Kugan Parapan, de Rezistans ek Alternativ, considère que le gouvernement n’est pas à l’écoute des pilotes. « Le gouvernement agit en dictateur. Le conseil d’administration d’Air Mauritius a indiqué que les pilotes touchaient une forte somme d’argent mensuellement et qu’ils ne devaient pas s’exprimer. Il vaut mieux payer les pilotes pour qu’ils emmènent les passagers à bon port. Le vrai problème, c’est le manque de dialogue », a-t-il ajouté. De son côté, Veena Dholah a souligné que ce qui se passait au sein de la compagnie d’aviation nationale est typique d’une mauvaise administration. « La compagnie n’est pas stable. L’employeur s’en prend aux conditions de travail des employés », a-t-elle déploré.
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