« Tant que la police pourra signer les mandats d’arrêt et de perquisition, nous remettrons ce système en cause », a déclaré Arvin Boolell.
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Le chef de file du Parti Travailliste (PTr), qui était face à la presse ce vendredi matin, 23 juin, s’est longuement attardé sur ce qu’il qualifie « de climat de frayeur qui s’est instauré dans le pays. »
Arvin Boolell a même parlé de psychose.
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