En réponse à la demande d’augmentation du prix du pain, Ashit Gungah, le ministre du Commerce, avance que la question ne se pose pas.
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Il était face à la presse ce jeudi 11 août.
Pour soutenir leur demande les opérateurs dans le secteur ont invoqué les toutes récentes hausses de prix des carburants. Or, pour le ministre « on ne peut pas lier une hausse d’environ 5 % du prix de l’essence et d’environ 9 % de celui du diesel avec la demande d’augmentation du prix du pain ».
« La question ne se pose pas, car la demande n’est nullement justifiée », a-t-il soutenu. Sur un ton rassurant, il a cependant dit qu’il restait ouvert au dialogue que ce soit avec les propriétaires de boulangeries qu’avec tous ceux qui sont concernés par la hausse des prix des carburants, a-t-il précisé.
Mais déjà il a tenu à faire comprendre qu’en ce qu’il s’agit des augmentations de l’essence et du diésel, c’était inévitable. Les fonds du Price Stabilisation Account (PSA) étaient épuisés et il n’y avait pas d’autres moyens pour le sortir de la zone rouge.
En ce qui concerne l’industrie de la boulange, le ministre a fait ressortir que le principal élément entrant dans la fabrication du pain est la farine. Il se trouve, a-t-il souligné, qu’à la suite du dernier budget, le prix du pain a baissé.
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