L’État cherche des options afin de remettre le parc aquatique de Belle-Mare à flots. Quatorze firmes étrangères ont exprimé le souhait de prendre en charge le Waterpark à la suite d’un appel à manifestation d’intérêt lancé en avril de cette année.
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Plusieurs réunions se sont enclenchées afin de choisir le meilleur soumissionnaire. D’ailleurs, la direction du Sugar Investment Trust (SIT) a reçu des consignes strictes du ministère de l’Agro-industrie de choisir le soumissionnaire le plus approprié dans les plus brefs délais. « J’ai donné des consignes afin de remettre le Waterpark, fermé depuis trois ans, à flots.
Quatorze firmes sont intéressées. La direction étudie les différentes propositions », explique le ministre Mahen Seeruttun. Il affirme que le SIT présélectionnera les meilleures offres.
L’idée est de faire du Waterpark une référence dans l’océan Indien, explique le ministre. Le SIT n’écarte pas non plus la possibilité de conclure un partenariat avec un consortium qui proposera de nouvelles activités nautiques pour rendre le parc plus attrayant. La sécurité sera rehaussée pour éviter tout accident. « Il devra répondre aux normes internationales », explique une source.
Le Waterpark a cessé ses opérations depuis octobre 2013, après des accidents qui avaient causé le décès de deux enfants. Actuellement, l’État débourse une somme conséquente pour son entretien. La situation a commencé à se détériorer à partir de 2006. Mais depuis son ouverture en décembre 2000, le parc a toujours subi des pertes.
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