Plusieurs plantations d’arouilles violettes à Bambous ont été visitées par des voleurs ces dernières semaines. À l’approche de la récolte, les planteurs ont surpris un voleur dans leurs champs dans la soirée du vendredi 1er décembre. Un sac contenant 70 livres d’arouilles violettes, d’une valeur de Rs 7 000, a été récupéré sur les lieux. Deux cultivateurs ont immédiatement alerté la police.
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Les planteurs ont remis à la police un téléphone cellulaire et des effets personnels, notamment des vêtements, suspectés d’appartenir aux voleurs. Ces incidents perturbent les planteurs concernés, car la période de récolte approche rapidement en cette fin d’année.
Cependant, les plaignants déplorent le refus de la police de Bambous d’enregistrer leur déposition. « Dan stasion, zot pann pran nou depozision, zot zis ekout nou », affirment Dharam et Rohit Mohess. Ces cultivateurs racontent s’être rendus au poste de police après avoir pris en flagrant délit un voleur. Le suspect, armé d’un couteau, n’a pu être maîtrisé.
Les cultivateurs, qui gèrent une entreprise familiale, affirment avoir organisé une surveillance nocturne pendant plus de deux semaines avant de surprendre le suspect en flagrant délit. Malgré leurs efforts, le voleur a pu s’échapper à travers des buissons.
« Dan pe rod voleur mo neve inn blese ar koulou », relate Dharam. Les Mohess regrettent que, même après avoir fourni des informations sur l’identité du voleur, la police n’a toujours pas agi. Il relate un incident où le suspect l’aurait bousculé dans la plantation il y a quelques jours. « Gran lazourne nou ti trouv li, linn pous mwa, linn sove, li dir pa li kinn kokin, li ziss dormi laba ». Lors d’une inspection de la plantation s’étendant sur environ cinq arpents, les propriétaires ont découvert une cabane aménagée par le voleur. Les effets personnels, des vêtements, un matelas et un téléphone cellulaire ont été récupérés et remis à la police de Bambous. « Dan karo nou gagn so ban linz, linn gard so kouto. So portab ousi nonn donn lapolis, la ousi pa nanie », précise Rohit.
La famille Mohess a sollicité l’aide d’amis pour assurer la surveillance. Ils expliquent que ce sont des voisins qui les ont alertés de la présence de voleurs dans la nuit du vendredi 1er décembre. « Nou pe vey karo. Zot pe veye kouma nou dormi pou kokin », déclarent-ils.
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