Claudie Ricaud : «Réalisez vos rêves, et laissez les ânes braire»

Cette année, le conservatoire François-Mitterrand fête ses 30 ans d’existence. Claudie Ricaud, la directrice, s’assure, quant à elle, que tout se déroule sans aucune fausse note depuis 25 ans. Voici ce qu’elle partage avec nous cette semaine.

Et si j’étais…

...plus jeune.

J’aurais aimé faire un saut en parachute ou faire du parapente.

...Un homme connu.

Pourquoi pas une femme ? Ce serait toutes celles qui se sont battues et qui se battent encore pour faire changer les choses et se faire respecter.

...Un accessoire pour homme.

Des lunettes de soleil.

...Premier ministre.

L’éradication de la pauvreté absolue serait ma priorité.

...Une mesure gouvernementale.

J’aurais mis sur pied un plan spécial pour la valorisation des artistes mauriciens.

...Dieu.

Je ne peux pas m’imaginer dans un tel rôle.

...Une destination.

Florence, ville musée, où tout est art et esthétique.

...Une machine à remonter le temps.

L’histoire me passionne, mais je préfère une machine vers le futur.

...Un animal domestique.

Le chien, qui est fidèle jusqu’à la mort.

...Une date.

Février 1987, l’ouverture du conservatoire. Ce mois marque aussi la naissance de mon fils.

...Un complexe.

J’ai des difficultés dans certains domaines à garder les choses bien rangées.

...Un phénomène naturel.

La pluie, pour ses bienfaits, mais aussi parce qu’elle porte à rêver, à imaginer, à créer.

...Un péché mignon.

Le thé, pour sa complexité aromatique. J’en ai une collection, que mes amis me ramènent de leurs voyages : thé blanc, thé vert, thé noir, thé rouge, thé aromatisé, thé indien, anglais, russe... la liste est longue.

...Un mot.

Amour, qui est la base de tout.

...À la télévision.

Les documentaires et les grands reportages.

...Une histoire d’amour.

West Side Story, l’histoire d’un amour impossible. La musique du film est sophistiquée et grandiose à la fois.

...Un sobriquet.

Seulement pour mon cercle intime !

...le dernier repas avant mon exécution.

Vraiment drôle de situation ! Se soucie-t-on vraiment de ce qu’on mange à un tel moment ?