Le conseil d’administration du Mauritius Institute of Directors (MIoD) est ouvert au dialogue avec ses trois anciennes employées.
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Au Défi Quotidien, mercredi 11 octobre, Heba Capdevila-Jangeerkhan, présidente du MIoD, précise que le conseil d’administration est d’accord pour que les trois employées reprennent leurs postes à condition que cela se fasse rapidement. « Le MIoD doit continuer ses opérations. L’exercice de recrutement d’un Chief Executive Officer (CEO) et éventuellement de nouveaux employés démarrera dans une dizaine de jours », dit la présidente du MIoD.
Heba Capdevila-Jangeerkhan est aussi revenue sur la réunion entre le conseil d’administration et les employées le vendredi 22 septembre. Elle conteste la version des employées qui affirment avoir été remerciées. « Les six employées ont demandé du temps pour digérer la nouvelle du licenciement du CEO. Elles ont toutes quitté la salle après une dizaine de minutes.
À leur retour, lorsque j’ai demandé leur aide pour communiquer la nouvelle du licenciement du CEO aux membres, l’une d’elles a refusé. Elle a alors quitté la salle avec deux autres employées. Je ne sais pas s’il y a eu un malentendu, mais de mon côté, j’ai été claire : je ne parlais que de la communication aux membres, pas d’être d’accord ou pas avec le conseil d’administration. Le conseil d’administration regrette la tournure des événements », explique Heba Capdevila-Jangeerkhan.
Pour rappel, trois des six employées de l’organisme ne font plus partie du personnel depuis le licenciement de Juan Carlos Fernandez Zara, de son poste de CEO le vendredi 22 septembre 2017. Mais les versions sur ces départs divergent. Deux des trois employées en question ont affirmé, dans les colonnes du Défi Quotidien du lundi 9 octobre 2017, avoir été poussées vers la sortie. De son côté, Heba Capdevila-Jangeerkhan évoque des départs volontaires.
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