S’il confirme qu’il avait été initialement pressenti pour être candidat à l’élection partielle avortée dans la circonscription n°10 (Montagne-Blanche/GRSE), Avineshwur Dayal a finalement été écarté de la liste des candidats pour les législatives du 10 novembre. Pourtant, cet avocat affirme qu’il n’en a pas été perturbé pour autant. Il précise que son engagement au sein du Mouvement socialiste mauricien (MSM) reste intact : « Le fait de ne pas figurer sur la liste n’a en rien altéré ma détermination. Je suis en phase avec les décisions prises. »
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Il ajoute qu’il soutiendra pleinement la campagne de l’Alliance Lepep. « En tant qu’avocat et membre d’une famille éminente du paysage politique, j’ai toujours considéré que mes engagements, qu’ils soient personnels ou professionnels, doivent être pleinement alignés avec mes valeurs et les circonstances », dit-il. Ses compétences et son expérience, poursuit-il, trouveront leur place autrement durant la campagne. « Le plus important est de contribuer au succès de l’équipe », confie-t-il.
Revenant sur l’importance d’une direction compétente, il montre du doigt la gestion passée du pays, particulièrement entre 2005 et 2014, qu’il qualifie de désastreuse. Selon lui, ces erreurs doivent servir d’exemple de ce qu’il ne faut pas reproduire. « Notre priorité doit être de continuer à œuvrer pour un leadership fondé sur des principes moraux solides. Je ferai tout pour soutenir cette vision portée par l’Alliance Lepep », conclut-il, réaffirmant sa loyauté au MSM.
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