« La police ne considère Senna Budlorun ni comme étant un suspect ni un accusé. Linn donn so lanket kouma enn temwin », a affirmé Me Ashley Hurhungee, l’un des hommes de loi de Senna Budlorun, à sa sortie des Casernes centrales ce matin.
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Ce mardi matin 14 juin, son client a été entendu à titre de témoin dans l’affaire Kistnen.Me Ashley Hurhungee a déclaré : « il n’y a rien de concret contre notre client. Mo kliyan finn retenir so drwa pou pourswiv bann denonsiater, bann akizater divan la zistis pou enn kess de diffamation ».
Pour sa part, Me Samad Goolamally a affirmé que la Major Crimes Investigation Team (MCIT) prend cette affaire très au sérieux. « Notre client est à la disponibilité de la police », affirme l’homme de loi. Il demande à la police de procéder à l’arrestation de ceux qui ont fait de « fausses déclarations ».
De son côté, Senna Budlorun a nié toute implication dans cette affaire. « Mo inosan dan sa zafer-la », clame-t-il. « Sa dimounn kinn akiz mwa-la li pou bizin peye divan la zistis li ousi », affirme Senna Budlorun. Et lors de sa convocation à l’IT Unit, son téléphone portable a été passé au crible par les enquêteurs. Cela, suite à la publication d’une vidéo par Bruneau Laurette sur sa page Facebook lundi dernier. L’activiste social a publié une vidéo d'une conversation entre deux individus.
L'un d'eux aurait fait état du meurtre de Soopramanien Kistnen, en citant les noms de Vishal Shibchurn et Senna Budlorun.
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