Mise à jour
December 23, 2025, 1:08 pm
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Le fils du surintendant de police Ashik Jagai, Ashik Allysaheb Ameersaheb Jagai, a vu sa motion de varier une des conditions de sa remise en liberté rejetée, ce mardi le 23 décembre 2025. Soit l'interdiction d'être en contact avec des témoins. Il avait signifié à la Cour qu'il souhaitait prendre contact avec six personnes afin de pouvoir fournir sa défense à la Financial Crimes Commission (FCC). Ces derniers sont son comptable, un courtier et ses quatre partenaires en affaires notamment Wendip Appaya et Steven Mootoocurpen, entre autres.
Toutefois, l'instance l'a autorisé d'être en contact avec son père, SP Ashik Jagai estimant que la FCC n'a pas pu justifier les raisons valables. Décision prononcée par la magistrate Chrisinta Chavrimootoo.
Dans cette affaire, Ashik Allysaheb Ameersaheb Jagai fait face à trois accusations provisoires de blanchiment d’argent. Les délits auraient été commis entre le 10 avril et décembre 2024 à Vallée-des-Prêtres.
Le fils du surintendant de police Ashik Jagai, Ashik Allysaheb Ameersaheb Jagai, a vu sa motion de varier une des conditions de sa remise en liberté rejetée, ce mardi le 23 décembre 2025. Soit l'interdiction d'être en contact avec des témoins. Il avait signifié à la Cour qu'il souhaitait prendre contact avec six personnes afin de pouvoir fournir sa défense à la Financial Crimes Commission (FCC). Ces derniers sont son comptable, un courtier et ses quatre partenaires en affaires notamment Wendip Appaya et Steven Mootoocurpen, entre autres.
Toutefois, l'instance l'a autorisé d'être en contact avec son père, SP Ashik Jagai estimant que la FCC n'a pas pu justifier les raisons valables. Décision prononcée par la magistrate Chrisinta Chavrimootoo.
Dans cette affaire, Ashik Allysaheb Ameersaheb Jagai fait face à trois accusations provisoires de blanchiment d’argent. Les délits auraient été commis entre le 10 avril et décembre 2024 à Vallée-des-Prêtres.
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