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Démolition de maisons à Barkly : quelques images...

Statu quo. Pas de démolition avant que la Cour suprême ne se prononce sur le sort des quelques habitants de Résidences Barkly qui contestent la décision des autorités de démolir leurs maisons et autres structures se trouvant sur le tracé du Metro Express. 

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C’est à 13 h 30 le mercredi 6 septembre que la famille Moorar devra venir s’expliquer devant la juge Rita Teelock. Le gouvernement affirme qu’il avait proposé un logement à Baie-du-Tombeau à ces habitants de Résidences Barkly, mais ils auraient refusé. Les Moorar devront donc déposer un contre-affidavit pour expliquer leur refus. C’est ce qu’a expliqué l’avoué Kaviraj Bokhoree ce mardi à sa sortie de la Cour suprême. 

«L’État doit prodiguer une compensation alternative aux Moorar car ils n’ont plus ni toilettes ni salle de bains. Celles-ci ont déjà été démolies », a déclaré l’avoué. 

Kaviraj Bokhoree estime que les contestataires ont obtenu une victoire partielle car les maisons des familles Daby, Dyal et Ramen ne seront pas détruites. Raison avancée par la juge : ces maisons ne se situent pas sur le tracé du Metro Express. Quant à la famille Puttay, dont le mur de la maison a été partiellement démoli, elle pourra réclamer des dommages à l’Etat. 

« C’est Me Rama Valayden qui s’occupera des négociations à Résidences Barkly », a précisé Kaviraj Bokhoree. Et d’ajouter que la juge Rita Teelock a demandé aux hommes de loi de ne pas divulguer de détails à la presse.

En attendant la décision de la Cour suprême, découvrez à travers notre diaporama quelques photos prises ce mardi à Résidences Barkly où la démolition de maisons avait débuté vendredi 1er septembre avant d’être stoppée sur ordre de la justice.

 

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