Accusé d’avoir abusé sa cousine : l’accusé est blanchi par la cour

Un habitant de Phœnix, âgé de 31 ans, était accusé d’avoir abusé sexuellement de sa cousine entre 2003 et 2015. Faute de preuves, il a été acquitté devant la cour intermédiaire.

Cet habitant de Phœnix répondait de trois accusations de relations sexuelles avec sa cousine et d’attouchements sexuels sur celle-ci, entre 2003 à 2015. En 2003 la plaignante était âgée de 8 ans.

En cour, le cousin avait plaidé non coupable. Il a réfuté les allégations de sa cousine à son égard.

C’est le 25 mai 2015 que cette affaire a été mise à jour, après que la plaignante ait porté plainte contre son cousin. Les deux vivent dans la cour. La plaignante a relaté les abus commis par son cousin de 2003 à 2015 lors de son témoignage en cour.

Elle avait 8 ans quand son cousin aurait abusé d’elle pour la première fois. Ce jour-là, en 2003, son cousin serait venu le récupérer après l’école. Ce dernier, selon la plaignante, l’a traîné dans un champ de canne. Puis, il l’aurait déshabillée et aurait abusé d’elle. En entendant un bruit, son cousin lui aurait demandé de se revêtir et l’aurait conduit à son domicile. La plaignante a déclaré que son cousin lui a demandé de ne rien dévoiler de l’incident sinon il y aurait des répercussions. La plaignante a également affirmé que ses parents sont sévères.

Un mois après, selon la plaignante, elle a été de nouveau abusée par son cousin. Cela se serait produit à son domicile alors qu’elle aurait été seule. La plaignante a soutenu en cour qu’elle s’est tue sur l’incident, vu qu’elle craignait que son cousin mette à exécution ses menaces.

La plaignante a évoqué qu’alors qu’elle avait 10 ans, son cousin s’est livré à des attouchements sexuels sur elle. Elle a aussi relaté en cour qu’elle a été abusée par son cousin jusqu’à 2015. 

En cour, l’accusé a déclaré que les allégations de sa cousine étaient fausses. Et qu’il aurait été agressé par la plaignante et ses proches. Il a affirmé avoir rapporté un cas d’agression de la plaignante, du frère de celle-ci et de trois autres personnes. Il a même un rapport médical pour soutenir son agression. Il avait été blessé à la tête et a été hospitalisé le 19 juillet 2015.

Prenant en considération les divers témoignages, la magistrate Adeelah Hamuth souligne qu’il n’y a pas de preuves concrètes pour soutenir les allégations de la plaignante. De plus, elle avance avoir noté plusieurs contradictions dans son témoignage. Elle conclut que la poursuite n’a pas pu établir les accusations contre l’habitant de Phoenix.