L’avertissement de cyclone de classe 3 émis par la station météo de Vacoas a cloué les avions au sol ce lundi 30 décembre. L’aéroport de Plaisance a cessé ses activités à 12h10.
Nombreux sont les passagers qui n’ont pas pu quitter le pays. Conséquence : le planning des hôtels déjà surbookés est bousculé.
Une situation qui n’est pas de tout repos pour les responsables des hôtels, explique Jean-Louis Pismont, Chief Operating Officer pour le groupe hôtelier Beachcomber et membre de l'Association des Hôteliers et des Restaurateurs de l'île Maurice (AHRIM).
Intervenant sur Radio Plus ce lundi après-midi, il affirme qu'il a fallu gérer l’alerte 3 et permettre à certains employés de rentrer chez eux alors que les hôtels sont pleins à craquer durant cette haute saison.
« Aujourd’hui le plus important c’est d’accueillir tous ceux qui sont arrivés et ceux qui ne peuvent pas partir », explique Jean-Louis Pismont.
Il y a une politique « assez générale » qu’on applique dans les cas des clients qui n’ont pu prendre leur vol : on offre une « dérogation sur les tarifs », indique Jean-Louis Pismont. « Généralement les hôteliers appliquent une politique de 50 % du tarif public », indique-t-il.
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