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Accident de la route : la CNT et un chauffeur font l'objet d’une réclamation de Rs 247 106

sicom Cette compagnie d’assurance assure la Corporation du transport national (CNT)

Son pied gauche s’est retrouvé coincé sous sa motocyclette, le 3 mars 2014, à Camp Levieux après avoir été violemment percuté par un autobus de la Corporation nationale de transport (CNT). Cet habitant de Bambous réclame Rs 247 106 à la CNT et au chauffeur du véhicule devant la cour intermédiaire.

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Cet habitant de Bambous aurait pu y laisser sa vie. Il a été grièvement blessé lors d’un accident de la route survenu le 3 mars 2014, rue Maingard de Villiers Offrans, à Camp Levieux. Il avait été renversé par un autobus de la CNT.

Suite à cet accident, il a déposé une plainte en cour intermédiaire pour réclamer conjointement des dommages de Rs 247 106 à la CNT et au chauffeur du bus. Le procès sera appelé le 27 juillet devant cette instance judiciaire.

Le plaignant a retenu les services de l’avocat Jacques Tsang Man Kin et de l’avoué Gautam Ramdoyal.

Dans sa plainte, il relate qu’il conduisait sa motocyclette sur la route Maingard de Villiers Offrans, Camp Levieux, pour se diriger vers Mont-Roches. Arrivé à une intersection, l’autobus de la CNT, qui se trouvait sur le côté droit de la route, ne s’est pas arrêté. L’inévitable s’est produit : le véhicule l’a percuté. Sa motocyclette s’est retrouvée sous l’autobus et son pied gauche a été coincé sous son engin qui s’est renversé sur lui.

Selon le plaignant, les personnes qui sont venues à son secours ont eu du mal à retirer son engin pour le sortir en-dessous. Il a été immédiatement transporté à l’hôpital Victoria, Candos, pour des soins.

L’habitant de Bambous s’est retrouvé avec une fracture à l'orteil gauche, des abrasions sur les jambes, sur la cuisse et des douleurs aux épaules. Par ailleurs, son pied gauche a été plâtré.

À la suite de cet accident, le plaignant a dû utiliser des béquilles pour se déplacer pendant cinq semaines. Ce n’est que vers la mi-avril qu’il a pu reprendre le travail. En raison de ses blessures, il ne pouvait utiliser sa motocyclette et a dû prendre le bus au quotidien pour se rendre au travail, à Phœnix.

Ses malheurs ne se limitent pas là. Il affirme avoir perdu deux mois de salaire, un mois de bonus en juillet 2014 et un mois d’allocations basées sur sa performance. En outre, il a dû cesser ses activités sportives du jour au lendemain en raison d’une santé précaire.

Cet habitant de Bambous évoque aussi avoir dû payer un ‘excess’ de Rs 4 000 et Rs 1 000 de frais pour la réparation de sa motocyclette endommagée dans l’accident.

Le plaignant affirme que ce jour-là, le chauffeur de la CNT roulait négligemment et a failli dans sa tâche pour ne s’être pas arrêté à une intersection d’une route principale avant de poursuivre son trajet.

Pour les préjudices subis, il réclame conjointement à la CNT et au chauffeur des dommages de Rs 247 106. Ceux-ci comprennent les frais de médicaments, la perte de salaires, des allocations et des dommages moraux.

 

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