Nouveau constat critique du Council for Vocational Legal Team après les examens du barreau de 2023. Cette année encore, les conclusions des examinateurs sont sévères.
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Les candidats qui ont pris part à ces examens ne maîtrisent pas l’anglais ni le français. Il y a aussi une absence de raisonnement juridique, déplore Council for Vocational Legal Team.
Ainsi, plusieurs carences sont notées après ces examens.
« Déplorables et insuffisants » : ce sont là les commentaires des examinateurs.
Comme les années précédentes, le Conseil déplore avec inquiétude un manque de compétences linguistiques en termes de langue, de grammaire, d'orthographe et de syntaxe chez certains candidats à ce niveau.
En plus de l'incapacité à s'exprimer clairement, il a été rapporté que beaucoup d'entre eux ont du mal à comprendre certains concepts juridiques en anglais ou en français, ce qui les empêche de saisir la totalité des questions ou d'identifier les problèmes évidents.
Les faiblesses dans le raisonnement juridique ont aussi été identifiées comme l'une des principales causes d'échec à ces examens.
Alors qu'une poignée de candidats a montré des compétences analytiques suffisantes pour atteindre la note minimum requise, le reproche le plus fréquent des examinateurs était que les candidats n'analysaient qu'une partie du problème qui leur était présenté, ou se précipitaient pour écrire une conclusion sans exposer le raisonnement juridique sous-jacent.
La présentation désordonnée dans les réponses aux examens a aussi été déplorée.
Bien que conscients de la nervosité naturelle des candidats, les panels d'examinateurs sont critiques face aux lacunes en matière d'éloquence. Certains candidats préfèrent utiliser des scripts préparés plutôt que de s'adresser directement au banc, comme attendu par les praticiens du droit.
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