La décision de l’Independent Commission Against Corruption (Icac) de participer à l’audition de l’Affaire MedPoint devant le Privy Council le 15 janvier prochain a suscité pas mal de réactions.
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Cette information a été dévoilée par le quotidien l’express le mardi 8 janvier.
L’Icac n’a pas tardé à réagir. En effet, la commission anticorruption a émis un communiqué dans l’après-midi disant exprimer des « réserves » sur le contenu de l'article en question qui, selon lui, serait « based on incomplete information, inaccuracies and wrong interpretations ».
L’article publié par l’express fait état d’une « volte-face de l’ICAC ».
Selon l’article, la commission anticorruption, qui avait initié un procès contre Pravind Jugnauth sous une accusation de conflit d’intérêts et en vertu de l’article 13(2) de la Prevention of Corruption Act (PoCa), va désormais se ranger sur l’argumentaire des hommes de loi du Premier ministre. Est-ce légal ?
Quelles sont les implications de ce changement de position de la part de l’Icac ?
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