Cet habitant de Mare-d’Australia possède un terrain de huit perches, bordé par une impasse empruntée par les habitants de la localité.
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Il avait été avisé par le président du conseil de village que l’impasse serait asphaltée. « Au démarrage des travaux, j’ai constaté que le tracé empiétait sur mon terrain. J’ai décidé d’ériger deux rangées de blocs avec une clôture pour séparer mon terrain du tracé », dit-il. Quelques jours plus tard, il a reçu une mise en demeure pour stopper sa construction.
« Quand je me suis rendu au conseil de district, les officiers m’ont dit qu’il me fallait un permis baraz. Je ne comprends pas de quoi il sagit », ajoute-t-il. Sollicité, le président du conseil de district de Flacq, Vikram Hurdoyal, indique que l’impasse en question est un passage public. Concernant « le permis baraz », il s’agit d’un permis de construction, le BPL, explique-t-il.
Et d’ajouter : « Le monsieur doit fournir un plan de construction et une copie de son titre de propriété. Il a reçu cette notice car quelqu’un a dû se plaindre. Je lui conseille de venir me fournir ses explications, muni des ses documents. Il devra ensuite faire une application de permis. Après l’étude du dossier, il pourra poursuivre ses travaux en respectant les normes imposées par le conseil, notamment la distance par rapport au chemin ».
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