Actualités http://defimedia.info/categorie/actualites fr Fête de la Musique : des mesures en cours pour soutenir les artistes http://defimedia.info/fete-de-la-musique-des-mesures-en-cours-pour-soutenir-les-artistes <span>Fête de la Musique : des mesures en cours pour soutenir les artistes</span> <span><a title="Voir le profil utilisateur." href="/users/defimedia" lang="" about="/users/defimedia" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">defimedia</a></span> <span>ven 20/06/2025 - 14:41</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/img-20250620-wa0004.jpg?itok=u8eTqBk8" width="1280" height="720" alt="" typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>À l’occasion de la Fête de la Musique, célébrée ce 21 juin, le ministre des Arts et de la Culture, Mahen Gondeea, a réaffirmé l'engagement du gouvernement à renforcer le secteur musical et artistique à Maurice.</p> <p>Selon un communiqué émis le 19 juin, plusieurs mesures clés sont en cours de mise en œuvre cette année :</p> <p>• La mise en place d’un Guichet Culturel Unique, destiné à simplifier les démarches administratives pour les artistes et les organisateurs d’événements culturels.</p> <p>• La révision du statut des artistes, afin de garantir de meilleures conditions de travail et une protection adaptée à leur réalité professionnelle.</p> <p>• Le lancement prochain des Assises des Arts et de la Culture, un espace de concertation nationale pour élaborer une politique culturelle inclusive.</p> <p>• Une réforme en cours de la Mauritius Society of Authors (MASA), visant une meilleure valorisation des droits d’auteur et une rémunération équitable des artistes.</p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=F%C3%AAte%20de%20la%20Musique%20%3A%20des%20mesures%20en%20cours%20pour%20soutenir%20les%20artistes&amp;1=http%3A//defimedia.info/fete-de-la-musique-des-mesures-en-cours-pour-soutenir-les-artistes&amp;2=node/173369" token="7qVCFT-h0P5mv1fWbCDdsSsjrtrCcReSCNhRG0RvCHE"></drupal-render-placeholder></div> Fri, 20 Jun 2025 10:41:29 +0000 defimedia 173369 at http://defimedia.info Incendie au collège John Kennedy : deux anciens élèves passent aux aveux http://defimedia.info/incendie-au-college-john-kennedy-deux-anciens-eleves-passent-aux-aveux <span>Incendie au collège John Kennedy : deux anciens élèves passent aux aveux</span> <span><a title="Voir le profil utilisateur." href="/users/defimedia" lang="" about="/users/defimedia" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">defimedia</a></span> <span>ven 20/06/2025 - 11:57</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/img-20250616-wa0008_0.jpg?itok=bBJ6R0Gg" width="1280" height="720" alt="" typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>Quatre anciens élèves du collège John Kennedy, à Beau-Bassin, sont soupçonnés d’avoir mis le feu à deux salles de classe.</p> <p>L’acte aurait été motivé par un désir de vengeance envers leur ancien professeur de mathématiques.</p> <p>Les faits se sont produits dans la nuit de dimanche à lundi.&nbsp;</p> <p>Deux suspects ont déjà été arrêtés et sont passés aux aveux. Les deux autres sont toujours recherchés.</p> <p>Selon les premiers éléments de l’enquête, les quatre jeunes s’étaient retrouvés dans la capitale pour une fête. C’est à ce moment qu’ils auraient décidé de se venger de leur enseignant avec qui ils avaient eu un différend depuis plusieurs années.</p> <p>Ils se sont ensuite rendus à Bagatelle pour acheter des bombes de peinture, puis à une station-service de Beau-Bassin pour se procurer de l’essence.</p> <p>Arrivés près du collège, ils ont fait le guet, sachant que des agents de sécurité sont habituellement présents sur les lieux. Cependant ce jour-là, il n'y avait personne.</p> <p>Les quatre suspects auraient alors escaladé la grille principale avant de pénétrer dans deux salles de mathématiques. Deux d’entre eux ont mis le feu, tandis que les deux autres ont tagué les murs avec des graffitis. Ils ont ensuite pris la fuite.</p> <p>Une enquête minutieuse menée par les sergents Murdhen, Radhaykeessoon, Émilien et Libron, de la CID de Beau-Bassin, a permis d’identifier les suspects.</p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=Incendie%20au%20coll%C3%A8ge%20John%20Kennedy%20%3A%20deux%20anciens%20%C3%A9l%C3%A8ves%20passent%20aux%20aveux&amp;1=http%3A//defimedia.info/incendie-au-college-john-kennedy-deux-anciens-eleves-passent-aux-aveux&amp;2=node/173364" token="1b7n8dgFajDgfv2UKS1bBncCTDXm1Vhi6KGVOCmmNcs"></drupal-render-placeholder></div> Fri, 20 Jun 2025 07:57:34 +0000 defimedia 173364 at http://defimedia.info Brin d’histoire : de l’abolition du controversé «means test» à son éventuel retour http://defimedia.info/brin-dhistoire-de-labolition-du-controverse-means-test-son-eventuel-retour <span>Brin d’histoire : de l’abolition du controversé «means test» à son éventuel retour</span> <span><span lang="" about="/users/quotidien" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">Defi Quotidien</span></span> <span>ven 20/06/2025 - 08:00</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/pension_1_0.jpeg?itok=ZHcIgQdS" width="1280" height="720" alt="" typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>Le « means test », une enquête consistant à vérifier les revenus et les biens d’une personne pour déterminer si elle a droit à une aide ou à une prestation sociale, revient au-devant de l’actualité dans le cadre de l’application de la réforme des pensions. Cela bien que ce système ait été au centre des polémiques dans les années 50 et en 2004.</p> <div class="alert alert-danger"> <h3>1950&nbsp;à 1958&nbsp;</h3> <p>Maurice a connu plusieurs expériences du « means test ». Le premier a débuté de 1950 à 1958 et excluait les 20 % à 25 % de personnes âgées les plus riches. « Ce premier test était le plus coûteux et le plus impopulaire, car il était coûteux à administrer et entraînait une violation de la vie privée », rapporte Larry Willmore dans un rapport des Nations Unies intitulé « Universal Pensions in Mauritius: Lessons for the Rest of Us » publié en avril 2003.</p> </div> <div class="alert alert-info"> <h3>&nbsp;Ces 3 problèmes majeurs à l’époque&nbsp;</h3> <p><strong>1. Une humiliation pour de nombreux seniors&nbsp;</strong><br /> « Une enquête était menée. En gros, les gens devraient prouver qu’ils étaient pauvres. C’était humiliant pour beaucoup », se rappelle Jocelyn Chan Low, historien et politologue. « C’était une atteinte à la dignité des seniors. Les économistes sont bien au courant de cela », ajoute-t-il.&nbsp;</p> <p><strong>2. Un système propice aux abus et à la corruption</strong><br /> Le « means test » était à l’origine de beaucoup d’abus, explique Jocelyn Chan Low. L’officier, qui menait l’enquête, décidait qui avait droit ou non à une pension. « Ce qui a donné lieu à des cas d’abus et de corruption, qui ont même été évoqués à l’Assemblée », souligne-t-il.&nbsp;</p> <p><strong>3. Une « prime à la malhonnêteté »&nbsp;</strong><br /> Jocelyn Chan Low qualifie le « means test » de « prime à la malhonnêteté ». « Une personne honnête qui déclarait ses revenus ne touchait pas la pension, tandis que ceux opérant dans l’informel et dissimulant leurs gains pouvaient percevoir la pension. Ce n’est pas moralement justifiable. Cela incitait les gens à ne pas déclarer leurs revenus et à être malhonnêtes », explique notre interlocuteur.&nbsp;</p> </div> <h3>1965 à 1976&nbsp;</h3> <p>Le second « means test », qui a duré de 1965 à 1976, excluait uniquement que les personnes assujetties à l’impôt sur le revenu, soit 5 % au maximum de la population âgée. « Ces deux ‘means tests’ ont permis de réaliser des économies budgétaires, mais ils ont également envoyé des signaux faussés aux travailleurs. Les deux tests ont découragé les travailleurs à faible revenu d’épargner pour leurs vieux jours ou de continuer à travailler, même à temps partiel, au-delà de l’âge normal de la retraite », peut-on lire dans le rapport des Nations Unis de 2003.</p> <h3>2004&nbsp;</h3> <p>En 2004, le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale tirent la sonnette d’alarme : le système de pension universelle, le Basic Retirement Pension (BRP), devient financièrement insoutenable à long terme. Le gouvernement de l’époque – une coalition MMM/MSM avec Paul Bérenger comme Premier ministre et Pravind Jugnauth aux Finances – propose une réforme de pension reposant sur un « means test ».&nbsp;</p> <h3>Le barème proposé à l’époque&nbsp;</h3> <p>• Revenus inférieurs à Rs 18&nbsp;000 : pension versée dans son intégralité &nbsp;<br /> • Revenus entre Rs 18 000 et Rs&nbsp;23&nbsp;000 : pension partielle&nbsp;<br /> • Revenus supérieurs à Rs 23&nbsp;000&nbsp;: aucune pension&nbsp;</p> <h3>2008&nbsp;</h3> <p>Sous le gouvernement travailliste, l’âge de la retraite est relevé de 60 à 65 ans. Cependant, l’âge de l’éligibilité à la pension universelle est resté fixé à 60 ans. En mai 2008, Navin Ramgoolam avait annoncé le maintien du principe universel de la pension de vieillesse. « Tous, riches comme pauvres, continueront à en bénéficier, à la seule condition qu’ils aient 60 ans ou plus », avait-il déclaré, tout en défendant le relèvement progressif de l’âge légal de la retraite à 65 ans.</p> <h3>2025&nbsp;</h3> <p>Dans son premier Budget, l’Alliance du Changement annonce que l’âge d’éligibilité à la pension universelle sera progressivement relevé de 60 à 65 ans. Face à la vive contestation suscitée par cette mesure, le Premier ministre Navin Ramgoolam a annoncé le lundi 16 juin 2025 la création de deux comités. Le premier sera chargé « d’examiner les possibilités d’aide aux personnes âgées de 60 à 65 ans travaillant dans des secteurs aux conditions difficiles, ainsi qu’aux femmes au foyer éligibles à travers un «&nbsp;means test&nbsp;». Le second comité étudiera les formes de soutien à apporter aux personnes inaptes au travail pour raisons de santé.</p> <div class="alert alert-warning"> <h3>Les résultats&nbsp;</h3> <ul> <li>Sur environ 110 000 bénéficiaires du BRP en 2004, seules 4 000 ont été jugées non éligibles selon les nouveaux critères. « Ils avaient imposé un barème qui a soulevé de nombreux problèmes, mais n’a généré que très peu d’économies&nbsp;», souligne l’historien Jocelyn Chan Low.<br /> &nbsp;</li> <li>Cette réforme impopulaire devient un enjeu électoral majeur. Le Parti travailliste s’y oppose fermement et en fait un levier politique efficace, contribuant à sa victoire aux élections générales de 2005.<br /> &nbsp;</li> <li>Le « means test&nbsp;» est par la suite aboli.</li> </ul> </div> <div class="alert alert-info"> <h3>La modalité imposée&nbsp;</h3> <p>En 20o4, les retraités étaient invités à remplir des formulaires détaillés, déclarant tous leurs revenus, y compris loyers, intérêts et dividendes. Toute fausse déclaration pouvait entraîner des sanctions pénales, soit une peine d’emprisonnement.</p> </div> <h3>Les inquiétudes&nbsp;de Jocelyn Chan Low</h3> <p>L’historien redoute un retour aux dérives des années 50 liées à l’instauration du « means test&nbsp;». «&nbsp;La question du barème est centrale. En 2004, celui proposé avait suscité de vives réactions », rappelle-t-il. Il s’interroge aussi sur le risque d’extension de cette logique sélective à d’autres services publics comme la santé ou l’éducation.</p> <div class="alert alert-warning"> <h3>IL A DIT&nbsp;</h3> <h3>En 2004&nbsp;</h3> <p>Lors d’une Private Notice Question (PNQ) dans le cadre des débats budgétaires, Navin Ramgoolam, à l’époque Leader de l’Opposition, voulait savoir si l’« affluence test » appliqué aux pensions des veuves, invalides et orphelins, &nbsp;ainsi qu’aux subventions sur des frais d’examens du SC et du HSC sera volontaire ou obligatoire et quelles seraient les modalités pour le distinguer d’un «&nbsp;means test ». Il avait alors évoqué l’expérience humiliante du Poor Law des années 1950, où les demandeurs devaient prouver leur pauvreté pour bénéficier d’un soutien social.</p> <h3>Au Parlement le mardi 17 juin&nbsp;</h3> <p>Navin Ramgoolam, Premier ministre : « Plusieurs pays développés ont adopté deux des trois mesures suivantes : a) l’extension de l’âge de la retraite à 65 ans et plus ; b) l’introduction d’un élément contributif dans le système avec des exemptions pour les bas revenus ; c) l’adoption des systèmes de pensions de vieillesse à travers le « means test », afin d’allouer les ressources publiques de manière plus efficace et équitable et de cibler les personnes dans le besoin. »</p> </div> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=Brin%20d%E2%80%99histoire%20%3A%20de%20l%E2%80%99abolition%20du%20controvers%C3%A9%20%C2%ABmeans%20test%C2%BB%20%C3%A0%20son%20%C3%A9ventuel%20retour&amp;1=http%3A//defimedia.info/brin-dhistoire-de-labolition-du-controverse-means-test-son-eventuel-retour&amp;2=node/173285" token="u85hqM_FeEjrjnnYkuCIfDmysLR0W4QEMb8-J11dUYA"></drupal-render-placeholder></div> Fri, 20 Jun 2025 04:00:00 +0000 Defi Quotidien 173285 at http://defimedia.info Ward IV, Port-Louis : La galère des habitants entre les klaxons et le chaos scolaire http://defimedia.info/ward-iv-port-louis-la-galere-des-habitants-entre-les-klaxons-et-le-chaos-scolaire <span>Ward IV, Port-Louis : La galère des habitants entre les klaxons et le chaos scolaire </span> <span><a title="Voir le profil utilisateur." href="/users/defimedia" lang="" about="/users/defimedia" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">defimedia</a></span> <span>ven 20/06/2025 - 07:36</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/img-20250620-wa0002.jpg?itok=kwDKcx6N" width="1280" height="720" alt="" typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>Tous les matins et après-midis, aux heures de pointe, le quartier de Ward IV à Port-Louis est paralysé. Rues étroites, embouteillages monstres, klaxons incessants, tensions entre conducteurs… et au milieu de ce chaos, des enfants qui traversent entre les voitures, sans aucune sécurité. À l’origine de cette anarchie : une forte concentration d’écoles privées et de commerces dans un périmètre exigu, autour des rues Bissoondoyal, Gayasing et Seetulsingh.&nbsp;</p> <p>Les habitants, excédés, lancent un cri du cœur. Ils réclament des mesures immédiates pour rétablir l’ordre et protéger les piétons. Rajendra, résident du quartier depuis plus de 30 ans, tire la sonnette d’alarme : « Ce n’est plus vivable. Un jour, il y aura un drame. »</p> <p>Selon lui, dès 7h30 le matin et de nouveau à partir de 14h30, les embouteillages deviennent incontrôlables. Les fourgons scolaires, les véhicules de parents et parfois même des poids lourds bloquent les rues étroites. « Certains jours, je ne peux même pas sortir ma voiture de mon garage. On nous klaxonne. On nous insulte, alors qu’on habite ici depuis toujours », déplore-t-il.</p> <p>Rajendra explique que la présence d’environ quatre écoles privées dans les environs, sans coordination pour la gestion du trafic, aggrave la situation. « À la sortie des classes, c’est la panique. Les enfants traversent en courant entre les véhicules. C’est dangereux. Un jour, il y aura un accident grave si rien n’est fait. » Il ajoute que les disputes entre conducteurs sont devenues monnaie courante. « Ce sont des scènes de tension, de stress et parfois de violence verbale. »&nbsp;</p> <p>Selon les habitants, les écoles ont été informées à plusieurs reprises. Mais aucune mesure concrète n’a été prise jusqu’à présent. « On ne demande pas la lune, juste un peu de bon sens et de coordination. Ce sont les résidents qui subissent, chaque jour, les conséquences d’un système mal encadré », dit-il.</p> <p>Rajendra précise qu’il ne s’oppose pas à la présence des écoles et des commerces dans le quartier. « Nous comprenons leur rôle. Nous avons même des enfants qui y étudient. Mais il faut que la cohabitation se fasse dans le respect de tous. Aujourd’hui, le quartier est pris en otage par le trafic. Nous voulons simplement des solutions pour mieux vivre ensemble. »</p> <p>Afin d’alléger la circulation et rétablir un certain ordre, Rajendra formule plusieurs propositions simples mais qu’il estime efficaces : une présence policière aux heures de pointe ; un meilleur contrôle du stationnement et une meilleure répartition des horaires de sortie scolaire. Il invite les autorités concernées à descendre sur le terrain afin de discuter des pistes d’action avec les habitants.&nbsp;</p> <p>Contacté par l’équipe d’Explik Ou Ka de Radio Plus, le chef inspecteur Shiva Coothen, responsable du Police Press Office (PPO), confirme avoir été informé de la situation. « J’ai personnellement pris contact avec M. Rajendra pour écouter ses doléances. J’ai ensuite alerté le responsable du poste de police de Pope Hennessy pour qu’un suivi soit effectué sur place », affirme-t-il.</p> <p>Selon lui, la police déploie déjà plusieurs effectifs à travers Port-Louis aux heures de pointe. « Il est essentiel que les habitants soient entendus. Nous allons collaborer avec les policiers de la région pour étudier les possibilités d’assistance supplémentaire dans ces rues, notamment au niveau de la fluidité du trafic. »</p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=Ward%20IV%2C%20Port-Louis%20%3A%20La%20gal%C3%A8re%20des%20habitants%20entre%20les%20klaxons%20et%20le%20chaos%20scolaire%20&amp;1=http%3A//defimedia.info/ward-iv-port-louis-la-galere-des-habitants-entre-les-klaxons-et-le-chaos-scolaire&amp;2=node/173351" token="-yGnccsNKtddyxnWpoEIiHOdICJDl-tYqaof6NZI2g8"></drupal-render-placeholder></div> Fri, 20 Jun 2025 03:36:27 +0000 defimedia 173351 at http://defimedia.info Pension de vieillesse de 60 ans à 65 ans : ce que chaque année de report vous fera perdre  http://defimedia.info/pension-de-vieillesse-de-60-ans-65-ans-ce-que-chaque-annee-de-report-vous-fera-perdre <span>Pension de vieillesse de 60 ans à 65 ans : ce que chaque année de report vous fera perdre </span> <span><span lang="" about="/users/cvilbrin" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">Christina Vilbrin</span></span> <span>ven 20/06/2025 - 07:28</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/elderly-care-senior-pension.jpg?itok=skYV1fsa" width="1280" height="720" alt="" typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><ul><li>Jusqu’à Rs 975 000 de moins pour les futurs retraités  </li> </ul><p>Si l’âge d’éligibilité à la pension de vieillesse passe progressivement de 60 à 65 ans, comme envisagé, cette mesure, bien que très contestée, permettra au gouvernement de réaliser des économies. Elle aura aussi des conséquences financières directes pour les futurs bénéficiaires. En effet, chaque année de décalage prive les retraités d’une année complète de pension, estimée à Rs 195 000 (Rs 15 000 mensuels sur 13 mois, incluant le boni de fin d’année). Voici l’estimation des pertes cumulées par catégorie. </p> <img alt="Pension de vieillesse" data-entity-type="file" data-entity-uuid="601d912e-8707-4eb2-9f51-356ecc5ce622" src="/sites/default/files/inline-images/Pension%20de%20vieillesse.jpg" class="align-center" /><p> </p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=Pension%20de%20vieillesse%20de%2060%20ans%20%C3%A0%2065%20ans%20%3A%20ce%20que%20chaque%20ann%C3%A9e%20de%20report%20vous%20fera%20perdre%C2%A0&amp;1=http%3A//defimedia.info/pension-de-vieillesse-de-60-ans-65-ans-ce-que-chaque-annee-de-report-vous-fera-perdre&amp;2=node/173286" token="u-T4RGgOtcNF3e_uZBfZxbh7huxNFD_MA0D5dUylWqs"></drupal-render-placeholder></div> Fri, 20 Jun 2025 03:28:00 +0000 Christina Vilbrin 173286 at http://defimedia.info Réforme des pensions - test de ressources : les leçons d’un précédent et les défis d’aujourd’hui http://defimedia.info/reforme-des-pensions-test-de-ressources-les-lecons-dun-precedent-et-les-defis-daujourdhui <span>Réforme des pensions - test de ressources : les leçons d’un précédent et les défis d’aujourd’hui</span> <span><span lang="" about="/users/quotidien" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">Defi Quotidien</span></span> <span>ven 20/06/2025 - 07:27</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/age-pension-assets-test_2883150_c_0.jpg?itok=4d0src8E" width="1280" height="720" alt="" title="À partir du 1er janvier 2026, l’âge d’éligibilité au BRP augmentera progressivement pour atteindre 65 ans." typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>Dans le sillage de la réforme du Basic Retirement Pension, le gouvernement remet sur la table le principe du test de ressources (« means test ») afin de mieux cibler l’aide sociale. Entre nécessité budgétaire, justice sociale et mise en œuvre incertaine, cette mesure divise et réveille le souvenir d’une tentative controversée en 2004.</p> <p>À partir du 1er janvier 2026, l’âge d’éligibilité au Basic Retirement Pension (BRP) augmentera progressivement à 65 ans. Cette réforme concerne toute personne née après une certaine date et s’appliquera de manière graduelle selon l’année de naissance et l’année d’ouverture des droits.</p> <p>Officiellement, l’objectif est double : faire face au vieillissement de la population et répondre aux pressions croissantes sur les finances publiques. Le gouvernement explique que sans ajustements, les dépenses liées à la pension absorberaient une part de plus en plus importante du budget national, au détriment d’autres priorités essentielles.</p> <p>Pour les actuaires, cette décision, bien que difficile, est jugée indispensable pour assurer la viabilité du BRP à long terme. Le Premier ministre, Navin Ramgoolam a tenu à clarifier en séance parlementaire que l’âge légal de la retraite reste fixé à 65 ans et que les modalités de départ anticipé dans certains secteurs spécifiques ne sont pas modifiées. L’alignement concerne donc uniquement l’accès au BRP et non à la retraite contributive.</p> <h3>Ciblage : une approche segmentée</h3> <p>La réforme ne se limite pas au relèvement progressif de l’âge d’éligibilité. Elle s’accompagne aussi d’un retour partiel au test de ressources. Il s’agit d’une procédure utilisée par l’État ou un organisme public pour déterminer si une personne est éligible à une aide financière, allocation ou prestation sociale (comme une pension, une bourse, un logement social ou une aide médicale), en fonction de ses revenus et de ses biens.</p> <p>Cette approche, souvent perçue comme intrusive, avait déjà été tentée en 2004, sous le gouvernement de Paul Bérenger, avec Pravind Jugnauth aux Finances. À l’époque, les formulaires posaient des questions jugées indiscrètes, comme « Avez-vous de l’argent caché sous votre matelas ? ». L’expérience s’était soldée par une forte impopularité et un échec politique retentissant.</p> <p>En 2025, le contexte a changé. Avec une population active en diminution et un nombre croissant de retraités, la logique d’universalité devient plus difficile à soutenir. Le ciblage revient donc au premier plan. Deux commissions ont été mises sur pied pour encadrer la transition. L’une, présidée par le Premier ministre, se concentre sur les femmes au foyer et les mères ayant consacré leur vie à la famille. L’objectif : identifier ces profils et leur proposer des aides ciblées sur la base du test de ressources.&nbsp;</p> <h3>Une réforme technique au contenu encore flou</h3> <p>Pour un économiste, interrogé sous le couvert de l’anonymat, le principe du test de ressources n’est pas nouveau. Il rappelle que des mécanismes similaires existaient sous d’autres régimes d’aides sociales. Toutefois, il se dit interpellé par la mise en place d’un comité gouvernemental : « Je ne comprends pas le rôle du comité. La Mauritius Revenue Authority (MRA) possède déjà des informations sur les revenus des ménages », fait-il observer. Selon lui, toute réforme devrait s’appuyer sur des données existantes plutôt que de créer des structures parallèles.</p> <p>Pour lui, il aurait été préférable d’opérer une réforme plus large du système de protection sociale, au lieu de s’attaquer uniquement à la pension universelle. « Il fallait une réforme fondamentale du ‘safety net’ et non une simple retouche à la manche », souligne-t-il.</p> <p>D’un point de vue budgétaire, l’économiste estime qu’un «&nbsp;means test » peut avoir du sens, notamment s’il permet d’exclure au moins 20 % de la population les plus aisés des prestations non contributives. Cependant, il avertit également sur les risques d’une mauvaise exécution : complexité administrative, retards, et sentiment d’injustice. Il propose une alternative technologique sous forme de bons électroniques (« electronic vouchers ») pour faciliter le ciblage et réduire les erreurs.</p> <h3>Justice sociale : un dilemme politique&nbsp;</h3> <p>Pour sa part, l’observateur politique, Bernard Saminaden pointe les zones d’ombre entourant l’application pratique de cette réforme. Il insiste sur l’importance du dialogue, de la transparence et de l’équité. «&nbsp;Toutes les réformes, surtout celles qui remettent en cause un acquis social, ne font jamais plaisir à personne », rappelle-t-il.</p> <p>À ses yeux, la méthode adoptée pèche par manque de concertation. Il regrette l’absence de véritables échanges avec les parties prenantes : syndicats, ONG, ou encore représentants des retraités. Selon lui, « une réforme de cette ampleur devrait être lancée en début de mandat, avec en amont une large consultation populaire ».</p> <p>Sur le fond, il juge le ciblage pertinent si, et seulement si, il est bien encadré. « C’est une bonne idée si elle permet une meilleure allocation des ressources, mais mauvaise si elle est mal conçue ou mal appliquée&nbsp;», fait-il remarquer. En outre, il exprime des inquiétudes concrètes : quels seront les délais de traitement des dossiers ? Que deviennent ceux qui, entre 60 et 65 ans, attendent sans ressources ?</p> <p>Il alerte sur le risque de retards administratifs et leurs conséquences : « Si après six mois il n’y a toujours pas de réponse, cela devient inacceptable », indique-t-il. De plus, il critique le caractère potentiellement subjectif des critères d’évaluation. Il se demande par exemple si un simple formulaire pourra-t-il déterminer de manière fiable le niveau de besoin d’une personne.</p> <h3>Entre raison budgétaire et risques sociaux</h3> <p>Le ciblage par les ressources, dans le contexte actuel, apparaît comme une réponse pragmatique aux contraintes économiques, mais sa mise en œuvre soulève des tensions. Certains craignent une stigmatisation des bénéficiaires. D’autres redoutent que des personnes en situation de fragilité soient exclues à tort, notamment ces travailleurs usés physiquement, mais encore jugés « valides ».</p> <p>Selon Bernard Saminaden, la comparaison est frappante : «&nbsp;Quand on a nourri la population au biberon des pensions, et qu’on veut tout lui retirer d’un coup, c’est problématique. C’est comme demander à quelqu’un qui a une voiture d’aller désormais travailler en bicyclette&nbsp;». Il insiste ainsi sur la nécessité d’une approche progressive, transparente et équitable.</p> <p>À cela s’ajoute une critique plus large : celle d’un système politique qui semble épargner la classe dirigeante des efforts demandés à la population. Il appelle à une réforme qui prend en compte les réalités économiques tout en maintenant la cohésion sociale. « Le peuple ne peut pas faire des sacrifices alors que la classe politique semble au-dessus des règles », conclut-il.</p> <h3>L’accompagnement des personnes en transition</h3> <p>Le gouvernement prévoit des mesures spécifiques pour les personnes âgées de 60 à 65 ans, qui deviendront inéligibles au BRP durant la période de transition. Le comité chargé de cette mission s’attardera sur les profils les plus vulnérables : femmes au foyer sans revenu, retraités à faible pension d’occupation, ou encore travailleurs précaires.</p> <p>Ces bénéficiaires pourraient se voir proposer une aide ciblée, selon un test de ressources revisité. Le défi sera de conjuguer efficacité administrative et sensibilité sociale, car pour nombre de citoyens, le BRP représente non seulement un revenu, mais aussi une reconnaissance.</p> <p>Ainsi, la réforme du BRP place le ciblage au centre des débats sur la justice sociale et la soutenabilité budgétaire. Elle met en lumière un dilemme majeur pour l’État : comment continuer à protéger les plus vulnérables sans compromettre l’équilibre des finances publiques ? La réponse du gouvernement repose sur une modification progressive de l’âge d’éligibilité, accompagnée de dispositifs de ciblage.</p> <div class="alert alert-info"> <h3>&nbsp;En chiffres</h3> <ul> <li>La part du BRP dans le PIB est passée de 1,9 % en 2010 à 3 % en 2015-2016, puis a grimpé à 6,1 % en 2020-2021. Elle s’élève actuellement à 7,8 % du PIB.</li> <li>La part du BRP dans les dépenses récurrentes du gouvernement est passée de 9,6 % en 2010 à 14,2 % en 2015-2016, avant de monter à 20,1 % en 2020-2021 et d’atteindre 24,5 % en 2024-2025.</li> <li>La part du BRP dans les recettes récurrentes du gouvernement est passée de 9,7 % en 2010 à 15,2 % en 2015-2016. Elle a ensuite progressé à 21,4 % en 2020-2021 et à 30,6 % en 2024-2025.</li> <li>Le BRP est passé de 5,97 milliards de roupies en 2010 à 13,1 milliards de roupies en 2015-2016, puis à 27,9 milliards de roupies en 2020-2021 et à 55,4 milliards de roupies en 2024-2025.</li> <li>Entre 2010 et 2024/2025, les dépenses de retraite ont augmenté de 828 %.</li> </ul> <p>(Chiffres avancés par le Premier ministre au Parlement le 17 juin 2025)*</p> </div> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=R%C3%A9forme%20des%20pensions%20-%20test%20de%20ressources%20%3A%C2%A0les%20le%C3%A7ons%20d%E2%80%99un%20pr%C3%A9c%C3%A9dent%C2%A0et%20les%20d%C3%A9fis%20d%E2%80%99aujourd%E2%80%99hui&amp;1=http%3A//defimedia.info/reforme-des-pensions-test-de-ressources-les-lecons-dun-precedent-et-les-defis-daujourdhui&amp;2=node/173284" token="cYYOLdzxgfsRix6q9NIFGfibP6tMNMtDPa4dQg41x7g"></drupal-render-placeholder></div> Fri, 20 Jun 2025 03:27:00 +0000 Defi Quotidien 173284 at http://defimedia.info Météo : les prévisions pour ce vendredi http://defimedia.info/meteo-les-previsions-pour-ce-vendredi-64 <span>Météo : les prévisions pour ce vendredi </span> <span><a title="Voir le profil utilisateur." href="/users/defimedia" lang="" about="/users/defimedia" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">defimedia</a></span> <span>ven 20/06/2025 - 06:27</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/070517_soleil_2.jpg?itok=jrN5E3J8" width="1280" height="720" alt="" typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>Un courant d'air léger à modéré circule sur notre région ce vendredi, selon le bulletin de la station météo de Vacoas.&nbsp;</p> <p>Le temps sera généralement beau ce matin et dans l’après-midi, sur l’ensemble de l’île.</p> <p>Durant la nuit, le ciel sera nuageux sur le plateau central, les versants sud et l’est, avec quelques ondées occasionnelles, alors qu’il fera mi-couvert ailleurs.</p> <p>La température maximale sera légèrement supérieure à la moyenne saisonnière, variant entre 21 et 24 degrés Celsius sur le plateau central, et entre 26 et 29 degrés Celsius dans les régions côtières.</p> <p>Quant à la température minimale, elle variera entre 15 et 17 degrés Celsius sur les hauts, et entre 19 et 22 degrés Celsius sur le littoral.</p> <p>Le vent sera léger et variable ce matin, soufflant du secteur est-sud-est à 10 à 20 km/h au cours de la journée.</p> <p>La mer sera agitée au-delà des récifs, avec des houles du sud-ouest atteignant environ 2 mètres. Elle deviendra graduellement forte dans l’après-midi, et les sorties en haute mer sont déconseillées.</p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=M%C3%A9t%C3%A9o%20%3A%20les%20pr%C3%A9visions%20pour%20ce%20vendredi%20&amp;1=http%3A//defimedia.info/meteo-les-previsions-pour-ce-vendredi-64&amp;2=node/173350" token="pwjjCen168_DIBLM8cYQJHJ4wfHoQ4ERdekfU3Ewu38"></drupal-render-placeholder></div> Fri, 20 Jun 2025 02:27:19 +0000 defimedia 173350 at http://defimedia.info Des semences de cannabis en provenance d’Espagne saisies à Plaine-Magnien http://defimedia.info/des-semences-de-cannabis-en-provenance-despagne-saisies-plaine-magnien <span>Des semences de cannabis en provenance d’Espagne saisies à Plaine-Magnien</span> <span><span lang="" about="/users/oirshaad" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">Irshaad Olitte</span></span> <span>jeu 19/06/2025 - 10:38</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/img-20250619-wa0014.jpg?itok=kJA__Fd8" width="1280" height="720" alt="" typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>319 semences de cannabis en provenance d’Espagne ont été saisies mardi par la Customs Anti-Narcotics Section (CANS) de la douane à l'entrepôt de DHL à Plaine-Magnien. Elles étaient arrivées le même jour par voie aérienne et étaient destinées à un habitant de Goodlands.</p> <p>Lors d’un exercice de Control Delivery effectué par l’ADSU de l’aéroport, deux suspects – un habitant de Goodlands et un autre de Camp-de-Masque-Pavé – ont été arrêtés.</p> <p>Lors de la perquisition chez le suspect de l’Est, les policiers ont également saisi d’autres semences de cannabis, du haschich, du cannabis, ainsi qu’une somme d’argent.</p> <p>L’enquête est menée par l’ADSU de l’aéroport, sous la supervision du surintendant de police Ghoora, de l’assistant surintendant de police Goinden, et du chef inspecteur Doss.</p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=Des%20semences%20de%20cannabis%20en%20provenance%20d%E2%80%99Espagne%20saisies%20%C3%A0%20Plaine-Magnien&amp;1=http%3A//defimedia.info/des-semences-de-cannabis-en-provenance-despagne-saisies-plaine-magnien&amp;2=node/173323" token="rNhPaZPfJP7RipiCeebrNhUGxpalJU72V1Z1Xa3V1hU"></drupal-render-placeholder></div> Thu, 19 Jun 2025 06:38:12 +0000 Irshaad Olitte 173323 at http://defimedia.info Nids-de-poule et pas de trottoirs : Marie-Louise Lane, à Bain-Bœuf, un danger public http://defimedia.info/nids-de-poule-et-pas-de-trottoirs-marie-louise-lane-bain-boeuf-un-danger-public <span>Nids-de-poule et pas de trottoirs : Marie-Louise Lane, à Bain-Bœuf, un danger public</span> <span><a title="Voir le profil utilisateur." href="/users/defimedia" lang="" about="/users/defimedia" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">defimedia</a></span> <span>jeu 19/06/2025 - 08:42</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/img-20250619-wa0003.jpg?itok=jNXlFy-P" width="1280" height="720" alt="" typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>À Marie-Louise Lane, Bain-Bœuf, chaque pas présente un risque. Jean, un habitant, tire la sonnette d’alarme sur l’état déplorable de cette route secondaire très fréquentée, mais jonchée de nids-de-poule et dépourvue de trottoir.</p> <p>Après une plainte déposée il y a plus de deux mois au Citizens Advice Bureau de Grand-Baie, il attend toujours une réponse. « J’ai signé le document, accompagné de photos montrant l’état critique de la route. Mais depuis, rien. Aucun suivi. Aucune réponse », déplore-t-il.</p> <p>Jean explique que cette voie est empruntée quotidiennement par des enfants, des personnes âgées, des cyclistes et des piétons, qui prennent de gros risques à chaque passage. « On marche presque dans la route. Un jour, il y aura une tragédie si rien n’est fait », avertit-il.</p> <p>Engagé dans le social, Jean ne se plaint pas uniquement pour lui. Il parle au nom des habitants pour qui cette route est un passage obligé. Il affirme que l’état de la chaussée empire à chaque averse et que plusieurs enfants ont déjà failli trébucher dans les flaques et les cavités.</p> <p>Contacté par Explik Ou Ka, Lennie Aukhajan, président du conseil de district de Rivière-du-Rempart, reconnaît les problèmes et les contraintes budgétaires. Il précise que la plainte officielle n’est pas encore parvenue au conseil, mais qu’il se rendra personnellement sur place.</p> <p>« Nous avons effectivement de nombreuses routes abîmées à travers le district, y compris à Grand-Baie et dans les villages environnants. Le problème est que le conseil opère avec un budget très limité », explique-t-il, promettant qu’il se fera personnellement une visite du site pour un constat. « C’est grâce aux citoyens que nous sommes alertés. Je remercie M. Jean pour sa vigilance. »</p> <p>Il s’engage, dans la mesure du possible, à inscrire Marie-Louise Lane sur la liste prioritaire des travaux à venir après le prochain réajustement budgétaire.</p> <p>« Si tout se passe bien, les travaux pourront débuter d’ici fin juillet », promet-il.</p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=Nids-de-poule%20et%20pas%20de%20trottoirs%20%3A%20Marie-Louise%20Lane%2C%20%C3%A0%20Bain-B%C5%93uf%2C%20un%20danger%20public&amp;1=http%3A//defimedia.info/nids-de-poule-et-pas-de-trottoirs-marie-louise-lane-bain-boeuf-un-danger-public&amp;2=node/173317" token="bexfJTFAitKiPdqXO8Bzz3X2e-ZkKfYHvGhi16xark0"></drupal-render-placeholder></div> Thu, 19 Jun 2025 04:42:32 +0000 defimedia 173317 at http://defimedia.info Détenteur d’un Learner depuis ses 35 ans - Hamlet : « Pas évident à 68 ans de passer le permis moto » http://defimedia.info/detenteur-dun-learner-depuis-ses-35-ans-hamlet-pas-evident-68-ans-de-passer-le-permis-moto <span>Détenteur d’un Learner depuis ses 35 ans - Hamlet : « Pas évident à 68 ans de passer le permis moto »</span> <span><a title="Voir le profil utilisateur." href="/users/defimedia" lang="" about="/users/defimedia" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">defimedia</a></span> <span>jeu 19/06/2025 - 08:34</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/010418_moto2.jpg?itok=VQf-pIze" width="1280" height="720" alt="" typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>Depuis plus de trois décennies, Hamlet, 68 ans, circule à moto avec un simple « learner ». Mais à l’approche de la réforme du permis de conduire, l’habitant de Baie-du-Tombeau redoute de devoir abandonner son seul moyen de transport. « C’est mon seul outil pour me déplacer, faire mes courses et aller chez le médecin. Sans ma moto, je perds mon autonomie », confie-t-il, inquiet.</p> <p>Avec les nouvelles règles de la Road Traffic Act, tous les détenteurs de permis provisoires devront obligatoirement passer l’épreuve pratique avant mars 2026. Passé ce délai, les « Learners » ne seront plus reconduits. Titulaire d’un Learner depuis ses 35 ans, Hamlet n’a jamais passé l’examen final, mais affirme avoir toujours respecté le code de la route. Aujourd’hui, il craint que son âge ne soit un obstacle insurmontable.</p> <p>Hamlet possède trois motocyclettes. Elles ne sont pas un luxe, mais une nécessité. À défaut de transports accessibles, elles lui permettent de rester actif. Il les utilise pour ses déplacements personnels comme professionnels. « J’ai toujours respecté la loi. Mais aujourd’hui, à mon âge, ce n’est pas évident de passer le permis moto aux Casernes centrales », déplore-t-il. Il ajoute que s’il avait encore 30 ou 40 ans, il aurait essayé. « À 68 ans, on me demande de faire des parcours d’agilité comme les jeunes. On me demande de faire du zigzag à moto pour passer le test. Je ne suis plus aussi rapide ni souple », confie-t-il avec franchise.</p> <p>Il précise&nbsp;qu’il ne conteste pas la nouvelle loi. Mais il estime qu’une approche plus humaine devrait être envisagée pour les personnes âgées. Selon lui, les nouvelles dispositions sont trop rigides pour les seniors. Il en appelle à plus de souplesse de la part des autorités : « Je ne conteste pas la loi. Mais on devrait tenir compte des personnes âgées qui ont toujours roulé prudemment. »&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>« LA LOI S’APPLIQUE À TOUS »&nbsp;</p> <p>Il espère que le commissaire de police ou les autorités compétentes accorderont une certaine tolérance aux personnes âgées comme lui qui ont toujours conduit prudemment, en respectant les autres usagers. « Je demande qu’on considère notre réalité. On ne veut pas faire les malins sur la route. On veut juste pouvoir continuer à vivre normalement.»</p> <p>Interrogé par l’équipe d’Explik Ou Ka, le chef inspecteur Shiva Coothen, du Police Press Office, explique que la police n’est pas à l’origine des lois mais qu’elle est chargée de les faire respecter. « Ce ne sont pas les routes qui tuent, mais le non-respect du code de la route », souligne-t-il.</p> <p>Il rappelle que la réforme vise à renforcer la sécurité routière en préparant les motocyclistes à faire face aux imprévus sur la route. Selon lui, les tests d’agilité sont cruciaux : « Il suffit qu’un chien traverse brusquement pour qu’un bon réflexe fasse la différence entre la vie et la mort. »</p> <p>Il fait ressortir que le Learner devra obligatoirement être converti en permis de conduire. « À partir de mars 2026, les Learners actuels ne seront plus valides. Les détenteurs devront faire une nouvelle demande et se soumettre aux épreuves. » Le chef inspecteur conclut que même si certains cas peuvent sembler exceptionnels, « la loi s’applique à tout le monde ». Il invite les usagers à prendre leurs responsabilités, car l’objectif est de garantir la sécurité de tous.</p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=D%C3%A9tenteur%20d%E2%80%99un%20Learner%20depuis%20ses%2035%20ans%20-%20Hamlet%20%3A%20%C2%AB%20Pas%20%C3%A9vident%20%C3%A0%2068%20ans%20de%20passer%20le%20permis%20moto%20%C2%BB&amp;1=http%3A//defimedia.info/detenteur-dun-learner-depuis-ses-35-ans-hamlet-pas-evident-68-ans-de-passer-le-permis-moto&amp;2=node/173316" token="357yVbh17-z8tifcGiDz6ZRksKJtcWM4E7DG4O5yebU"></drupal-render-placeholder></div> Thu, 19 Jun 2025 04:34:24 +0000 defimedia 173316 at http://defimedia.info