Blog http://defimedia.info/categorie/blog fr [Décryptage] Gouverner l’espérance, répondre à l’immensité http://defimedia.info/decryptage-gouverner-lesperance-repondre-limmensite <span>[Décryptage] Gouverner l’espérance, répondre à l’immensité</span> <span><span lang="" about="/users/edinally" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">Eshan Dinally</span></span> <span>lun 18/11/2024 - 08:15</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/gouverner_ok.jpg?itok=KOV82NyJ" width="1280" height="720" alt="" typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>L’Alliance du Changement a remporté une victoire éclatante, marquée par une majorité absolue. Mais cette réussite s’accompagne d’une responsabilité tout aussi écrasante. Les attentes des Mauriciens sont immenses, les promesses nombreuses et les défis colossaux. C’est d’ailleurs le fil conducteur des discours de Navin Ramgoolam, Premier ministre, et de Paul Bérenger, Premier ministre adjoint désigné, lors du rassemblement de remerciement pour ce troisième 60-0 historique.&nbsp;<br /> <br /> <strong>UNE TÂCHE TITANESQUE&nbsp;</strong><br /> <br /> « Immensité. » C’est le terme que Paul Bérenger a répété à deux reprises pour qualifier la mission qui attend le gouvernement du Changement, désormais dépositaire d’une espérance nationale. La victoire électorale ne peut se limiter à un triomphe politique : elle doit devenir le socle d’un progrès durable pour le pays.&nbsp;<br /> <br /> Le tandem Ramgoolam-Bérenger a pleinement conscience des attentes : les Mauriciens veulent non seulement une amélioration tangible de leur qualité de vie, mais également une gouvernance exemplaire. Ce mandat représente une opportunité historique de refonder les bases de la société et de léguer un héritage significatif aux générations futures, comme l’a souligné Ashok Subron. Il ne s’agit pas uniquement de tenir des promesses. Il faut aussi réinventer un avenir commun.&nbsp;<br /> <br /> <strong>ENTRE ESPOIR ET PRUDENCE&nbsp;</strong><br /> <br /> Face à l’immensité de la tâche, Navin Ramgoolam semble avoir mêlé promesses galvanisantes et avertissements prudents, oscillant entre optimisme et réalisme. Ce qui illustre la complexité des défis qu’il doit affronter. Mais cette stratégie comporte également des risques. D’un côté, le Premier ministre s’est montré porteur d’une vision ambitieuse qui a su séduire une majorité écrasante d’électeurs. Il a annoncé des priorités claires : renforcer le pouvoir d’achat, éradiquer le fléau de la drogue, combattre la corruption, garantir la sécurité et rétablir une méritocratie authentique.&nbsp;<br /> <br /> Ces engagements répondent aux aspirations pressantes d’une population en quête de changements concrets. Paul Bérenger a renforcé cette vision en réitérant des promesses fortes, telles que la baisse des prix des carburants, le paiement d’un 14ᵉ mois et l’indépendance effective des institutions.&nbsp;<br /> <br /> Cependant, après ces annonces prometteuses, Navin Ramgoolam a tempéré ces ambitions en évoquant les incertitudes économiques. Il a indiqué qu’un audit des finances publiques était en cours, révélant des manipulations des chiffres par l’ancien gouvernement de Pravind Jugnauth et son ministre des Finances, Renganaden Padayachy. Si cette prudence peut sembler responsable, elle suscite également des interrogations. Certaines promesses devront-elles être révisées à la lueur des contraintes budgétaires ?&nbsp;<br /> <br /> <strong>UNE STRATÉGIE À DOUBLE TRANCHANT</strong>&nbsp;<br /> <br /> Cette approche peut être perçue de deux manières. D’une part, alterner entre espoir et réalisme permet de maintenir l’optimisme tout en préparant la population à d’éventuels ajustements. Cela témoigne d’une gouvernance réfléchie, soucieuse de ne pas vendre des illusions. D’autre part, cette posture pourrait être perçue comme un double discours, risquant de fragiliser la confiance populaire. Après une victoire aussi éclatante, les attentes sont immenses. Toute dissonance entre les engagements et les actes pourrait provoquer un désenchantement rapide.&nbsp;<br /> <br /> Si cette stratégie est bien exécutée, elle s’avérera néanmoins payante. Elle reflète une volonté de conjuguer ambition et pragmatisme, une combinaison essentielle dans le contexte actuel. Toutefois, la marge d’erreur est étroite. Une mauvaise gestion de cette dynamique pourrait miner la confiance accordée au tandem Ramgoolam-Bérenger.&nbsp;<br /> <br /> <strong>L’HEURE DE LA VIGILANCE CITOYENNE&nbsp;</strong><br /> <br /> La victoire de l’Alliance du Changement marque un tournant, mais elle impose également une vigilance accrue de la part des citoyens. Ce n’est pas le moment de se reposer sur des applaudissements ; il faut désormais s’assurer que cette ère nouvelle ne se transforme pas en une occasion manquée. Si le gouvernement échoue à répondre aux attentes, cela ne représentera pas seulement une défaite pour la coalition mais aussi un échec pour toute la République.<br /> &nbsp;<br /> Cette victoire historique doit devenir une transformat ion historique. La tâche est immense, mais l’opportunité est unique. L’Alliance du Changement a gagné les cœurs. Elle doit maintenant prouver qu’elle peut transformer l’espérance en réalité.<br /> &nbsp;</p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=%5BD%C3%A9cryptage%5D%20Gouverner%20l%E2%80%99esp%C3%A9rance%2C%20r%C3%A9pondre%20%C3%A0%20l%E2%80%99immensit%C3%A9&amp;1=http%3A//defimedia.info/decryptage-gouverner-lesperance-repondre-limmensite&amp;2=node/165503" token="c-0BR-jjyuR8fyx98NFHAuLb3JVBvCgoVLpJ2cBpW7Q"></drupal-render-placeholder></div> Mon, 18 Nov 2024 04:15:55 +0000 Eshan Dinally 165503 at http://defimedia.info [Satiriquement Vôtre] Premier ministre… des affiches ! http://defimedia.info/satiriquement-votre-premier-ministre-des-affiches <span>[Satiriquement Vôtre] Premier ministre… des affiches !</span> <span><a title="Voir le profil utilisateur." href="/users/defimedia" lang="" about="/users/defimedia" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">defimedia</a></span> <span>lun 18/11/2024 - 08:00</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/affiches_ok.jpg?itok=yeavTUAh" width="1280" height="720" alt="" typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>Il y a des politiciens qui, contre vents et marées, s'accrochent au rêve d’une ascension éclatante, une trajectoire céleste qui les propulserait aux sommets de la nation. Roshi Bhadain était l'un d'eux. Sa campagne était telle une épopée grecque, un conte héroïque où il se voyait déjà Premier ministre, une main ferme et redoutable prête à diriger. Mais dans la réalité, son envol fut vite brisé, et la gravité, sans pitié, le ramena au sol avec un fracas qui résonne encore.<br /> <br /> À entendre son discours post-électoral, un mélange d’acceptation amère et de reproche à demi-mot, on comprend que le coup est dur à encaisser. « Le peuple a décidé, et bien sûr, on respecte ce que le peuple a décidé, » a-t-il lancé, l'air digne mais visiblement ébranlé. La phrase sonne comme un hommage forcé à la démocratie, mais on devine facilement l’ironie piquée sous la surface. Car Bhadain, dans toute sa sagesse déçue, sait mieux que le peuple. « Je pense que le peuple a mal voté, » ajoute-t-il, comme pour signifier que cette mésaventure électorale est un malentendu tragique. Le peuple, qui ne comprendrait décidément rien à l’étendue de sa vision grandiose, s’est privé de son génie politique.<br /> <br /> Ce qui rend l'affaire encore plus savoureuse, c'est la manière dont il est redescendu des étoiles pour se réfugier dans une rhétorique bien rodée : « Je retourne à ma profession (avocat) et je vais passer plus de temps en famille. C’est difficile pour moi de dire ça, mais je prends un congé politique d’au moins quatre ans. » Une promesse de retrait qui ressemble fort à une retraite anticipée, avec l’air noble de celui qui se sacrifierait, alors que tout indique qu’il a surtout été mis hors course.<br /> <br /> Son rêve d’être Premier ministre était-il sincère ? Probablement. Mais il était aussi absurdement ambitieux pour un chef de parti aux assises aussi fragiles.&nbsp;<br /> <br /> Rajesh Bhagwan, dans son franc-parler légendaire, avait déjà prévenu : « Monn fini touy li. » Comme un Nostradamus moderne de l’opposition, il avait prophétisé la chute avant même qu’elle ne se réalise. Et lorsque les résultats sont tombés, Bhagwan, toujours aussi mordant, enfonça le clou : « Li pou ress Premye minis lor lafis . » La pique, acérée, reflétait la réalité amère d’une ambition politique à jamais figée dans un poster électoral. Et oui, quand la lune est trop loin pour l’échelle.<br /> <br /> Et voilà que le grand chef du Reform Party, le visionnaire autoproclamé, se voit contraint de ranger ses affiches et de retourner à la robe d’avocat, dans l’ombre des palais de justice, là où il pourra méditer sur cette grande désillusion. Peut-être pensera-t-il à cet instant où, à force de viser la lune, il a oublié de vérifier la solidité de l’échelle.<br /> <br /> Les illusions de grandeur ont un prix, et celui de Roshi Bhadain fut de découvrir que le peuple, pour cette fois, ne voulait pas de son rêve.<br /> <br /> <br /> &nbsp;</p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=%5BSatiriquement%20V%C3%B4tre%5D%20Premier%20ministre%E2%80%A6%20des%20affiches%20%21&amp;1=http%3A//defimedia.info/satiriquement-votre-premier-ministre-des-affiches&amp;2=node/165502" token="ZXqEIZ5YeTmKkebteu6RbBBTiVp4vGmBGWAPsrqjtPw"></drupal-render-placeholder></div> Mon, 18 Nov 2024 04:00:39 +0000 defimedia 165502 at http://defimedia.info [Satiriquement Vôtre] Coquelet en cage au milieu des fauves http://defimedia.info/satiriquement-votre-coquelet-en-cage-au-milieu-des-fauves <span>[Satiriquement Vôtre] Coquelet en cage au milieu des fauves</span> <span><span lang="" about="/users/edinally" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">Eshan Dinally</span></span> <span>dim 17/11/2024 - 07:54</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/coq_ok.jpg?itok=N05olvAh" width="1280" height="720" alt="" typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>Le jeune Adrien Duval fait son entrée dans le nouveau Parlement tel un coquelet fraîchement repêché, pensant peut-être qu'il rejoindra un cercle de grands oiseaux dignes et raisonnables. Mais voilà, le décor est tout autre : il se retrouve au beau milieu d'une arène de fauves affamés, avec ses plumes colorées qui le rendent bien trop visible pour échapper aux prédateurs parlementaires. Et lui, tout fier de son maigre ticket de Best Loser qui lui permet de sauver « Cocorico » de l’extinction temporaire, doit déjà sentir les regards acérés des élus de l’Alliance du Changement, impatients de le « déplumer » à la première occasion.</p> <p>Il faut dire qu'Adrien n’est pas un coquelet ordinaire. Non, monsieur a eu le privilège de siéger comme Speaker durant une poignée de semaines, le temps de savourer le grand fauteuil, de caqueter un peu sur son perchoir, et surtout, de s'assurer une pension à vie, bien dodue. Une véritable bénédiction pour un oiseau aussi jeune ! Mais attention, car les fauves du Parlement, eux, n'ont pas oublié ce privilège disproportionné. Et ils comptent bien le lui rappeler à chaque gloussement qu’il osera émettre.</p> <p>À vrai dire, Adrien, avec sa poitrine bombée et son cocorico bravache, n'a pas tardé à se faire remarquer, même avant d’atterrir dans la cage parlementaire. Lors des négociations de tickets au sein de l’Alliance PTr/MMM/PMSD, le petit coq s’était déjà permis une petite rébellion. N’ayant pas eu ce qu’il voulait, il a battu des ailes jusqu’au chef de l’alliance pour se plaindre. Une scène digne d’un théâtre de boulevard, où le jeune Duval pensait pouvoir négocier comme un vieux coq de combat, ignorant qu’il n’était encore qu’un poussinet sous les plumes de la politique.</p> <p>Mais aujourd’hui, les choses sont différentes. Dans l’arène du Parlement, le coquelet ne bénéficie plus d’aucun abri. Il est à la merci des élus majoritaires, bien décidés à transformer chaque caquètement en opportunité de l’humilier. Le pauvre Adrien n’aura guère le temps de se pavaner ; à peine osera-t-il chanter qu’un fauve surgira pour le ramener à sa place dans une assemblée où ses opposants se frottent les pattes en attendant de le mordre à chaque instant.</p> <p>Pendant ce temps, le patriarche, Xavier-Luc Duval, observe probablement ce spectacle avec un mélange de soulagement et de fierté lointaine. Lui-même n’ayant pas été repêché, il échappe à une humiliation publique mais conserve l’espoir que son rejeton apprenne, au milieu des fauves, à encaisser les coups. Car le PMSD, dynastie de coqs de père en fils, a besoin d’un chef à la peau dure, pas d’un jeune coquelet piqué par des privilèges trop rapides.</p> <p>Finalement, le Parlement n’est peut-être pas qu’une cage pleine de fauves. C’est une école pour Adrien, une jungle où il doit apprendre que la politique n’est pas une basse-cour mais une arène où les faibles sont déplumés et les vantards écorchés vifs. Qu’il prenne note : le cocorico n’impressionne personne ici, et s’il veut survivre, il lui faudra développer un bec et des griffes aussi affûtés que ceux des vieux fauves.<br /> &nbsp;</p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=%5BSatiriquement%20V%C3%B4tre%5D%20Coquelet%20en%20cage%20au%20milieu%20des%20fauves&amp;1=http%3A//defimedia.info/satiriquement-votre-coquelet-en-cage-au-milieu-des-fauves&amp;2=node/165462" token="Kr9bQ508eWKUgDWQ5UG2_3l87EogIacOYpeVuQJ_wUs"></drupal-render-placeholder></div> Sun, 17 Nov 2024 03:54:42 +0000 Eshan Dinally 165462 at http://defimedia.info [Blog] Lettre ouverte à l’Honorable Navinchandra Ramgoolam, Premier Ministre http://defimedia.info/blog-lettre-ouverte-lhonorable-navinchandra-ramgoolam-premier-ministre <span>[Blog] Lettre ouverte à l’Honorable Navinchandra Ramgoolam, Premier Ministre</span> <span><span lang="" about="/users/tsuttyhudeo" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">Suttyhudeo Tengur</span></span> <span>ven 15/11/2024 - 11:15</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/tengur_4.jpg?itok=A6s3XPU3" width="1280" height="720" alt="" typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p><strong>Manifeste électoral de l’Alliance du Changement : Redorer le blason pour que les écoles primaires de l’Etat ne soient plus des « écoles poubelles »</strong><br /> &nbsp;<br /> La relance du secteur éducatif demeure la troisième priorité de l’Alliance du Changement et revêt donc une importance capitale dans le cadre d’un développement durable de l’économie de l’île Maurice.<br /> &nbsp;<br /> Le manifeste de l’Alliance du Changement soutient ceci : « Repenser le système éducatif pour qu’il soit plus équitable, pour encourager la jeunesse à poursuivre les études et à acquérir des connaissances. »<br /> &nbsp;<br /> En effet, il y a un certain nombre de mesures d’encadrement à prendre pour la relance du secteur éducatif. Vu que notre système éducatif est calqué sur le modèle britannique, il est important que le Mauritius Examinations Syndicate (MES) comme l’organisateur principal des examens dans le pays, puisse suivre le pas de Cambridge et indiquer dans son rapport de fin d’examens, le minimum ‘pass marks’ pour un passage de grade 9, soit l’examen national de National Assessment Grade 9 et aussi PSAC Assessment Grade 6. Cela permettrait au corps éducatif, notamment aux enseignants, à revoir le mode de l’éducation et de mieux adapter le système pour une meilleure performance pour les années à suivre.<br /> &nbsp;<br /> Or, dans ses rapports de fin d’examen, le MES ne fait aucune mention de ces ‘pass marks’ de base. Ce qui demeure une grosse lacune dans le système d’éducation et qui ne permet pas aux enseignants de se réorienter. D’où le nombre d’échecs répétitifs d’année en année.<br /> &nbsp;<br /> Un deuxième point non-négligeable pour redonner au secteur éducatif demeure l’absence d’infrastructures dans les institutions primaires publiques. &nbsp;C’est un fait constaté » depuis quelques années déjà que les écoles publiques n’attirent plus d’élèves dont les parents optent pour des institutions privées payantes. D’ailleurs, on notera que le nombre de ces institutions ont poussé comme des champignons après l’orage. En fin de compte, et avec cette gloire perdue, les écoles publiques n’offrent aucun attrait pour inviter de nouveaux élèves dans leurs classes.<br /> &nbsp;<br /> Si les classes dans les écoles publiques sont encore dans un certain état acceptable, il y a une absence criante des infrastructures sportives où les élèves pourraient développer leurs talents physiques – tout aussi bien et complémentaires à leurs capacités mentales.<br /> &nbsp;<br /> Dans plus de 75 % des écoles primaires, ces infrastructures sportives sont quasiment inexistantes. Et dans les régions rurales, la situation continue à s’empirer. Au point où l’on se demande si les écoles publiques ne sont pas devenues des écoles poubelles dans le pays…</p> <p><strong>Suttyhudeo Tengur<br /> 15 novembre 2024</strong></p> <p><br /> &nbsp;</p> <p style="text-align:justify">&nbsp;</p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=%5BBlog%5D%20Lettre%20ouverte%20%C3%A0%20l%E2%80%99Honorable%20Navinchandra%20Ramgoolam%2C%20Premier%20Ministre&amp;1=http%3A//defimedia.info/blog-lettre-ouverte-lhonorable-navinchandra-ramgoolam-premier-ministre&amp;2=node/165392" token="BVMgdR27MxrJeiXSTV0gpzdDuZoUYQvbs5a3t1URUVM"></drupal-render-placeholder></div> Fri, 15 Nov 2024 07:15:08 +0000 Suttyhudeo Tengur 165392 at http://defimedia.info [Satiriquement Vôtre] Vote ou feuilleton : suspense électoral en direct http://defimedia.info/satiriquement-votre-vote-ou-feuilleton-suspense-electoral-en-direct <span>[Satiriquement Vôtre] Vote ou feuilleton : suspense électoral en direct</span> <span><span lang="" about="/users/edinally" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">Eshan Dinally</span></span> <span>sam 09/11/2024 - 12:37</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/feuilleton_ok.jpg?itok=5BbNHLyn" width="1280" height="720" alt="" typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>Ces élections ressemblent-elles encore à une course politique ? Ou bien à un feuilleton captivant où les électeurs oscillent entre promesses et révélations croustillantes ? Chaque jour, une nouvelle intrigue, une nouvelle promesse, un nouveau rebondissement émerge : promesses d’augmentation salariale, allocations boostées, 14e mois, primes exceptionnelles… La déferlante de générosité ferait pâlir même le père Noël en pleine saison des fêtes. Tout cela, bien entendu, enveloppé dans une sincérité désarmante qui ferait fondre les cœurs les plus endurcis.</p> <p>Dans cette symphonie de promesses, on croirait presque que les politiciens ont déniché une sorte de corne d’abondance magique. Et bien sûr, nul besoin de se demander comment tout cela sera financé. Détails, détails ! Après tout, ce n’est pas comme si la réalité allait frapper à la porte après les élections, n’est-ce pas ?</p> <p>Mais ce n’est pas tout. Pendant que certains essaient de séduire les électeurs avec leurs généreuses promesses, d’autres le distraient avec un déluge de scandales. Enter Missier Moustass, le super-héros de l’espionnage politique, avec son arsenal d’enregistrements téléphoniques volés.</p> <p>Chaque jour, il dévoile des petites bombes sonores qui révèlent les propos compromettants de politiciens bien placés et des gens dans le giron du pouvoir. Et on en redemande ! À chaque nouvelle bande, c’est un peu comme si on attendait la prochaine saison de notre série préférée – le suspense est insoutenable, le public ravi.</p> <p>De son côté, Anonymous, le justicier numérique pro-gouvernement, contre-attaque en lançant des enregistrements pour embarrasser l’autre camp. Voilà qui permet de maintenir l’équilibre des potins. C’est comme si on assistait à une compétition olympique de révélations embarrassantes.</p> <p>Les électeurs en prennent plein les oreilles, servis deux fois par jour comme s’il s’agissait d’une médication prescrite contre l’ennui de la vie politique. À ce rythme, qui a encore le temps de lire les programmes ? Il suffit d’écouter les dernières rumeurs !</p> <p>Et dans cette symphonie de promesses et de scandales, l’électeur ? Cette pauvre créature ballottée entre des promesses alléchantes et des secrets exposés, il peine à garder la tête froide. Les indécis changent d’avis à chaque nouvelle révélation. Les convictions s’évaporent et les candidats sont démasqués… et tout cela en direct ! À ce stade, voter devient presque un pari : choisir le candidat « le moins pire » ou se laisser guider par la dernière rumeur ?</p> <p>Mais tout cela n’a pas découragé ceux qui préfèrent les campagnes en mode « old school ». Alors, on murmure dans les coins, on fait appel aux vieux réflexes de loyauté communale, en espérant secrètement que cela influencera « la masse silencieuse » qui reste encore en dehors de ce show permanent. Ah, le bon vieux temps où une campagne électorale se faisait discrètement, sans passer par la case feuilleton radiophonique !</p> <p>Les électeurs, perdus dans ce théâtre d’ombres et de lumières, ne savent plus où donner de la tête. Vote-t-on pour des promesses aussi spectaculaires que le paiement d’un 14e mois ? Ou bien pour ceux qui semblent avoir échappé aux scandales, du moins jusqu’ici ? À ce rythme, voter devient un choix cornélien entre comédie et drame.</p> <p>Pas besoin d’allumer la télévision, car cette campagne, avec ses révélations quotidiennes et ses promesses exubérantes, fournit déjà tout le divertissement nécessaire. Jamais la politique n’aura autant captivé l’attention de l’île. Les promesses rocambolesques et les révélations quotidiennes contenues dans les bandes sonores secrètes transforment chaque citoyen en spectateur d’un feuilleton à rebondissements, digne des meilleures télénovelas.</p> <p>Les enfants découvrent que le « 14e mois » n’est pas un mois magique de l’année, mais une promesse électorale. Les adultes débattent de la « baisse des carburants » avec un mélange de scepticisme et d’espoir. Les aînés, eux, secouent la tête, amusés par chaque nouvelle révélation. Même les plus blasés, habituellement imperméables aux campagnes, guettent désormais chaque annonce et scandale, comme on suit les rebondissements d’une saga qui nous ferait presque oublier la réalité.</p> <p>Allez, courage, cher électeur ! Dans deux jours, tout ceci prendra fin – ou recommencera sous une nouvelle forme. Quant à la question de savoir si ce sera pour le meilleur ou pour le pire… cela restera sans doute le mystère du prochain épisode.</p> <p>Eshan Dinally</p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=%5BSatiriquement%20V%C3%B4tre%5D%20Vote%20ou%20feuilleton%20%3A%20suspense%20%C3%A9lectoral%20en%20direct&amp;1=http%3A//defimedia.info/satiriquement-votre-vote-ou-feuilleton-suspense-electoral-en-direct&amp;2=node/165238" token="MPDmJBvCCYsGM0lmF5scVPutZPpC-U9-fxYUsxNAW3g"></drupal-render-placeholder></div> Sat, 09 Nov 2024 08:37:42 +0000 Eshan Dinally 165238 at http://defimedia.info [Blog] From the Frying Pan…. http://defimedia.info/blog-frying-pan <span>[Blog] From the Frying Pan….</span> <span><a title="Voir le profil utilisateur." href="/users/guest" lang="" about="/users/guest" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">guest</a></span> <span>jeu 07/11/2024 - 08:31</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/desvaux_ok_0.jpg?itok=AYFYmXo3" width="1280" height="720" alt="" typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p><strong>By&nbsp;Jean-Mée Desveaux</strong><br /> <br /> There exists, at this juncture in Mauritius, a window of opportunity that calls for a tactical move at the national level in search of a new political leadership. &nbsp;That is the only way to return Mauritius back to the place it had hitherto held economically and in matters of good governance among other developing states. If we allow this opportunity to close on us because of faintheartedness we will go down in history as the supine generation which allowed the Navin C. Ramgoolam and the Pravind K Jugnauth clans to bleed the country and its suffering people to their heart’s content.</p> <p>We didn’t need the Mo Ibrahim Foundation Index to tell us that “Mauritius overall governance” score had deteriorated at an accelerated pace over the last two mandates of the MSM. The period of such decline coincides so fittingly in time and space that, had the analysis not been carried out by such a reputable international body, one might have been tempted to suspect it was a political shot aimed at unravelling the decade of misrule during which the MSM held power in Mauritius (2014-2024). But for us who have lived that decade, it is not confined to a mere statistical statement. We have lived such a period intensely in the deepest recesses of our fears and anxiety about the future of our society and children.</p> <p>We have, over the years since independence, seen and taken stock of such a myriad of political tricks: lies, treachery, bullying of opponents, swapping of allegiances for financial rewards etc. that we thought we had seen it all. But it took the anarchy and misrule under Mr Pravind Kumar Jugnauth to reach the rock bottom of the political abyss when people are cold-bloodedly murdered for political reasons. Welcome to South America!&nbsp;<br /> <br /> The present Prime minister, very early in the piece, before any serious investigation was carried out, without any hesitation, declared ex cathedra that one of his ministers, the main suspect in the murder of Mr ‘Kaya’ Kistnen, chief political agent in his electorate, is absolutely innocent of the crime that he is suspected to have had a direct role in. The police agreed and chose instead to track the Minister’s &nbsp;brother who was a political adversary. Without the shadow of a doubt, members of the police force declared in a chorus that they were confronted with an obvious case of death by suicide. It was the professionalism of a fearless young magistrate which debunked this tissue of lies to reveal that we were confronted with a case of homicide. The whole MSM party, which has never been a shining example of probity, is now guilty by association of that political murder. The country’s admiration should unequivocally go to the right Honourable Nando Boda who was the only politician who had the kudos to dump his ministerial position on the account of that murder which he was loathe to associate himself with. His resignation from all the instances of the MSM deserves our vote for such bravery and moral example which no one else in the that party endeavoured to emulate.&nbsp;</p> <p>The sundry affairs revealed at present under the title of “Mr Moustache Leaks” are as varied and shocking as one can expect from the rule of a mafiosi government. Each leak has its particular flavour and &nbsp;contour. However, by far, the most frightening item revealed so far harks back to the theme of the above hushed-up homicide case, when we hear a voice attributed to the Commissioner of Police giving a verbal instruction to Doctor Gungadin, a well-known name among our “Médecins légistes”, in charge of the post mortem, not to examine the victim’s private parts where he received a mortal blow from the police. The subdued acquiescence of the voice attributed to the doctor at that peremptory order of the voice that sounds like that of the Police Commissioner to find a “natural cause” should give a shudder along the spine of the 1.3 million Mauritians. Is that the pits that our moral and legal infrastructure has fallen into in this country?!</p> <p>We can’t leave this topic without mentioning the fact that Mauritius has, as far as several of its Police commissioners are concerned, deserved the status of a depraved state. The last three Commissioners or so showed us without the shadow of a doubt that the police force is under a kind of spell, an osmosis, whereby the worst elements float to the surface. The numerous occasions whereby the present incumbent was on the wrong side of the law or of sheer decency are too numerous to relate here. His proximity with the ruling clique seems to be based on another quid pro quo : “you scratch my back, I scratch yours”. When it’s not his son who commits serious financial fraud only to receive a presidential pardon under pressure from his Daddy, it’s the Daddy himself whose foul mouth doesn’t even respect the most sacred religious entities under the firmament. Quite consistent with such an osmotic process, when a policeman shows thorough honesty and fearless pursuit of the worst criminals in Mauritius, as did the Chief Inspector Hector Tuyau, a glass ceiling is put above his head to keep him down so that he never reaches a position where he can purge the force of the rotten elements that are at the beck and call of corrupt politicians when it’s not drug lords, themselves, who receive unencumbered visas and passports</p> <p>Is there any need to remind the reader that PKJ, who has ruled over such state of affairs, has also systematically demolished the whole fragile structure of the national wage and salary system in his indefatigable attempt to bribe our million voters to go against their better judgement to kick him out of office in a majestic BLD.&nbsp;</p> <p>His moral and political association with and support for India’s PM Modi and its Islamophobic, mosque-destroying BJP whose philosophy he seems to have no compunction in supporting, stands as a serious menace in a multicultural Mauritius where 20% of our compatriots would take umbrage at such affiliation. Still in the realm of foreign policy he has succeeded not only in sacrificing our sovereignty over Agalega which every serious Indian newspaper recognises as an Indian Military base on the basis of a shameful secret deal between the Indian super power and its servile micro neighbour. In this instance there was a quid pro quo in the form of a lovely and quite successful Light Rail Transit which had remained a dream thus far.<br /> <br /> Mauritius has become a State that offers its sovereignty over our inalienable territory for sale to the highest bidder. Thus, the lengthy legal battle that compelled the two big anglo-saxon super powers to recognise our sovereignty over the Chagos Islands through the highest international court of Justice, was squandered for 99 years (renewable) to the USA as a base from which to bomb Iran and the middle east back to the rock age and torture their prisoners to their hearts’ content without infringing any of their own countries’ most respected statutes. This BLOOD MONEY makes every murderous American adventure in the region as a &nbsp;blot on the conscience of each and every Mauritian citizen. The quid pro quo this time is a yearly rent to be paid by the Americans via the British ex colonial &nbsp;power to the Mauritian treasury. Morality does not fill a hungry Mauritian belly. This paradigm from the founder of the MSM party will resonate through the ages to haunt us.&nbsp;</p> <p>Mr Pravin K Jugnauth’s latest pernicious political mores was to unashamedly bribe every man and his dog to vote for him. In an endeavour to corrupt the electorate to support him at the next election, he has wreaked havoc on our Basic Retirement pension system, and turned the national debt from the vicinity of 60%+ of the national GDP when the MSM came to power to nearly hugging the fateful 100% level now. The sheer waste of national resources in the opportunity cost involved in repaying the huge interest on such a level of debt should preclude him from ever regaining power over this nation.</p> <p>The kind reader who has patiently followed us so far must wonder where this reasoning will lead us to. Let me hasten to reassure him that I am not inviting him to jump from the frying pan into the fire! The Latin languages rendering of this saying is to escape from Charybdis to fall into Scylla, both being monsters facing each other on the coasts of Italy and Sicily respectively. That analogy is quite fitting when we speak of the two political monsters that the country is mesmerised to choose from during the next election.</p> <p>Mr Navin Chandra Ramgoolam, the twice disavowed (2014&amp;2019) leader of the Labour party, is like an over-ripe fruit that is just about to crash to the ground. It is blatantly obvious that the elections NCR has twice lost in electorates he hand-picked for himself are directly caused by his unique blend of: incompetence, indolence, […] irresponsibility in matters of national importance and a lewdness that was pervasive throughout his 14 years in power. No politician is expected to be a saint. But not only has Navin C. Ramgoolam unashamedly and repeatedly humiliated a lady with an uncommon blend of stoicism and dignity in front of the nation, but to boost, he had invented his own “cuisine” before the phrase was coined for Pravin K Jugnauth. To have access to the PM during his prime ministership, the visitor needed to obtain the acquiescence of his favourite who would put a word in the PM’s ears on his/her behalf.</p> <p>His return to power in 2005 is a lesson that we should never forget. After 5 years in the sin bin of opposition, he had not undergone an iota of change to reform his undisciplined self. Between 2005 to 2014 he gave the nation ample reasons to be thoroughly ashamed of the depravity and debauchery that he dragged us and the country into. He does not have the wisdom of someone who learns from his past mistakes. In fact, he gives all the signs that he is incapable of changing for the better.</p> <p>Politically, not only has the Labour Party lost these last two elections in quick succession under his (mis)rule, but his personal popularity had fallen so low that, until the last minute, in both cases, he was repeatedly unable to choose an electorate which would turn a blind eye to his abysmal record. The enlightenment of these two electorates, mainly the intelligent people of Triolet who have been a model for the rest of the county, needs to be acknowledged and praised. It is to the incorruptible electorate of Triolet that all Mauritians are once more turning their eyes to in the hope that our country returns to normalcy. Triolet must not vote for Navin again. It will earn the nation’s eternal gratitude in doing such a favour to country.</p> <p>More than anything though, it is the 2014 post electoral days that showed his nadir when Rs 220 millions were found to be lying unexplained in his personal coffers. Any attempt at explaining that the money had been earmarked for use to build the party’s HQ turned out to be contradicted by the secretary of the party. His explanation then took the form of his “per diem” (the extra money officers get to live on when they are on duty in foreign countries). That was obviously another gross exaggeration that didn’t tally up. After so many years Navin has not even deigned to tell the country what he would do with that treasure if, against all probability it is returned to him. Around the end of the last decade, documents the MCB declared genuine showed indubitably that he had squandered millions from the party accounts for his own personal gratification. Adding insult to injury, his paramour is living like a princess in Italy with the fortune she absconded with on the day following the election. In the meantime, tens of thousands of Mauritians are still parked like cattle in longères 30 years after their ramshackle shelters were blown away by a cyclone.</p> <p>Not even in the heart of Africa has a political leader with such an abysmal record been allowed to contemplate returning to power. Each one of this plethora of misdemeanours should constantly stand as a memento used by patriots to plague him back and boot him out of the political arena for good. We must not fall into the illusion that is created by his lackeys that he is innocent since legal technicalities and other esoteric niceties have got him so far off the hook of spending several well deserved years in jail as would have happened in any self-respecting country. Those who follow him today are hangers on, nonentities, like the President of the LP, who live off the mirage of a political power NCR promises to retrieve soon.&nbsp;</p> <p>It must be recognised nationally that with such a track record, Navin’s posture as the next PM is one of the greatest motivation for the one million electors to be sorely tempted to vote again for PKJ. That Navin has ignored this risk to the future well-being of the country is another proof of the self-centredness and egocentricity of someone who has still not attained the status of a true Statesman. He never will.&nbsp;<br /> <br /> The sense of entitlement of &nbsp;Navin C. Ramgoolam has no limit. He had the privilege and prerogative to be at the helm of the county in spite of the numerous instances he gave the nation that he is far from being qualified for such a lofty role. The ease with which he declared himself as irreplaceable at the top of the Labour Party to the exclusion of any other is based unequivocally on the fact that he is the son of the Father of the nation, SSR. Should we not ask ourselves whether a real patriot like SSR would have voted for such an “enfant prodigue” as Navin! Would he have entrusted the nation that he painstakingly built through thick and thin to smear both his family reputation and the fate of Mauritius?&nbsp;<br /> <br /> In spite of all this no one in the Labour rank has yet had the fearless mettle and audacity to challenge him even though he has been banished from entering parliament for such a lengthy period. It must be acknowledged that Navin has not hesitated to use the brute force of his hangers on to scare anyone from challenging him.&nbsp;</p> <p>What is there to be done therefore? Making abstraction of their leaders for a minute, the MSM Party is guilty by association with the Moka politically motivated homicide. The Labour Party does not have such a blot on its record. I dare dream of the people of Mauritius voting for Labour to regain power with the decisive fate of Navin Ramgoolam left to the able hands of the Triolet electorate to courageously reject again. It has been done twice before but that was not enough for the message to get through. Let us do it a last time and rid ourselves of the leeches that feed off the country’s blood.&nbsp;</p> <p>Due to Labour’s weight on the electoral list vis a vis the MMM, no labourite needs to fear that the fall of Navin will automatically promote Paul R Bérenger as PM. Paul has decimated his party which is now a mere spectre of what it used to be. A sizeable number of his former able members are now in the clutch of the MSM and are de facto guilty by association with at least one political crime on their conscience and C.V. A defeated MSM being beaten by a leaderless victorious Labour party in power with the support of the MMM could well be our answer. The parliamentary labour party would meet to vote for a new leader after a period of reflexion and the country would once more be able to breather freely in the model of a proper Westminsterian parliament. May be I am a dreamer but I sincerely hope I am not the only one. I pray that this vision may be shared by the many concerned patriots who have decided not to be forced to choose between the plague and Cholera.&nbsp;</p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=%5BBlog%5D%20From%20the%20Frying%20Pan%E2%80%A6.&amp;1=http%3A//defimedia.info/blog-frying-pan&amp;2=node/165164" token="C9lD23lB0-FlRb8w80sMsrEoULRRR84d49T7iVf6Kys"></drupal-render-placeholder></div> Thu, 07 Nov 2024 04:31:09 +0000 guest 165164 at http://defimedia.info [Satiriquement Vôtre] L’huile rend le PM glissant http://defimedia.info/satiriquement-votre-lhuile-rend-le-pm-glissant <span>[Satiriquement Vôtre] L’huile rend le PM glissant</span> <span><span lang="" about="/users/edinally" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">Eshan Dinally</span></span> <span>jeu 07/11/2024 - 07:49</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/pkj_thumb.jpg?itok=8rmnyXwP" width="1280" height="720" alt="" typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>À quelques jours des élections, le Premier ministre sortant Pravind Jugnauth pensait avoir tout prévu : des promesses bien huilées, des discours bien ficelés et un plan infaillible pour séduire les électeurs. Mais un adversaire inattendu a fait déraper son joli plan : la hausse des prix. Et surtout l’huile. Oui, l’huile, ce pilier de la cuisine mauricienne, est devenue le véritable candidat surpris de la campagne, laissant l’Alliance Lepep sur une pente… glissante.<br /> <br /> Les prix s’envolent : l’huile devient une denrée presque précieuse, et chaque goutte représente une menace pour le portefeuille des citoyens. Les gâteaux piments, les samoussas, et même le vénérable dholl puri sont à la merci de cette flambée. L’Alliance du Changement, principale alliance de l’opposition, n’a qu’à se frotter les mains. Enfin, elle a un allié de poids : une inflation qui se charge de rappeler au peuple, avec chaque ticket de caisse, que la vie sous le gouvernement de Pravind coûte cher. La campagne de l’opposition est devenue une affaire de prix de l’huile, et ils n’ont même pas eu besoin de la faire frire.<br /> <br /> En réponse, Pravind Jugnauth tente de garder l’équilibre. Face aux opérateurs économiques qu’il accuse de « faire de la politique », il est monté au créneau. Dans un discours aussi épicé qu’un massala bien dosé, il a averti : « Mo lans zot enn avertisman. Zot pe rod fer politik. Zot pe rod rant dan politik. Na pa vinn badine ar mwa. Na pa vinn badine ar lepep. » Dans sa vision, ces opérateurs deviennent des « chamchas », de simples serviteurs de l’opposition qui, armés de leurs bouteilles d’huile, auraient comploté pour lui faire perdre pied.<br /> <br /> Quant au peuple, il reste spectateur impuissant de cette comédie où l’économie se mêle à la politique dans une bataille aux allures de cuisine interne. Doit-on alors voter en pensant au prix du dholl puri ou en écoutant les mises en garde du Premier ministre ? L’huile, cette discrète héroïne des fourneaux, est-elle devenue le baromètre de la justice sociale ? Dans cette farce électorale, le verdict s’annonce piquant : le peuple saura-t-il dissocier le goût amer de l’inflation de ses choix dans l’urne ?<br /> <br /> Ainsi va la campagne, où l’huile glisse et fait trébucher les certitudes. Les urnes n’ont peut-être jamais été aussi bien huilées… ou aussi glissantes.</p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=%5BSatiriquement%20V%C3%B4tre%5D%20L%E2%80%99huile%20rend%20le%20PM%20glissant&amp;1=http%3A//defimedia.info/satiriquement-votre-lhuile-rend-le-pm-glissant&amp;2=node/165163" token="hcGP9Q1pLlx_Ykq9BHocEslVfGNj0t8GuGswGUhvZtY"></drupal-render-placeholder></div> Thu, 07 Nov 2024 03:49:26 +0000 Eshan Dinally 165163 at http://defimedia.info [Satiriquement Vôtre] Un Numéro 3 inoffensif dévoué http://defimedia.info/satiriquement-votre-un-numero-3-inoffensif-devoue <span>[Satiriquement Vôtre] Un Numéro 3 inoffensif dévoué</span> <span><span lang="" about="/users/edinally" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">Eshan Dinally</span></span> <span>mer 06/11/2024 - 07:48</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/pm_thumb.jpg?itok=giH03hmK" width="1280" height="720" alt="" typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>Ah, mesdames et messieurs. Voici notre Shakeel Mohamed, catapulté Numéro 3 de l’Alliance du Changement, la position « ni trop haut ni trop bas », parfaite pour susciter l’inquiétude générale. Le voilà visé par certains de ses adversaires de L’Alliance Lepep et par une brigade de snipers digitaux, prêts à tout pour trouver la faille. Et qu’est-ce qu’on lui reproche ? D’oser exister dans la hiérarchie et, comble de l’horreur, d’être potentiellement, vaguement, hypothétiquement dans une position qui pourrait, avec beaucoup d’imagination, mener au poste de Premier ministre. Le scandale, n’est-ce pas ?</p> <p>Pour se défendre des insinuations perfides, Shakeel clame haut et fort : « Mo pena okenn anbision preministeriel ! Se pa sa mo vizion. » Un cri du coeur digne des grands stoïciens. Car qui dans cette île peut dire sans frémir : « Ambition ? Non merci ! Premier ministre ? Certainement pas, je laisse cela aux autres ! » Quelle sincérité, quelle humilité ! Dans un monde où les politiciens se battent pour chaque miette de pouvoir, Shakeel défie les normes en ne voulant… rien. Et quel art subtil de se rendre inoffensif ! Il n’est pas là pour déranger, encore moins pour bousculer l’ordre établi. Il tient juste à être là, pour vous, pour nous, sans arrière-pensée. Pas de convoitise, pas de grande vision d’avenir.</p> <p>Alors, qu’est-ce qu’un Numéro 3, dans le fond ? Ni leader, ni second. C’est l’éternel numéro d’équilibriste. Un Numéro 3 sans dents, ni griffes, comme un lion végétarien au sein de la jungle politique. Pas assez haut pour prendre la tête, mais juste assez pour attiser la paranoïa de quelques esprits chagrins.</p> <p>Ce n’est pas synonyme d’une ambition dévorante – c’est simplement une place dans l’ordre du protocole. Une position singulière, une sorte de purgatoire politique où l’on est trop haut pour être ignoré, mais pas assez pour en faire un danger réel. Rappelons que le Premier ministre, dans les traditions mauriciennes bien ancrées, a une couleur, une saveur, une odeur spécifique : celle du curry national.</p> <p>Ses détracteurs ne sont pourtant pas rassasiés. Un Numéro 3 de la trempe de Mohamed, même sans ambition, ne leur inspire qu’une confiance relative. Il n’en fallait pas plus pour qu’ils soupçonnent cet homme sans appétit de pouvoir de nourrir en secret des ambitions cachées.</p> <p>À Maurice, on aime la diversité, mais à petites doses, et surtout lorsqu’elle reste bien rangée. À l’idée de voir Shakeel s’installer durablement en position de leader potentiel, certains s’interrogent, d’autres paniquent et notre Shakeel se défend, encore et toujours.</p> <p>Alors oui, Shakeel Mohamed incarne cette nouvelle figure de l’homme politique : l’inoffensif dévoué, qui monte dans la hiérarchie pour mieux prouver sa non-dangerosité. Il navigue, stoïque et résigné, dans les eaux troubles des suspicions et des clichés bien ancrés, armé de sa rhétorique anti-ambitionnelle. Peut-être même deviendra-t-il un modèle pour cette catégorie d’hommes politiques mauriciens qui renient ouvertement l’ambition suprême, le « Groupe des Sans Envie ».</p> <p>&nbsp;</p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=%5BSatiriquement%20V%C3%B4tre%5D%20Un%20Num%C3%A9ro%203%20inoffensif%20d%C3%A9vou%C3%A9&amp;1=http%3A//defimedia.info/satiriquement-votre-un-numero-3-inoffensif-devoue&amp;2=node/165128" token="Cvh3IomKPh9eAX8si1McSZ1m8jnwGEEv8FGnsKX2ygc"></drupal-render-placeholder></div> Wed, 06 Nov 2024 03:48:39 +0000 Eshan Dinally 165128 at http://defimedia.info [Satiriquement Vôtre] Alan Ganoo, l’émir des tropiques  http://defimedia.info/satiriquement-votre-alan-ganoo-lemir-des-tropiques <span>[Satiriquement Vôtre] Alan Ganoo, l’émir des tropiques </span> <span><span lang="" about="/users/edinally" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">Eshan Dinally</span></span> <span>mar 05/11/2024 - 08:05</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/ganoo_ok_0.jpg?itok=FZrzZln0" width="1280" height="720" alt="" typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>Ah, Maurice, île bienheureuse ! Dans une ambiance digne des plus grandes comédies, Alan Ganoo, orateur émérite, a offert une performance électorale haute en couleur le dimanche 3 novembre. Avec une rhétorique aussi expansive que flatteuse, il a proclamé, sans rougir, que sous la férule visionnaire du Premier ministre sortant Pravind Jugnauth, le pays s’est transformé en rien de moins que le «Dubaï de l’Afrique » et le « Singapour de l’océan Indien ». Rien que ça !</p> <p>On imagine déjà des gratte-ciels de cristal surgir de terre comme par magie, des autoroutes futuristes reliant chaque village à des centres commerciaux de luxe, et des plages où les touristes, jet-setters et amateurs de soleil, défilent tout au long de l’année. Il faut avouer que la comparaison est à la fois audacieuse et irrésistible.&nbsp;</p> <p>Qui aurait cru que les embouteillages et les nids-de-poule mauriciens puissent rivaliser avec les avenues étincelantes de Dubaï, ou que nos services publics, aussi fiables qu’un parapluie troué, nous positionnent dans la cour des grands, à la hauteur de Singapour ?&nbsp;</p> <p>Mais Alan Ganoo ne s’est pas arrêté là. Non content de brosser un tableau aussi rose qu’un flamant après une cure de bonbons, il a lancé une mise en garde contre l’ingratitude, ce fameux « namakaram » qui pourrait pousser les électeurs à priver Jugnauth de son trône de chef d’orchestre de notre avenir radieux. Car oui, chers compatriotes, après tant de merveilles en si peu de temps, comment pourriez-vous ne pas réélire celui qui transforme chaque caillou en pépite et chaque flaque en lagon cristallin ?&nbsp;</p> <p>Comment ne pas être reconnaissants pour cette audacieuse comparaison avec Dubaï, ville où le luxe se mesure en carats et où les voitures de sport côtoient des taxis rutilants ? Qui pourrait se plaindre, même si quelques infrastructures de base manquent encore, tant que les panneaux promettant le développement fleurissent à chaque coin de rue, rappelant qu’un jour, peut-être, nous aussi pourrons nous prendre pour des émirs modernes ?&nbsp;</p> <p>Il est donc du devoir de chaque citoyen reconnaissant de fermer les yeux sur les désagréments du quotidien pour se concentrer sur l’essentiel : cette vision grandiose qui fait de notre île un phare éblouissant, visible jusqu’aux confins de l’océan Indien, voire de la galaxie.</p> <p>Alors, en route pour cinq ans de plus sous la baguette enchantée de Pravind Jugnauth. Car après tout, pourquoi se contenter d’être le « Dubaï de l’Afrique » quand on peut également devenir le « Monaco de l’hémisphère sud » et le « Las Vegas des tropiques » ? La gratitude, mes amis, n’a pas de prix... Du moins pour l’instant.</p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=%5BSatiriquement%20V%C3%B4tre%5D%20Alan%20Ganoo%2C%20l%E2%80%99%C3%A9mir%20des%20tropiques%C2%A0&amp;1=http%3A//defimedia.info/satiriquement-votre-alan-ganoo-lemir-des-tropiques&amp;2=node/165093" token="INO8SByoYqs2kyaLdkXMowXBIe_Wiv_tkxKNcsnKLJE"></drupal-render-placeholder></div> Tue, 05 Nov 2024 04:05:53 +0000 Eshan Dinally 165093 at http://defimedia.info [Blog] Législatives : trois scénarios possibles pour le quinquennat 2024-29 http://defimedia.info/blog-legislatives-trois-scenarios-possibles-pour-le-quinquennat-2024-29 <span>[Blog] Législatives : trois scénarios possibles pour le quinquennat 2024-29</span> <span><span lang="" about="/users/matchia" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">Dr Michael Atchia</span></span> <span>lun 04/11/2024 - 11:48</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/atchia_4.jpg?itok=qP6qehuN" width="1280" height="720" alt="" typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>Comme pour les élections américaines du 5 novembre (Harris et Trump à&nbsp;1 % de différence) la marge entre Lepep et Changement&nbsp;nous amène à ces 3 scénarios possibles&nbsp;pour diriger le pays&nbsp;:</p> <p><strong>1. VICTOIRE DU MSM/PMSD.&nbsp;</strong></p> <p>Pravind Jugnauth continue à diriger un gouvernement de réformes structurelles, de services de santé et d'éducation de valeur, de dons aux populations et peut-être, pour ses nouvelles cinq années au pouvoir, des réformes nécessaires au pays. Une force additionnelle sera l’apport du PMSD, surtout dans le domaine du tourisme.&nbsp;Et naturellement, préparer adéquatement Maurice et les îles aux défis climatiques, énergétiques, alimentaires et de communication qui vont se développer dans les prochains 5/10/20 ans.</p> <p><strong>2. VICTOIRE DU PTr/MMM.&nbsp;</strong><br /> <br /> Navin Ramgoolam et Paul Bérenger relanceront l’économie, l’autosuffisance, les réformes nécessaires, et (espérons-le) l’ouverture pour tous. Et naturellement, préparer adéquatement&nbsp;Maurice et les îles&nbsp;aux défis climatiques, énergétiques, alimentaires et de communication qui vont se développer dans les prochains 5/10/20 ans.</p> <p><strong>3.&nbsp;GOUVERNEMENT D’UNITÉ NATIONALE&nbsp;</strong></p> <p>Si personne ne réussit à avoir une majorité confortable pour gouverner.&nbsp;Sous quelles structures&nbsp;?&nbsp;<br /> Voici un possible scenario pour ce&nbsp;gouvernement d’unité nationale&nbsp;:</p> <p>Sous un PM simplement coordinateur, qui serait celui dont le parti aura eu le plus d’élus, donc probablement Navin ou Pravind. Avec 6 DEPUTY PRIME MINISTERS (DPM) chacun avec plein pouvoir pour diriger, gouverner un ou plusieurs secteurs clés de la vie du pays. Avec un rôle accru du Président pour les nominations sur les Boards, etc.<br /> &nbsp;<br /> PAR EXEMPLE&nbsp;:&nbsp;Le PTr&nbsp;&nbsp;avec comme DPM Navin Ramgoolam ou Arvin Boolell dirigeant les grands ministres sociaux, comme la Santé, l'Environnement, l’Agriculture, la production&nbsp;et les reformés ; le MSM avec Pravind ou Leela Devi Dookun-Luchoomun comme DPM dirigeant l’Infrastructure, la Sécurité sociale ; le MMM sous Paul comme DPM dirigeant l’économie et les finances&nbsp;; le PMSD sous Xavier-Luc Duval dirigeant le Tourisme, le Transport maritime et aérien&nbsp;; Linion Reform sous Roshi dirigeant justement un vaste programme de réformes dont la République a besoin et Nando Bodha dirigeant les Affaires Étrangères&nbsp;; la Plateforme militante sous Steven dirigeant l’Éducation et/ou le Logement, etc.&nbsp;&nbsp;Dépendant évidemment du nombre et des qualifications/expérience des élus de chaque parti.</p> <p>Plus un groupe d’élus de ces mêmes six partis constituant un Shadow Cabinet pour veiller, surveiller, corriger et améliorer les actions/projets/, etc. des ministres.</p> <p>Dans un monde en grande ébullition présent et à venir (climatique, énergétique, ressources en eau et en aliments, etc.) un gouvernement constitué de nos meilleurs éléments travaillant ensemble serait bon et nécessaire pour Maurice. Au-dessus des considérations partisanes de partis. Cela demandera de gros efforts de la part des partis et des élus, mais peut marcher pour le bien supérieur du pays.</p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=%5BBlog%5D%20L%C3%A9gislatives%20%3A%20trois%20sc%C3%A9narios%20possibles%C2%A0pour%20le%C2%A0quinquennat%202024-29&amp;1=http%3A//defimedia.info/blog-legislatives-trois-scenarios-possibles-pour-le-quinquennat-2024-29&amp;2=node/165065" token="deME61vMTuMhjMe3J6yuW_ZYosb1NmF85y2rtK92kS8"></drupal-render-placeholder></div> Mon, 04 Nov 2024 07:48:48 +0000 Dr Michael Atchia 165065 at http://defimedia.info