf:Image","style":"","width":"1280","height":"720","alt":"Diagarajen Carpanen."}}]] Diagarajen Carpanen participant au SET For Britain en 2013, un événement qui permet aux chercheurs de présenter leurs travaux aux membres du parlement britannique.

</div> [row custom_class=""][/row] « En 2010, un de mes superviseurs à l’Université de Maurice m’a informé que le Higher Education Funding Council de l’Angleterre offrait une bourse d’études. Il m’a encouragé à m’inscrire. Cependant, les inscriptions étaient déjà closes quand j’ai pris connaissance de la nouvelle. Malgré cela, j’ai envoyé ma candidature », raconte-t-il. À sa grande surprise, il est contacté par le Higher Education Funding Council et il est invité à participer à un entretien en ligne. Il passe haut la main les phases de sélection. Il est alors retenu pour un doctorat en « Computational Biomechanics » à Anglia Ruskin University, même s’il ne détient pas de maîtrise. La bourse l’offre aussi l’occasion d’être chargé de cours. En 2014, il est embauché en tant que Research Assistant pour le Royal British Legion Centre for Blast Injuries Studies au Imperial College London. « Mon rôle consiste à élaborer des systèmes pour protéger les soldats britanniques dans des chars de combat contre des mines et des embuscades. De plus, nous devons conduire des expériences et des simulations pour tester l’efficacité des solutions de protection en cas d’explosion », explique-t-il. En 2015, il remporte une Gold Medal dans la catégorie de « Meilleure recherche » pour son doctorat. Son rêve est de devenir « Lecturer Consultancy ».