Elle allègue avoir été violée par son employeur. Le ministère du Travail a initié une enquête après qu’une jeune Bangladaise, employée dans une usine de textile mauricienne, a fait des déclarations sur une chaîne de télévision dans son pays.
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Un appel à témoins a aussi été lancé par les Casernes centrales après les révélations de la jeune ouvrière bangladaise.
La jeune femme de 24 ans s’est confiée sur une chaîne de télévision bangladaise.
Elle a aussi allégué qu’elle a été victime de chantage avant d’être déportée vers le Bangladesh. Elle accuse quatre de ses compatriotes d’être des proxénètes.
Des travailleurs sociaux, des syndicalistes ainsi que des travailleurs étrangers sont appelés à donner leur version des faits sur le trafic sexuel. Pour les défenseurs des droits des travailleurs étrangers, il s’agit d’un premier pas vers la justice. Ils espèrent que cela encouragera d’autres victimes à briser le silence.
La direction de l’usine réfute et condamne quant à elle, les allégations d’abus sexuel à l’encontre de son directeur.
Elle indique qu’elle se réserve le droit d’engager des poursuites légales contre tous ceux qui porteraient atteinte à sa réputation et à celle de son directeur.
L’entreprise compte aussi « collaborer pleinement » avec les autorités dans l’éventualité où une enquête est ouverte.
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