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Anniversaire de la Dealers in Imported Vehicles Association - Xavier-Luc Duval: «Il faut miser sur la qualité des voitures d’occasion»

Le Premier ministre adjoint a souligné les progrès faits dans la démocratisation de l’accès aux véhicules de seconde main. Il intervenait, mardi, à Trou-aux-Biches, lors des célébrations du 15e anniversaire de la Diva. La Dealers Imported Vehicles Association (Diva) a fêté, le mardi 12 avril, son 15e anniversaire au cours d’une cérémonie organisée à l’hôtel Casuarina, à Trou-aux-Biches. Xavier-Luc Duval a profité de l’occasion pour rappeler que la réputation des voitures de seconde main importées repose sur la qualité qui doit toujours être maintenue. « Ce secteur a démocratisé l’accès de bon nombre de Mauriciens à un moyen de transport. Une voiture n’est pas un luxe dans une économie aussi développée que la nôtre. Mais vous devez toujours apporter de la qualité dans vos offres », a souligné le Premier ministre adjoint et ministre du Tourisme. Xavier-Luc Duval a aussi encouragé les concessionnaires d’automobiles d’occasion à offrir davantage de véhicules hybrides. « Avoir davantage de voitures pour une population de 1,3 million d’habitants exige qu’on soit plus prudent en matière d’environnement. C’est aussi une économie importante en termes de carburants. Pensez à proposer davantage de voitures hybrides », a déclaré le ministre.  

Zaid Ameer, président de la Diva: «Un secteur générant 5 000 emplois directs»

[[{"type":"media","view_mode":"media_large","fid":"14796","attributes":{"class":"media-image alignright wp-image-24787","typeof":"foaf:Image","style":"","width":"400","height":"582","alt":"Zaid Ameer"}}]]Que représente la Diva, à Maurice, alors qu’elle célèbre ses 15 ans d’existence en tant que secteur réglementé ? Je dois saluer la contribution de Xavier-Luc Duval qui, en 1999, était ministre du Commerce. Il a joué un rôle décisif dans la réglementation de ce secteur qui a démocratisé l’accès aux véhicules de seconde main pour nombre de Mauriciens. L’an dernier, nous avons atteint des ventes d’environ 9 000 véhicules en raison d’un taux de change du yen favorable et l’arrêt, pendant plusieurs mois, de la vente de certaines marques de voitures neuves. Aujourd’hui, c’est un secteur qui a créé 5 000 emplois directs. Quelles sont vos priorités pour le court terme ? Nous avons deux principaux projets. Le premier concerne l’auction sale. Actuellement, 100 % des véhicules importés du Japon sont achetés lors d’enchères où chaque véhicule obtient des documents de certification dont son âge, le kilométrage, son grade de 3,5 à 5 points et les réparations effectuées. Nous savons que certains trafiquent ces certifications. Raison pour laquelle nous proposons que le tampon soit affiché sur le véhicule à partir du Japon afin d’éliminer toute tentative de manipulation par la suite. C’est une garantie que nous comptons offrir à nos clients. Par ailleurs, nous offrirons une ambulance au ministère de la Santé tout en assurant le servicing et les réparations mécaniques. Les véhicules japonais d’occasion font-ils face à la concurrence de voitures européennes ? Absolument pas. Les voitures japonaises sont réputées pour les économies en carburant. D’autre part, pour leur prix à la revente. Je suis étonné de constater qu’une voiture datant de 2000 et acheté il y a cinq ans vaut entre Rs 275 000 et Rs 300 000. Sa resale value reste pratiquement la même.
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