Live News

Amédée Darga, directeur de Straconsult : « Le Défi Plus a su s’imposer comme un indispensable les samedis  »  

Le directeur de la société Straconsult, Louis Amédée Darga, fait ressortir que Le Défi Plus a su monter en grade, en s’élargissant à un lectorat d’élite après s’être assuré une clientèle de masse « qui lui a donné la viabilité commerciale ». 

Publicité

Quel a été l’apport du Défi Plus dans l’univers de la presse à Maurice ?
Certainement sa diversité et un nouveau dynamisme.

Qu’est-ce qui a fait la force de ce journal ?
Dès le début, on sentait que c’était une équipe qui avait la détermination de gagner. Car, évidemment, c’était une compétition face à deux quotidiens bien établis depuis longtemps dans la culture et le réflexe du lectorat. Au départ dédaigné par celui-là, Le Défi Plus a su s’imposer comme un indispensable de la lecture les samedis . 

La grande force de ce journal c’est d’avoir pu, au départ, s’assurer d’un lectorat de masse qui lui a donné la viabilité commerciale pour monter en grade, et aujourd’hui, satisfaire autant ce lectorat de masse qu’un lectorat d’élite.  

Avez-vous la conviction que des enquêtes du Défi Plus ont pu peser sur l’actualité politique, économique ou sociale de Maurice ?
Aucune personne sérieuse, qu’elle soit politicienne, académique, influenceuse, activiste ou observatrice, ne peut ignorer les enquêtes et les interviews que nous propose Le Défi Plus.  

Comment définiriez-vous le profil du lecteur du Défi Plus ?
Il n’y a pas de lecteur type. C’est un lectorat diversifié, allant de ceux plus friands de faits divers et de sensationnalisme à ceux qui cherchent à être très rapidement informés de ce qui touche l’état du pays, du point de vue des grands acteurs et des influenceurs.  

Quels sont, aujourd’hui, et compte tenu de la crise actuelle, les challenges auxquels doit faire face Le Défi Plus ?
Nous sommes dans un contexte où l’actualité va très très vite. Il s’agit de s’assurer que les journalistes et rédacteurs ne tombent pas dans les travers qui guettent ce métier. D’autre part, la population a les nerfs à fleur de peau. Il y a un défi qui consiste à bien informer, sans faire du sensationnalisme qui exacerberait les bas instincts et mettrait le feu aux poudres. Sinon, le journal est très bien organisé sur le plan des canaux digitaux pour assurer, le plus largement possible, sa diffusion. 

 

 

Notre service WhatsApp. Vous êtes témoins d`un événement d`actualité ou d`une scène insolite? Envoyez-nous vos photos ou vidéos sur le 5 259 82 00 !