Le leader du Reform Party, Roshi Bhadain, dit ne pas comprendre pourquoi la commission anticorruption (Icac) l’a convoqué pour une affaire qui date de 2015. Il dit ne pas savoir ce que lui reproche l’organisme.
L’ex-ministre de la Bonne gouvernance Roshi Bhadain s’est présenté au Réduit Triangle en compagnie de son avocat, Mes Yash Bhadain et Rouben Mooroongapillay, ce mardi 18 avril, à la mi-journée.
Il a répondu aux questions de la presse, à son arrivée.
L’ex-ministre affirme que l’Icac lui avait adressé une correspondance, la semaine dernière, lui demandant de venir s’expliquer sur la raison pour laquelle un consultant avait été recruté par le ministère de la Bonne gouvernance en février 2015.
Le leader du Reform Party affirme que la lettre avait indiqué « a request to attend ». Se basant sur un jugement de la Cour suprême, Roshi Bhadain affirme qu’il n’y a aucun délit, s’il ne se rend pas à l’Icac.
Soulignons que l’Icac était en présence d’un mandat d’arrêt à l’encontre de Roshi Bhadain dans la matinée.
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