People http://defimedia.info/categorie/people fr Noël et les personnalités : un moment de partage et de simplicité http://defimedia.info/noel-et-les-personnalites-un-moment-de-partage-et-de-simplicite <span>Noël et les personnalités : un moment de partage et de simplicité</span> <span><span lang="" about="/users/adila" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">Adila Mohit-Saroar</span></span> <span>dim 22/12/2024 - 08:12</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/collage_5.jpg?itok=Y0RCx7oN" width="1280" height="720" alt="" typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>Noël approche, et pour beaucoup, c’est bien plus qu’une simple fête. C’est l’occasion de renouer avec des traditions, de passer du temps en famille et de raviver l’esprit de Noël. Cette période de l’année, souvent marquée par la joie et la solidarité, est un moment pour se retrouver, échanger et créer des souvenirs. Si les célébrations varient d’une personne à l’autre, toutes s’accordent sur une idée commune : Noël reste un temps de partage et de rapprochement, ancré dans des valeurs d’amour, de générosité et de solidarité.</p> <p><strong>Fabrice Bauluck : L'esprit de Noël avant tout</strong></p> <p><img alt="Fabrice" data-entity-type="file" data-entity-uuid="f053e4a3-9c52-40dd-b10c-8f696f76c878" src="/sites/default/files/inline-images/fabrice%20bauluck.jpg" class="align-left" /></p> <p>Chaque année, pour Fabrice Bauluck, la période des fêtes est synonyme de retrouvailles familiales. Cette année ne fait pas exception, même si, entre un déménagement et un emploi du temps chargé, il avoue être encore en mode « nettoyage » et installation. « On s’installe petit à petit. Ce sera réglé durant le week-end », confie-t-il, optimiste. Le sportif, père d’un garçon et d’une fille, semble avoir trouvé son équilibre : tout est question de préparation et de partage.</p> <p>Pour lui, Noël représente avant tout un moment à vivre en famille, loin de l’agitation de la vie quotidienne. « Noël, c’est important de le garder dans son esprit, car cela permet à la famille de se réunir. C’est un moment spécial, surtout pour les enfants », précise-t-il. Dans un pays comme Maurice, il souligne l'importance de cultiver cet esprit de solidarité et de chaleur humaine. « Chaque Mauricien a la chance de s’épanouir ici, un pays où il y a de l’équité. Tout le monde a une chance de réussir ses rêves », poursuit-il. Et c’est bien ce qu’il souhaite à chacun, un cadeau de Noël symbolique qui se traduit par l’espoir d’un avenir meilleur.</p> <hr /><p><strong>Avinash Ramtohul : Noël au service de la communauté</strong></p> <p><strong><img alt="Avinash" data-entity-type="file" data-entity-uuid="9899a473-537d-45c7-b3a9-1e95ae167c6d" src="/sites/default/files/inline-images/avinash%20ramtohul_0.jpg" class="align-right" /></strong></p> <p>Pour Avinash Ramtohul, ministre des TIC, Noël n’est pas seulement un moment de fête, mais aussi une occasion de se rapprocher des citoyens et de marquer l’esprit de générosité. « Je continue à être sur le terrain et travailler dans ma circonscription. Je vais à la rencontre de mes mandants », explique-t-il. Ce Noël sera marqué par des distributions de cadeaux et de matériel scolaire pour les enfants, mais aussi des repas pour les aînés. « Noël, c’est aussi l’occasion de se souvenir de nos aînés et de leur apporter un peu de chaleur », souligne-t-il.</p> <p>Dans un moment plus personnel, il se réjouit de pouvoir passer du temps avec sa fille unique qui est actuellement en vacances à Maurice. Noël sera l’occasion de passer du temps avec elle ainsi que passer de beaux moments en famille et partager un bon repas. « Le plus beau cadeau que nous avons à Maurice, c’est la liberté. Nous avons retrouvé notre dignité en regagnant notre indépendance », ajoute-t-il. À travers ces paroles, il rappelle que Noël, c’est aussi un moment pour se tourner vers l’avenir, avec l’espoir d’une société plus équitable et plus solidaire.</p> <hr /><p><strong>Karen Foo Kune-Bacha : Une période de travail intense mais aussi de partage</strong></p> <p><img alt="Karen" data-entity-type="file" data-entity-uuid="4b299588-15fe-46e0-a0b8-54e74209b776" src="/sites/default/files/inline-images/karen%20foo%20kune%20.jpg" class="align-left" /></p> <p>Pour Karen Foo Kune-Bacha, Junior Minister, la période des fêtes semble avoir pris un tournant particulier cette année. « Je dois avouer que je n’ai pas encore ressenti pleinement l’ambiance de Noël. Juste après les élections et ma prise de fonction, le travail a été intense. Il y a beaucoup à faire », confie-t-elle. Cependant, derrière cette fatigue, la volonté d’avancer pour le bien-être de la population et de ses proches reste intacte. « C’est mon fils de trois ans qui m’a rappelé qu’on est en période festive. J’essaie de garder une balance entre mes responsabilités publiques et mon rôle de mère. Pour Noël, je vais passer du temps avec mon fils et la famille », explique-t-elle.</p> <p>Malgré un emploi du temps chargé, elle veille à ne pas décevoir sa famille. « Ma maman a mis en place un sapin de Noël, et cela m’a rappelé l’importance de ces moments. Noël, c’est avant tout un moment familial, un moment pour se ressourcer et transmettre des valeurs de gratitude », dit-elle. Elle a d’ailleurs organisé plusieurs fêtes dans sa circonscription pour remercier ses mandants. Pour elle, dire merci est essentiel. « Noël est aussi un moment où l’on peut se reconnecter à nos racines et célébrer la liberté que nous avons retrouvée en tant que nation », conclut-elle. </p> <hr /><p><strong>Ayushi Gooroochurn (Chef Yu) : Noël dans la simplicité et la générosité</strong></p> <p><strong><img alt="chef" data-entity-type="file" data-entity-uuid="4d5a5700-a007-4a9d-aeee-949d18f48310" src="/sites/default/files/inline-images/chef%20yu.jpg" class="align-right" /></strong></p> <p>Pour Ayushi Gooroochurn, chef de renom, Noël est avant tout un moment de partage. « La préparation des repas et les sorties en famille sont des traditions que je garde précieusement », dit-elle. Si le réveillon du 24 décembre est pour elle synonyme de travail, elle trouve toujours le moyen de conclure la soirée en famille, ce qui rend la fête encore plus spéciale. « Cette année, c’est particulier car la famille s’est réunie dans un endroit où je travaille. C’est une belle occasion de célébrer ensemble », explique-t-elle.</p> <p>Le 25 décembre, elle privilégie le temps passé avec sa mère, tout en restant fidèle à l'esprit de Noël. « J’essaie de faire plaisir autour de moi. Donner un repas ou un petit cadeau à ceux qui en ont besoin est un geste de solidarité que je tiens à maintenir chaque année », souligne-t-elle. Au niveau de son travail, elle explique que des paniers de Noël sont également offerts à des ONG, renforçant ainsi ce geste de partage. Pour elle, Noël c’est avant tout un moment de joie et de générosité, et elle espère que cette ambiance de fête perdurera tout au long de l'année.</p> <hr /><p><strong>Namrata Teeluckdharry : Noël sobre et solidaire</strong></p> <p><strong><img alt="Namrata" data-entity-type="file" data-entity-uuid="6ca75c54-d76f-432e-b1ab-63aee3a57781" src="/sites/default/files/inline-images/namrata%20teeluckdharry.jpg" class="align-left" /></strong></p> <p>Cette année, pour Namrata Teeluckdharry, avouée et mannequin, Noël sera marqué par une émotion particulière. Le premier sans sa mère, décédée en juillet dernier. « C’est un Noël sobre, en famille, pour se remémorer les bons moments passés avec elle », confie-t-elle. Elle et son époux Sanjeev, accompagnés de son frère Vighnesh, passeront le réveillon à l’hôtel, autour d’un dîner chaleureux. Mais, plus que les décorations ou les cadeaux traditionnels, Namrata Teeluckdharry a choisi de célébrer Noël sous un autre signe : celui du partage. « En guise de cadeaux, nous avons décidé de faire des dons aux associations qui s’occupent des animaux en détresse, notamment des chiens errants. Noël est avant tout une période de bienveillance et de solidarité », explique-t-elle.</p> <hr /><p><strong>Aneeta Ghoorah : Noël, un appel à la réflexion sur les valeurs familiales</strong></p> <p><strong><img alt="Aneeta" data-entity-type="file" data-entity-uuid="d833a001-5d66-4275-90ea-307c06e6473b" src="/sites/default/files/inline-images/aneeta%20ghoorah.jpg" class="align-right" /></strong></p> <p>Pour Aneeta Ghoorah, Ombudsperson for Children, Noël est avant tout un moment de partage et de rassemblement familial. Elle prépare toujours un réveillon traditionnel, en gardant les coutumes françaises auxquelles elle est attachée, ayant étudié en France. « Foie gras, vin, petits fours, canapés et bûche de Noël… Ce sont des moments qui me rappellent les fêtes d’antan », raconte-t-elle avec chaleur.</p> <p>Mais au-delà de la table garnie et des festivités, Aneeta Ghoorah soulève une question cruciale : celle des valeurs familiales. « En tant qu’Ombudsperson, je pense que c’est le moment de faire une réflexion sur l’importance de la famille, surtout face à la détérioration de certaines structures familiales », dit-elle. Pour elle, Noël devrait être un moment de réflexion sur ces valeurs, car des événements récents, comme la maltraitance des enfants, soulignent la nécessité d’une véritable prise de conscience collective.</p> <p>Elle plaide ainsi pour une réflexion plus profonde sur la sécurité et le bien-être des enfants au sein de la famille. « Noël doit représenter un moment où l’enfant se sent en sécurité et entouré de l’amour de ses proches. Je fais un appel aux Mauriciens pour qu’ils n’oublient pas de faire des cadeaux aux enfants les plus démunis, ceux qui n’ont pas les mêmes privilèges ». Le 13 décembre dernier, Aneeta Ghoorah et son équipe ont organisé une journée récréative pour 150 enfants défavorisés. Un geste simple mais puissant, pour offrir à ces enfants un moment de joie et d’espoir. « Nous avons offert ce que nous avons pu, mais le plus important, c’est d’avoir réussi à mettre un sourire sur leurs visages », conclut-elle.<br />  </p> <p> </p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=No%C3%ABl%20et%20les%20personnalit%C3%A9s%20%3A%C2%A0un%20moment%20de%20partage%20et%20de%20simplicit%C3%A9&amp;1=http%3A//defimedia.info/noel-et-les-personnalites-un-moment-de-partage-et-de-simplicite&amp;2=node/166650" token="mZLFjfQJbVFfCT4vd_A-cgm_DpbbHdW-V8ki8drCdBg"></drupal-render-placeholder></div> Sun, 22 Dec 2024 04:12:00 +0000 Adila Mohit-Saroar 166650 at http://defimedia.info Mr World 2024 au Vietnam : Govind Nagi se distingue dans le Top 20 dans la catégorie Sport et Talent  http://defimedia.info/mr-world-2024-au-vietnam-govind-nagi-se-distingue-dans-le-top-20-dans-la-categorie-sport-et-talent <span>Mr World 2024 au Vietnam : Govind Nagi se distingue dans le Top 20 dans la catégorie Sport et Talent </span> <span><span lang="" about="/users/nmungur" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="" content="Nathalie Marion Mungur">Nathalie Mario…</span></span> <span>dim 15/12/2024 - 13:11</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/moi_ma_vie_govind_nagi_1.jpg?itok=fPvCcx1-" width="1280" height="720" alt="" title="Govind Nagi a remporté le titre de Mr World Mauritius en octobre dernier. Notre compatriote mauricien, avec les autres participants du concours au Vietnam." typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>Couronné Mr World Mauritius, Govind Nagi a récemment participé à l’édition internationale du concours Mr World, qui s’est déroulée au Vietnam du 5 au 24 novembre. Durant cette compétition, il a brillamment décroché une place dans le Top 20 lors des épreuves Sport et Talent. <br /><br /> « Mon aventure au concours Mr World au Vietnam a été extraordinaire. J’ai eu l’opportunité de rencontrer de nombreuses personnes et de découvrir la culture vietnamienne ainsi que celle des autres participants. Cela a été une expérience enrichissante, d’autant plus que j’ai été charmé par l’hospitalité des Vietnamiens », confie Govind Nagi.</p> <p>Pendant près de trois semaines, il a eu l’occasion, aux côtés des 59 autres participants, de découvrir la culture vietnamienne avant la grande soirée du 23 novembre, qui a vu le sacre de Danny Mejia, représentant de Puerto Rico. Le jeune Mauricien a toutefois fait honneur à son pays en se classant dans le Top 20 du concours dans la catégorie Sport et Talent. </p> <p>Mais pour rivaliser avec les candidats venus des quatre coins du monde, Govind Nagi a dû s’entraîner assidûment. « Il y avait une préparation derrière qui a commencé avec le concours de Mr Mauritius World. Je me suis beaucoup entraîné et j’ai été soutenu par ma copine Amber, qui m’a beaucoup aidé », confie Govind Nagi.</p> <p>Ces efforts n’ont pas été vains, car le Marketing Manager de 26 ans a remporté le concours Mr Mauritius World, organisé par le comité de Miss Mauritius et Mr Mauritius World, présidé par Primerose Obeegadoo. La finale du concours s’est tenue le 19 octobre dernier.</p> <p>Cette aventure, Govind Nagi la décrit comme une expérience enrichissante sur le plan personnel. « J’ai appris tellement de choses durant ce concours. J’ai pu développer ma capacité à m’exprimer devant un public, le fameux ‘public speaking’. J’ai aussi redécouvert une de mes passions, le ‘speed painting’. Je suis vraiment heureux d’y avoir participé », souligne-t-il.</p> <p>Cependant, il ne s’attendait pas du tout à remporter le titre. « Cela a été une très grande surprise. Il y avait des candidats très talentueux, qui avaient toutes les qualités pour remporter la première place. Donc, je ne m’y attendais pas du tout », confie-t-il. </p> <p>Ce qui l’a surtout poussé à participer au concours, c’est le concept de « Beauty for a Cause », une initiative qui lui tient particulièrement à cœur et qui véhicule des valeurs bien au-delà de la simple compétition. « Ce concours m’a attiré, car il ne se focalisait pas uniquement sur la beauté, mais il y avait une cause derrière », explique-t-il.</p> <p>C’est ainsi que le jeune homme a décidé de bâtir son projet autour de l’éducation des enfants vulnérables. « Offrir l’éducation, c’est important, mais il faut aussi penser à tout ce qui l’accompagne et qui permet à un enfant de réussir dans ses études. Il doit avoir les matériaux nécessaires, de quoi manger, de quoi s’habiller… Tout cela contribue à son épanouissement et à son succès académique. » </p> <p>Avec l’aide d’associations, Govind Nagi a monté son projet, qui a séduit les membres du jury. Outre le titre de Mr World Mauritius, il a remporté les titres de Mr Elegance et Mr Top Model. Mannequin freelance, les défilés étaient un jeu d’enfant pour lui, étant donné qu’il pratique le mannequinat depuis 2018. </p> <p>« J’étais de nature timide. Le mannequinat m’a permis de sortir de ma bulle et de m’ouvrir aux autres. Je conseille d’ailleurs à ceux qui sont timides et qui veulent franchir le pas de le faire. Cela m’a également aidé à forger ma personnalité », confie-t-il.</p> <div class="alert alert-warning"> <h3>Le sport : un mode de vie actif</h3> <figure role="group" class="align-right"><img alt="Govind Nagi est un grand passionné de sport." data-entity-type="file" data-entity-uuid="b6762cd4-d1f1-43b3-b687-06fbc2bbae01" src="/sites/default/files/inline-images/Moi%20ma%20vie%20Govind%20Nagi%205.jpg" /><figcaption>Govind Nagi est un grand passionné de sport.</figcaption></figure><p>Quand il n’est pas à la salle de gym, Govind Nagi est souvent en train de courir. Quand il ne court pas, il joue au football. D’ailleurs, il fait partie de l’équipe de la Mauritius Football Association. « J’ai toujours aimé faire du sport. C’est une véritable passion pour moi, que ce soit pour maintenir ma forme physique ou pour me défouler. Le sport m’apporte une énergie positive et me permet de rester concentré dans tout ce que je fais. »</p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> </div> <h3>Sa passion : le speed painting </h3> <p>Govind Nagi excelle dans le « speed painting » un art qui consiste à créer des œuvres rapidement, tout en mettant l’accent sur l’expression et l’émotion. Ce talent lui a d’ailleurs permis de se classer dans le Top 20 pour la catégorie Talent lors du concours Mr World. </p> <figure role="group" class="align-center"><img alt="Govind Nagi a choisi le « speed painting » pour l’épreuve de talent." data-entity-type="file" data-entity-uuid="34782d95-af0a-42cb-a9a4-788bf274fc02" src="/sites/default/files/inline-images/Moi%20ma%20vie%20Govind%20Nagi%204.jpg" /><figcaption>Govind Nagi a choisi le « speed painting » pour l’épreuve de talent.</figcaption></figure><p>« En seulement cinq minutes, j’ai dessiné une femme dansant le sega, ce qui a impressionné le jury. C’est une passion qui m’accompagne depuis mes années scolaires. Pour le concours, j’ai repris mes crayons et mes pinceaux. J’ai même réalisé un portrait de Julia Morley, la présidente et CEO de Miss et Mr World Organization, que je lui ai offert en cadeau », raconte Govind Nagi, visiblement fier de ses réalisations. <br /> Pour lui, l’art, n’est pas seulement une forme d’expression, mais également une manière de capturer l’instant et de transmettre une émotion intense. </p> <h3>Son projet social : un engagement pour la cause des enfants </h3> <p>Pendant son règne, Govind Nagi ne compte pas baisser les bras. Il a l’intention de s’investir dans des projets sociaux, comme celui de venir en aide à la Southern Handicapped Association, une école spécialisée pour les élèves avec des déficiences intellectuelles.</p> <p>« J’ai été profondément impressionné par les travaux des enfants. Ils créent des choses vraiment incroyables. J’aimerais leur donner un coup de main pour qu’ils puissent faire connaître leur talent au plus grand nombre, tout en récoltant des fonds pour soutenir leurs projets », confie Govind Nagi avec détermination.</p> <p>Son engagement pour ces enfants dépasse la simple aide matérielle ; il souhaite offrir une plateforme qui leur permettra de se faire connaître et de démontrer que, malgré leurs défis, ils possèdent un talent exceptionnel. Pour Govind Nagi, c’est une manière concrète de contribuer à la société et de changer des vies.<br /><br />  </p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=Mr%20World%202024%20au%20Vietnam%20%3A%20Govind%20Nagi%20se%20distingue%20dans%20le%20Top%2020%20dans%20la%20cat%C3%A9gorie%20Sport%20et%20Talent%C2%A0&amp;1=http%3A//defimedia.info/mr-world-2024-au-vietnam-govind-nagi-se-distingue-dans-le-top-20-dans-la-categorie-sport-et-talent&amp;2=node/166267" token="3xS0SJCr_i48SnFUOyihjzV4inJLyZdYBH9_WcSg65I"></drupal-render-placeholder></div> Sun, 15 Dec 2024 09:11:00 +0000 Nathalie Marion Mungur 166267 at http://defimedia.info Quand les mots guérissent : Jean-Claude de l’Estrac dévoile un récit bouleversant d’espoir  http://defimedia.info/quand-les-mots-guerissent-jean-claude-de-lestrac-devoile-un-recit-bouleversant-despoir <span>Quand les mots guérissent : Jean-Claude de l’Estrac dévoile un récit bouleversant d’espoir </span> <span><a title="Voir le profil utilisateur." href="/user/3098" lang="" about="/user/3098" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">Caroline Alijean</a></span> <span>lun 14/10/2024 - 08:40</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/jean-claude_de_lestrac_0.jpg?itok=GrKBB5Q3" width="1280" height="720" alt="" title="Jean-Claude de l’Estrac, raconte la maladie de son épouse qui ne le reconnaît plus. " typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>Le lancement de « La Chanson inachevée » de Jean-Claude de l’Estrac a réuni émotions et réflexions. Entre récits poignants, témoignages bouleversants et espoir face à la maladie d'Alzheimer, ce livre est bien plus qu’une œuvre littéraire : c’est un hommage vibrant à la résilience et à l’amour inconditionnel.&nbsp;<br /> <br /> Le jeudi 10 octobre 2024, à la librairie Petrusmok au Hennessy Park Hotel, un événement littéraire émouvant a réuni des personnalités influentes pour le lancement de « La Chanson inachevée » de Jean-Claude de l’Estrac. Ce livre poignant, qui traite de la maladie d'Alzheimer, est une exploration intime de la solitude, de la perte, et de la résilience face à la dégénérescence progressive d'un être cher. L’ouvrage a captivé dès sa sortie, non seulement par son sujet sensible, mais aussi par la manière délicate et pleine d’espoir avec laquelle Jean-Claude de l’Estrac l’aborde.&nbsp;</p> <p>Dès les premiers mots, « La Chanson inachevée » dépeint la douloureuse réalité de voir un proche s'effacer petit à petit. Solange, l'épouse de l'auteur, est au cœur de ce récit. Avec un style épuré, comme le souligne Finlay Salesse lors du lancement, ce livre est un témoignage d'amour et de résilience. «&nbsp;Il n’y avait qu’un seul style à adopter, la simplicité&nbsp;», a déclaré Finlay Salesse, un proche ami de l’auteur.&nbsp;</p> <p>La soirée du lancement a été marquée par des témoignages poignants. Francis Piat, qui partage un destin similaire à celui de l'auteur, a livré un discours empreint d'émotion. « Nous assistons impuissants à cela », dit-il, en référence à la maladie de son épouse. Francis Piat décrit la douleur invisible mais profondément ancrée des proches qui, comme Jean-Claude de l’Estrac, voient leurs êtres aimés s’effacer. Il évoque un moment bouleversant où sa femme ne le reconnaît plus, un moment qui l’a transpercé de douleur.&nbsp;</p> <p>Mais au-delà de la douleur, le livre est aussi un message d'espoir. Alain Gordon-Gentil, qui a contribué à l’édition de l'ouvrage, résume bien l’essence du projet : « Il y a des livres qu’on n’aurait secrètement pas voulu écrire. Pourtant, quelquefois se présentent des désirs de dire les maux pour les éloigner ». Cette œuvre, malgré son sujet triste, résonne comme une chanson inespérée qui transmet foi et espoir. Le Dr Priyanka Beedassy, qui a rédigé la préface, a également pris la parole pour souligner l’importance du livre dans un contexte médical. « En tant que médecin, je salue l’entrée de ce livre sur le sol mauricien&nbsp;», dit-elle, insistant sur le fait que ce sujet est d’autant plus pertinent dans une société vieillissante comme la nôtre. Elle aborde également le rôle de la musique, un élément clé dans le maintien de certains souvenirs chez les patients atteints d’Alzheimer. Le processus de vieillissement, selon elle, commence bien avant 60 ans, et il est essentiel d’accompagner les malades sans tabou.&nbsp;</p> <p>L'ambiance du lancement a été à la fois solennelle et pleine de gratitude. Alain Gordon-Gentil a remis des copies du livre à des personnalités éminentes telles que Cassam Uteem et Cédric de Speville, ce dernier ayant apporté un soutien logistique à Jean-Claude de l’Estrac pour ce projet. L’ambassadeur de Chine a également reçu un exemplaire, témoignant de l’importance de ce livre au-delà des frontières mauriciennes.&nbsp;</p> <p>Le livre « La Chanson inachevée » n’est pas qu’un récit personnel, il est une réflexion profonde sur l’oubli, la mémoire et la manière dont nous faisons face à la disparition progressive de ceux que nous aimons. Avec ce livre, Jean-Claude de l’Estrac montre que malgré la douleur, la vie continue et qu'il est possible de trouver du réconfort dans le partage des expériences. C’est une œuvre qui nous rappelle que même lorsque la chanson semble s'éteindre, elle reste toujours, quelque part, inachevée. « La Chanson inachevée » est bien plus qu’un livre, c’est un hommage vibrant à l’amour, la persévérance et la résilience face aux défis de la vie.&nbsp;</p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=Quand%20les%20mots%20gu%C3%A9rissent%20%3A%20Jean-Claude%20de%20l%E2%80%99Estrac%20d%C3%A9voile%20un%20r%C3%A9cit%20bouleversant%20d%E2%80%99espoir%C2%A0&amp;1=http%3A//defimedia.info/quand-les-mots-guerissent-jean-claude-de-lestrac-devoile-un-recit-bouleversant-despoir&amp;2=node/164083" token="3QBR3vm9EfT8uF6kWcsRWDL5YUwVisI6OsUvRCEpsXI"></drupal-render-placeholder></div> Mon, 14 Oct 2024 04:40:00 +0000 Caroline Alijean 164083 at http://defimedia.info De Maurice à Bollywood - Sonia Shukla brille dans Dil Ka Sukoon et prépare son premier grand rôle http://defimedia.info/de-maurice-bollywood-sonia-shukla-brille-dans-dil-ka-sukoon-et-prepare-son-premier-grand-role <span>De Maurice à Bollywood - Sonia Shukla brille dans Dil Ka Sukoon et prépare son premier grand rôle</span> <span><span lang="" about="/users/nmungur" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="" content="Nathalie Marion Mungur">Nathalie Mario…</span></span> <span>mar 01/10/2024 - 08:27</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/untitled_design_-_2024-09-17t110512.990.jpg?itok=uHAwTb_l" width="1280" height="720" alt="" title="Sonia Shukla tiendra le rôle principal dans un film bollywoodien prévu pour 2025." typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>La Mauricienne Sonia Shukla figure dans le clip vidéo de la chanson « Dil Ka Sukoon », sorti le mois dernier sur YouTube. Elle se prépare également à incarner le rôle principal dans un film bollywoodien prévu pour l’année prochaine.</p> <figure role="group" class="align-center"><img alt="Sonia" data-entity-type="file" data-entity-uuid="769d2cf2-7801-4745-82c1-f230d844daf9" src="/sites/default/files/inline-images/Leader%20Sonia%20Shukla%203.jpg" /><figcaption>Sonia Shukla joue dans le clip vidéo de la chanson « Dil Ka Sukoon ».</figcaption></figure><p>Originaire du Nord de Maurice, Sonia Shukla, née d’une mère indienne et d’un père mauricien, s’est frayée un chemin dans l’industrie bollywoodienne. Elle tient le rôle principal dans le clip vidéo de la chanson « Dil Ka Sukoon », interprétée par Hemant Brijwasi.</p> <p>« Dil Ka Sukoon est une chanson romantique qui reçoit beaucoup d’éloges. L’équipe a des retours très positifs sur le clip, notamment sur le lieu, les costumes, ainsi que la musique et les paroles. Certains disent que cette belle chanson évoque les grands succès des années 90 », confie Sonia Shukla. </p> <p>« Dil Ka Sukoon » est le deuxième clip vidéo dans lequel elle apparaît. Le premier, « Tera Vaar », sorti il y a un an, a également connu un vif succès. Un troisième clip vidéo est prévu pour être lancé dans un mois. Cependant, l’actrice se prépare actuellement pour le tournage d’un film bollywoodien où elle incarnera le rôle féminin principal. La sortie du film est prévue pour 2025.  </p> <p>« C’est un honneur pour moi, ma famille et mon pays. Il s’agit d’une comédie dramatique, et je vais partager l’écran avec Amit Misra. Je suis à la fois contente et excitée. Cela a toujours été mon rêve de jouer dans un film », avance Sonia Shukla.</p> <p>En effet, devenir actrice a toujours été un rêve pour Sonia Shukla. Après avoir effectué sa scolarité à Maurice, elle a poursuivi des études universitaires en informatique en Irlande, où elle a également eu l’opportunité d’effectuer des stages dans des entreprises spécialisées. Forte de cette expérience, elle a débuté sa carrière dans le secteur de l’informatique, collaborant avec des entreprises de renom à Dublin, en Irlande. Par la suite, elle a rejoint le monde de l’aviation en tant qu’hôtesse de l’air pour des compagnies aériennes européennes. Cependant, son rêve d’enfance de devenir actrice ne l’a jamais quittée. </p> <figure role="group" class="align-center"><img alt="Sonia" data-entity-type="file" data-entity-uuid="faf880a3-f5fc-4bba-9f98-bcab1abc1e11" src="/sites/default/files/inline-images/Leader%20Sonia%20Shukla%202.jpg" /><figcaption>Devenir actrice a toujours été un rêve pour Sonia Shukla.</figcaption></figure><p>« Je me souviens que, quand j’étais petite, je regardais beaucoup de films bollywoodiens. J’étais fan de Madhuri Dixit, Karishma Kapoor, entre autres. J’ai toujours rêvé d’être actrice et je n’ai jamais abandonné ce rêve », raconte Sonia Shukla.</p> <p>En 2016, elle s’installe chez une famille à Mumbai et, après quelque temps, elle décroche son premier contrat publicitaire pour un purificateur d’eau aux côtés de l’actrice Preeti Jhangiani, connue notamment pour son rôle de Kiran Khanna dans le film à succès « Mohabbatein ».</p> <p>Cette publicité lui permet de se faire connaître et, par la suite, elle reçoit des propositions pour jouer dans trois clips vidéo, dont « Tera Vaar », « Dil Ka Sukoon », ainsi qu’un troisième à paraître prochainement.</p> <p>« J’ai plus d’un demi-million de followers sur Instagram, et les chansons ont dépassé le million de vues sur les plateformes de médias sociaux. Mon objectif est de créer une plateforme et d’ouvrir des portes pour mes concitoyens afin que les aspirants acteurs puissent montrer leurs talents, poursuivre leur passion pour le jeu d’acteur et être reconnus dans l’industrie du divertissement », souligne Sonia Shukla.</p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=De%20Maurice%20%C3%A0%20Bollywood%20-%20Sonia%20Shukla%20brille%20dans%20Dil%20Ka%20Sukoon%20et%20pr%C3%A9pare%20son%20premier%20grand%20r%C3%B4le&amp;1=http%3A//defimedia.info/de-maurice-bollywood-sonia-shukla-brille-dans-dil-ka-sukoon-et-prepare-son-premier-grand-role&amp;2=node/163075" token="oLjx0oYH4JEyurDBj2XQlR-e-V4r8p5hr7HPSMhBU4k"></drupal-render-placeholder></div> Tue, 01 Oct 2024 04:27:00 +0000 Nathalie Marion Mungur 163075 at http://defimedia.info Premier Mauricien à obtenir la certification CSP : de champs de canne à l’art oratoire, la fabuleuse histoire de Ravin Papiah http://defimedia.info/premier-mauricien-obtenir-la-certification-csp-de-champs-de-canne-lart-oratoire-la-fabuleuse-histoire-de-ravin-papiah <span>Premier Mauricien à obtenir la certification CSP : de champs de canne à l’art oratoire, la fabuleuse histoire de Ravin Papiah</span> <span><a title="Voir le profil utilisateur." href="/users/defimedia" lang="" about="/users/defimedia" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">defimedia</a></span> <span>ven 27/09/2024 - 13:21</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/ravin_thumb.jpg?itok=OYILFARj" width="1280" height="720" alt="" title="En plus d’être Managing Director de Ravin Papiah Leadership International Ltd et Consultant en Leadership et Public Speaking pour Cerebrõ, Ravin est également un auteur acclamé, avec six publications classées best-sellers sur Amazon" typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>Son nom : Ravin Souvendra Papiah. Cet expert reconnu en art oratoire a franchi une belle étape en devenant le premier Mauricien à obtenir la prestigieuse certification de Certified Speaking Professional (CSP), décernée par la Virtual Speakers Association International (VSAI).<br /> <br /> « Cette certification, considérée comme le standard d’or (Gold Standard) dans le domaine de l’art oratoire, atteste de l'excellence de notre compatriote en tant qu’orateur, le plaçant dans le cercle très prisé des 10% des meilleurs orateurs mondiaux », peut-on lire dans un communiqué émis par Cerebrõ, cabinet de conseil en revitalisation de marques et de stratégie de communication, le 23 septembre.</p> <p>Ravin Papiah affirme qu’il est « comblé et ému d’être le premier Mauricien à obtenir cette distinction ». « Je tiens à exprimer ma profonde gratitude à ma famille, mes amis, mes clients, ainsi qu’à ma communauté Toastmasters qui m’a soutenu tout au long de cette aventure. Un immense merci à mes mentors et coaches qui ont cru en moi et m'ont guidé. »<br /> <br /> En plus d’être Managing Director de Ravin Papiah Leadership International Ltd et Consultant en Leadership et Public Speaking pour Cerebrõ, Ravin est également un auteur acclamé, avec six publications classées best-sellers sur Amazon.<br /> <br /> Son parcours, impressionnant et inspirant, témoigne d'une détermination sans faille ; d’un enfant fragile travaillant dans les champs de canne à sucre dans le sud de l’ile, il a su gravir les échelons pour se produire sur les scènes les plus prestigieuses à travers le monde.</p> <p>Ravin a également été le premier Mauricien à siéger au niveau du Cabinet pour le District 74 de l’Afrique australe (13 pays) l’année dernière en tant que Club Growth Director, et, cette année, en tant que Program Quality Director pour le District 129 de l’Afrique australe (9 pays).</p> <p>Sa formation académique est tout aussi remarquable, incluant un Executive Masters en Marketing de l'Université Paris-Dauphine, un MBA de Ducere Global Business School, et plusieurs diplômes de deuxième cycle en marketing et en gestion de la formation.<br /> En tant que premier CSP mauricien, Ravin Papiah ressent un profond engagement à inspirer autrui à rêver grand et à croire en leurs propres capacités. Il lance un appel à l’action : « Cela ne fait que commencer. J’espère que mon histoire encouragera d’autres à persévérer malgré les obstacles. Vous pouvez également le faire ».</p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=Premier%20Mauricien%20%C3%A0%20obtenir%20la%20certification%20CSP%20%3A%20de%20champs%20de%20canne%20%C3%A0%20l%E2%80%99art%20oratoire%2C%20la%20fabuleuse%20histoire%20de%20Ravin%20Papiah&amp;1=http%3A//defimedia.info/premier-mauricien-obtenir-la-certification-csp-de-champs-de-canne-lart-oratoire-la-fabuleuse-histoire-de-ravin-papiah&amp;2=node/163454" token="vt5i0x7Q0vph-sm5DF3VqNTxBX8KN9WjUssRcX1gCV8"></drupal-render-placeholder></div> Fri, 27 Sep 2024 09:21:52 +0000 defimedia 163454 at http://defimedia.info Voyages, délices et découvertes : le monde selon Gaëlle Victoire http://defimedia.info/voyages-delices-et-decouvertes-le-monde-selon-gaelle-victoire <span>Voyages, délices et découvertes : le monde selon Gaëlle Victoire</span> <span><a title="Voir le profil utilisateur." href="/user/3098" lang="" about="/user/3098" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">Caroline Alijean</a></span> <span>dim 15/09/2024 - 08:17</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/100924_gaelle.jpg?itok=GntJiQ9M" width="1280" height="720" alt="" title="Depuis son premier voyage à Madagascar, la jeune femme ne cesse d’explorer." typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>Globetrotteuse dans l’âme, Gaëlle Victoire explore le monde avec une curiosité insatiable et un appétit pour l’aventure. Entre récits de voyages inoubliables, découvertes culinaires et astuces de globetrotteuse avertie, plongez dans son univers vibrant où chaque destination devient une histoire à raconter.</p> <h3>Gaëlle Victoire : une carrière dans l’hôtellerie</h3> <p>« Je suis Gaëlle, détentrice d’un Bachelor en Management de l’Hôtellerie à Vatel Maurice, puis d’une maîtrise en Management International au MCCI », explique-t-elle. Depuis presque huit ans, elle évolue au sein de Beachcomber, l’un des plus prestigieux groupes hôteliers de Maurice. Son parcours au sein de cette entreprise est impressionnant : elle a commencé comme Content Coordinator, puis a progressé vers le poste de Web Content Administrator, et aujourd’hui, elle occupe la fonction de Client Acquisition Executive. « Ce secteur n’était pas un choix prédéterminé », confie-t-elle. « Je suis tombée dessus un peu par hasard, mais j’ai immédiatement su que j’étais au bon endroit. »</p> <h3>Le début d’une passion : le premier voyage à Madagascar</h3> <p>Pour Gaëlle, l’aventure a commencé à l’université. C’est là qu’elle rencontre une étudiante malgache qui l’invite à Madagascar pendant les vacances. « Mon premier voyage était à Madagascar, il y a une dizaine d’années. J’y ai passé deux semaines, et cette expérience a été marquante », raconte-t-elle. Elle se souvient encore du choc qu’elle a ressenti face à la pauvreté du pays, mais aussi de la chaleur humaine des Malgaches. « Madagascar est une destination qui peut impressionner au début, surtout pour un premier voyage, mais il y a tant de beauté à découvrir et des gens formidables. »</p> <h3>Une collection de souvenirs de neuf pays différents</h3> <p>Depuis ce premier voyage, Gaëlle n’a cessé d’explorer. Elle a visité neuf pays, chacun apportant son lot de découvertes et d’enseignements. « J’ai visité Madagascar, la Belgique, la Suisse, l’Angleterre, Hawaï (Oahu), Dubaï, la France, Majorque et l’Italie », énumère-t-elle. De ses expériences, la Belgique occupe une place particulière. « Mon stage en Belgique a été un véritable catalyseur pour ma passion du voyage », raconte Gaëlle. « J’y ai développé un goût prononcé pour la découverte de nouvelles cultures et la rencontre de personnes venant d’horizons divers. » Ce fut le point de départ d’une quête pour découvrir le monde, avec chaque voyage qui renforce un peu plus cette passion grandissante.</p> <h3>La famille et le rôle des rencontres dans son parcours de voyageuse</h3> <p>La famille a également joué un rôle clé dans son amour pour les voyages. « J’ai de la famille à l’étranger, et ils venaient souvent nous rendre visite à Maurice. Cela m’a donné envie d’inverser les rôles et de commencer à voyager moi-même », explique-t-elle. Son réseau d’amis et de relations à l’international a également contribué à son désir de voir le monde. « J’ai rencontré des gens formidables tout au long de mes voyages, et cela m’a ouvert les yeux sur de nombreuses choses. Chaque rencontre est une nouvelle perspective sur la vie. »</p> <h3>Les stratégies de Gaëlle pour voyager astucieusement</h3> <p>Voyager ne se résume pas simplement à choisir une destination. Gaëlle croit en la préparation et la planification minutieuse pour maximiser chaque expérience. « Il est essentiel d’économiser intelligemment et de rechercher les meilleures offres pour les hôtels », conseille-t-elle. « Il faut aussi bien choisir la période pour réserver des billets d’avion, surtout quand les prix sont bas. Et, évidemment, garder un œil sur les promotions des compagnies aériennes. » Pour les destinations aux climats extrêmes, comme Dubaï, choisir entre l’été et l’hiver est crucial pour éviter les désagréments liés aux températures extrêmes.</p> <h3>Un rêve à réaliser : l’Amérique latine</h3> <p>Bien que Gaëlle ait déjà exploré plusieurs continents, elle nourrit toujours le rêve de découvrir l’Amérique latine. « Cette région m’a toujours attirée, peut-être à cause de tous les documentaires que je regarde », confie-t-elle. Le mélange de cultures, la richesse des paysages, et l’histoire fascinante des pays d’Amérique latine semblent être une invitation irrésistible pour une exploratrice comme elle. Ce rêve représente pour elle la prochaine étape de son voyage initiatique à travers le monde.</p> <h3>Des conseils pragmatiques&nbsp;</h3> <p>Pour ceux qui rêvent de prendre la route, Gaëlle partage des conseils simples mais pratiques. « Foncez ! N’ayez pas peur de l’inconnu. Travaillez, économisez, planifiez, et sautez sur l’occasion de partir à l’aventure », encourage-t-elle. Pour elle, le voyage n’est pas seulement une question de destination, mais un état d’esprit. Il s’agit de s’ouvrir à de nouvelles expériences, d’apprendre des autres et, surtout, de se découvrir soi-même.</p> <h3>La gastronomie, une fenêtre sur la culture locale</h3> <p>Un des aspects les plus marquants de ses voyages est la découverte culinaire. Gaëlle est convaincue que la nourriture est une porte d’entrée vers la culture locale. « C’est à travers la cuisine que l’on découvre vraiment la culture d’un pays », dit-elle. Goûter aux spécialités locales devient alors une immersion sensorielle complète, où chaque plat raconte l’histoire d’une région, d’un peuple, d’une tradition. Que ce soit en dégustant une raclette réconfortante en Suisse ou en explorant les délices épicés de Madagascar, chaque repas est une aventure en soi.</p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=Voyages%2C%20d%C3%A9lices%20et%20d%C3%A9couvertes%20%3A%20le%20monde%20selon%20Ga%C3%ABlle%20Victoire&amp;1=http%3A//defimedia.info/voyages-delices-et-decouvertes-le-monde-selon-gaelle-victoire&amp;2=node/162822" token="FFRTm5AX12DsjzDHywzN4teS-oERtGYeO1-cCboeBto"></drupal-render-placeholder></div> Sun, 15 Sep 2024 04:17:00 +0000 Caroline Alijean 162822 at http://defimedia.info Shanny Ramsamy,  architecte de l’audace http://defimedia.info/shanny-ramsamy-architecte-de-laudace <span>Shanny Ramsamy,  architecte de l’audace</span> <span><a title="Voir le profil utilisateur." href="/user/3098" lang="" about="/user/3098" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">Caroline Alijean</a></span> <span>dim 01/09/2024 - 14:00</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/270824_shanny.jpg?itok=bVpNKvVZ" width="1280" height="720" alt="" title="Shanny Ramsamy, créatrice de contenu et directrice de Jump Advertising, a été sacrée Influencer of the year aux Influencer Awards 2024." typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>Shanny Ramsamy, créatrice de contenu, directrice de Jump Advertising, et récemment couronnée Influencer of the Year 2024, est une figure montante qui ne cesse de surprendre par son dynamisme et sa créativité. Pourtant, son parcours n’a pas toujours été tracé dans l’univers des réseaux sociaux.</p> <p>Ancienne lauréate du Queen Elizabeth College, Shanny a commencé son aventure académique dans un domaine bien différent : l’architecture. « J’ai fait des études en architecture à l’Université de Cape Town », explique-t-elle. Mais malgré les efforts investis, elle réalise rapidement que ce domaine ne l’enflamme pas autant qu’elle l’avait espéré. « L’architecture, c’est un domaine où on doit être vraiment passionné. J’ai compris que ce n’était pas pour moi en deuxième année &nbsp;», confie-t-elle avec une pointe d’honnêteté.</p> <p>C’est alors qu’un autre univers commence à lui faire de l’œil : la musique. Déjà présente sur YouTube avec des covers, elle explore les réseaux sociaux et se découvre une véritable passion pour la création de contenu. Cette nouvelle flamme l’emmène à intégrer Circus Advertising en tant que Community Manager, où elle fait ses armes dans le monde du digital. « J’ai réalisé que j’aime beaucoup les réseaux sociaux, et c’est là que tout a vraiment commencé pour moi&nbsp;», raconte-t-elle.</p> <p>Mais Shanny ne s’arrête pas là. Poussée par une envie de liberté créative et d’indépendance, elle décide de lancer sa propre agence, Jump Advertising, l’année dernière. Une petite équipe de quatre personnes, ultradynamique, se distingue sur un marché pourtant compétitif. Et pourquoi ‘Jump Advertising’&nbsp;? « Je voulais un nom avec lequel je peux faire plusieurs choses, qui soit dynamique et attire la curiosité&nbsp;», explique-t-elle. Le mot "jump" incarne cette idée de mouvement, de dynamisme, et d’innovation constante. «&nbsp;On est une petite agence, donc on peut avancer beaucoup plus vite. On est très focus sur la créativité&nbsp;», soutient Shanny. Ce qui démarque Jump Advertising des autres agences, c’est cette capacité à saisir les tendances sur le vif, à créer des vidéos percutantes qui résonnent avec le public, surtout sur des plateformes comme TikTok.</p> <p>Et cette année, c’est la consécration pour Shanny. Contactée alors qu’elle était en voyage en Afrique du Sud, elle est invitée à participer aux Influencer Awards. « Je n’étais pas très intéressée au départ, parce que je n’avais pas de temps. Mais finalement, je me suis dit, allez, pourquoi pas&nbsp;?&nbsp;», relate-t-elle. Et bien lui en a pris, puisqu’elle ressort de cette compétition non seulement avec le titre de Content Creator, mais surtout avec celui tant convoité d’Influencer of the Year. «&nbsp;Je suis très contente que mes efforts ont été reconnus », dit-elle, le sourire aux lèvres.</p> <p>Mais l’ambition de Shanny ne s’arrête pas là. Sa passion première reste la musique, et elle rêve de sortir un album bien travaillé. En attendant, elle se concentre sur l’expansion de son agence, avec pour objectif de toucher des clients plus importants afin de réaliser des vidéos encore plus extraordinaires. Entre-temps, elle continue d’explorer de nouvelles avenues créatives, comme la possibilité de lancer une web-série.</p> <p>Pour les jeunes qui aimeraient suivre ses traces, Shanny a un conseil précieux&nbsp;: « Il ne faut pas entrer dans ce domaine juste pour le côté glamour. Il faut vraiment avoir quelque chose à offrir au public, quelque chose qui leur apporte de la valeur ». Shanny Ramsamy, une inspiration pour une nouvelle génération de créateurs de contenu, nous montre que suivre ses passions peut mener à des sommets inattendus. Le parcours n’est peut-être pas linéaire, mais avec de la détermination et un esprit créatif, les possibilités sont infinies.</p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=Shanny%20Ramsamy%2C%20%C2%A0architecte%C2%A0de%C2%A0l%E2%80%99audace&amp;1=http%3A//defimedia.info/shanny-ramsamy-architecte-de-laudace&amp;2=node/162284" token="TF6Pcbx60Ni0QMdm6XT2O_gB5OScGANHQucIm1s5-OM"></drupal-render-placeholder></div> Sun, 01 Sep 2024 10:00:00 +0000 Caroline Alijean 162284 at http://defimedia.info Vershini Yukulu : l’alliance réussie entre finance et mode http://defimedia.info/vershini-yukulu-lalliance-reussie-entre-finance-et-mode <span>Vershini Yukulu : l’alliance réussie entre finance et mode</span> <span><a title="Voir le profil utilisateur." href="/user/3098" lang="" about="/user/3098" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">Caroline Alijean</a></span> <span>dim 01/09/2024 - 13:00</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/270824_vershini.jpg?itok=yx98CyJw" width="1280" height="720" alt="" title="Vershini a brillé lors des Backstage Awards en 2021, où elle a remporté le titre de ‘Best Fashionista’." typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>À 25 ans, Vershini Yukulu est la preuve vivante que l’on peut exceller à la fois dans le monde des chiffres et de la mode ! Mannequin depuis l’adolescence, elle brille autant dans les bureaux des finances que sur les podiums et réseaux sociaux. Elle conjugue avec brio ses deux vies pour inspirer et éblouir ses followers.</p> <p>À 25 ans, Vershini Yukulu est un véritable tourbillon d’énergie et de passion, jonglant entre le monde des finances et celui du marketing, tout en s’épanouissant comme créatrice de contenu influente. Diplômée en Finance et Marketing, elle travaille à plein temps dans une compagnie financière, un choix qui lui permet de combiner sa fascination pour les chiffres avec son désir de comprendre les rouages de l'économie. « La finance joue un rôle essentiel dans la compétitivité et la richesse d'un pays, ainsi que dans notre vie personnelle », explique-t-elle. Soutenue par ses parents tout au long de son parcours académique, elle ne perd jamais de vue l’importance de ses résultats, qu'elle valorise au quotidien dans son travail.</p> <p>Mais Vershini n’est pas que numéro et graphique. Depuis l’âge de 16 ans, elle est également mannequin et a su faire évoluer sa carrière en ligne. « Je voulais être indépendante au collège, donc j’ai commencé à poser pour des marques. Une fois l'école terminée, j’ai misé sur mes réseaux sociaux pour gagner en visibilité et collaborer avec des marques de chaussures, soins et vêtements ». raconte-t-elle. Cependant, elle ne se considère pas comme une influenceuse à part entière, mais plutôt comme une passionnée de création de contenu.</p> <blockquote> <p>Vershini Yukulu incarne l’équilibre parfait entre le sérieux et la créativité.</p> </blockquote> <h3>Créativité et engagement</h3> <p>Vershini a brillé lors des Backstage Awards en 2021, où elle a remporté le titre de ‘Best Fashionista’. La gratitude qu'elle ressent envers ses admirateurs est palpable : « Je suis honorée de ce titre, surtout après avoir présenté une robe rose que j’avais confectionnée moi-même. C’est un moment clé de mon parcours.&nbsp;» Cette distinction souligne son engagement et sa créativité dans le domaine de la mode.</p> <p>Dans l'univers digital, Vershini se démarque par son approche colorée et dynamique. « Je joue avec les couleurs dans mes photos, que ce soit à travers les endroits ou les tenues. C’est ce qui me distingue des autres influenceurs&nbsp;», explique-t-elle. Elle attire un public varié qui cherche des conseils sur la mode, les contenus et le lifestyle, et elle ne manque jamais d'être accessible et amicale. « J’aime rencontrer des gens, échanger des sourires et des signes de tête. C’est important pour mon image et ma personnalité d’être toujours joviale et pleine de bonnes énergies. »</p> <p>Si elle devait se décrire en trois mots, Vershini choisirait « aventurière », « ambitieuse&nbsp;» et « énergique ». « Je prends des risques car je crois que qui ne tente rien n'a rien. Je suis déterminée à faire honneur à mes parents et à moi-même avec mes projets. Même avec peu de sommeil, je suis toujours prête à donner le meilleur de moi-même &nbsp;», affirme-t-elle. Quant à l’avenir, elle reste réaliste mais ouverte aux opportunités. « Je ne vois pas vivre exclusivement de la création de contenu tout de suite, mais peut-être dans quelques années&nbsp;&nbsp;», confie-t-elle. En attendant, elle est ravie de concilier sa carrière et sa passion.</p> <p>Pour les jeunes qui rêvent de suivre ses traces, Vershini a un conseil précieux : « Ne lâchez jamais vos rêves ! Agissez ! Ne laissez pas votre parcours vous définir ou vous abattre. Laissez les défis vous rendre&nbsp;plus&nbsp;forts.&nbsp;» Avec son énergie débordante et sa passion pour la finance et la mode, Vershini Yukulu incarne l'équilibre parfait entre le sérieux et la créativité. Un modèle de réussite pour les jeunes qui aspirent à suivre leurs rêves avec détermination et joie de vivre.</p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=Vershini%20Yukulu%20%3A%20l%E2%80%99alliance%20r%C3%A9ussie%20entre%20finance%C2%A0et%C2%A0mode&amp;1=http%3A//defimedia.info/vershini-yukulu-lalliance-reussie-entre-finance-et-mode&amp;2=node/162287" token="jbf-bV81tLOEk5Li4tMupVfxVRoDrY_9TY1Wc4ZPARs"></drupal-render-placeholder></div> Sun, 01 Sep 2024 09:00:00 +0000 Caroline Alijean 162287 at http://defimedia.info Reshad Khoyratty et Ikhlas Sumodhee : deux roues, une passion partagée  http://defimedia.info/reshad-khoyratty-et-ikhlas-sumodhee-deux-roues-une-passion-partagee <span>Reshad Khoyratty et Ikhlas Sumodhee : deux roues, une passion partagée </span> <span><a title="Voir le profil utilisateur." href="/user/3098" lang="" about="/user/3098" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">Caroline Alijean</a></span> <span>dim 01/09/2024 - 08:43</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/270824_reshad_ikhlas.jpg?itok=YSdFPzFl" width="1280" height="720" alt="" title="Plusieurs courses de moto seront organisées au Stade Anjalay dans les mois à venir." typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>De la création du Motoclub en 1984 à l’épopée de courses endiablées sur l’île, plongez dans l’univers fascinant de la moto avec Reshad Khoyratty et Ikhlas Sumodhee. Découvrez comment deux passionnés ont fait de leur amour pour les deux-roues une véritable institution. </p> <p>Il est des histoires qui naissent modestement pour devenir des légendes. Celle du Motoclub en fait partie. Fondé en 1984, ce club a su s’imposer comme un acteur incontournable de la scène moto sur l’île. Il le doit à la passion indéfectible de ses membres. Parmi : Reshad Khoyratty, président du Motoclub, et Ikhlas Sumodhee, directeur de Motoscoot et trésorier du Motoclub. Aujourd’hui, ces deux passionnés nous ouvrent les portes de cet univers fascinant où la mécanique rime avec amitié et adrénaline. </p> <figure role="group" class="align-right"><img alt="reshad" data-entity-type="file" data-entity-uuid="2683494b-c2cb-4d71-99bf-186224bde680" src="/sites/default/files/inline-images/270824_reshad.jpg" /><figcaption>Reshad Khoyratty, président du Motoclub.</figcaption></figure><p>Pour Reshad Khoyratty, l’aventure commence en 1988. À l’époque, la route est encore un terrain de jeu pour les jeunes férus de vitesse. « Je roulais sur la route comme tous les jeunes, sans savoir qu’il existait un club », raconte-t-il, un brin nostalgique. C’est un membre du Motoclub qui, en voyant ses talents de pilote amateur, l’invite à rejoindre le groupe. Pour Reshad, c’est le début d’une histoire d’amour avec le monde de la moto qui ne s’arrêtera jamais. </p> <p>Mais sa passion pour la mécanique remonte à bien avant. « Dès l’âge de 10 ans, je démontais mes jouets pour comprendre comment ils fonctionnaient », se souvient-il en souriant. Une passion qui le conduira à suivre des cours en mécanique au Vocational Training Institute, tout en continuant son parcours scolaire au Royal College Port-Louis. La mécanique, il l’a dans le sang. C’est ce qui l’a amené à devenir l’un des piliers du Motoclub.</p> <h3>Une famille soudée</h3> <p>Au fil des années, le Motoclub évolue, mais une chose reste constante : l’esprit de camaraderie et de partage. « Le club est une famille. On se soutient mutuellement et on partage la même passion », explique Reshad. Ce sentiment d’appartenance est renforcé par des événements comme les courses de moto, où l’adrénaline monte en flèche. « Aujourd’hui, les courses sont très serrées. Personne ne sait qui va gagner jusqu’à la fin », ajoute-t-il en faisant un clin d’œil. </p> <p>La sécurité est devenue une priorité pour le club. « On ne peut pas aller à la boxe sans gants. Pour la moto, c’est pareil », affirme Reshad, en faisant allusion aux équipements de protection désormais obligatoires pour participer aux courses. Cette évolution témoigne de la maturité du club et de son engagement à protéger ses membres. </p> <h3>Maillon essentiel </h3> <figure role="group" class="align-left"><img alt="ikhkas" data-entity-type="file" data-entity-uuid="0e579974-ceb8-4c51-a5f8-5ae63db417f8" src="/sites/default/files/inline-images/270824_ikhlas.jpg" /><figcaption>Ikhlas Sumodhee, trésorier du Motoclub et directeur de Motoscoot.</figcaption></figure><p>De son côté, Ikhlas Sumodhee n’est pas seulement un passionné de moto, il est aussi un maillon essentiel du club. « Quand Reshad m’a proposé de devenir trésorier, j’ai tout de suite accepté », confie le directeur de Motoscoot. Sa rigueur et son dévouement ont permis au club de gérer ses finances avec une transparence exemplaire, renforçant ainsi la confiance des sponsors ainsi que des membres.</p> <p>Au fil des années, le Motoclub a su se forger une solide réputation auprès des autorités locales. « Quand on demande l’autorisation d’organiser un événement, le Clearance se passe comme sur des roulettes », déclare Ikhlas avec fierté. Ce respect mutuel s’est construit grâce à l’engagement du club à organiser des courses en toute légalité, sans compromis sur la sécurité.</p> <h3>Un rêve devenu réalité à Rodrigues</h3> <p>Parmi les moments forts de ces dernières années, il y a la première course sur l’asphalte organisée à Rodrigues. « C’était un rêve de plus de dix ans », raconte Reshad, les yeux brillants. L’événement avait rassemblé 6 000 personnes, un succès retentissant qui a marqué les esprits. « Les Rodriguais n’avaient jamais vu une telle course. C’était la fête sur l’île », ajoute-t-il.</p> <p>À l’aube de ses 40 ans, le Motoclub est plus dynamique que jamais. « Nous avons investi dans des équipements de pointe pour garantir la transparence de nos courses et cela a renforcé notre crédibilité », indique Reshad. Son rêve est de voir le club continuer à grandir, toujours dans le respect des valeurs qui l’ont fondé. « Je suis sûr que dans cinq à 10 ans, le Motoclub restera une référence, un club particulier avec un prestige indéniable », conclut-il.</p> <p>Pour Reshad, le mot de la fin est simple : « Aux jeunes passionnés de moto, rejoignez des clubs, pratiquez en toute légalité et évitez la vitesse sur la voie publique. » Une invitation à s’engager dans une aventure où la passion se transforme en héritage, où chaque membre du Motoclub contribue à écrire l’histoire de la moto sur l’île.</p> <p>Le Motoclub, ce n’est pas seulement des courses, c’est une communauté, une famille unie par l’amour des deux-roues et le respect des valeurs qui font sa force. Alors, que vous soyez un novice ou un pilote chevronné, une chose est sûre : une fois que vous aurez goûté à la passion du Motoclub, vous ne voudrez plus jamais quitter la piste.</p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=Reshad%20Khoyratty%20et%20Ikhlas%20Sumodhee%20%3A%20deux%20roues%2C%20une%20passion%20partag%C3%A9e%C2%A0&amp;1=http%3A//defimedia.info/reshad-khoyratty-et-ikhlas-sumodhee-deux-roues-une-passion-partagee&amp;2=node/162290" token="JahoqL-xuc5wou6P6iBdLzlNZs3GBZpg8K4xepg-BGo"></drupal-render-placeholder></div> Sun, 01 Sep 2024 04:43:00 +0000 Caroline Alijean 162290 at http://defimedia.info Sandrine Raghoonauth : scènes de vie  http://defimedia.info/sandrine-raghoonauth-scenes-de-vie-0 <span>Sandrine Raghoonauth : scènes de vie </span> <span><a title="Voir le profil utilisateur." href="/users/fcapery" lang="" about="/users/fcapery" typeof="schema:Person" property="schema:name" datatype="">Fateema Capery</a></span> <span>jeu 22/08/2024 - 18:19</span> <div class="field field--name-field-main-picture field--type-image field--label-hidden field--item"> <img src="/sites/default/files/styles/node_content_picture/public/sabrina_thumb.jpg?itok=cUNWxP_u" width="1280" height="720" alt="" typeof="foaf:Image" class="img-responsive" /> </div> <div class="field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field--item"><p>Comédienne et metteur en scène, Sandrine Raghoonauth, diplômée en arts du spectacle, a enrichi le théâtre mauricien avec son engagement envers l’expression culturelle. Son tout dernier projet, « Letan Kontan », met en lumière de nouveaux talents. </p> <p>À 34 ans, Sandrine Raghoonauth est de ceux qui vont jusqu’au bout de leurs rêves. Comédienne et metteur en scène, elle confie que son amour pour le théâtre s’est manifesté pendant son enfance. À 9 ans, elle aidait sa sœur cadette qui faisait du théâtre au Lycée La Bourdonnais à répéter son texte. « Je me rappelle très bien de ce texte, c’était ‘On ne badine pas avec l’amour’ d’Alfred de Musset. Ma sœur me parlait d’accentuation et d’intonation », raconte-t-elle.</p> <img alt="Sandrine" data-entity-type="file" data-entity-uuid="659f9606-cf31-4ec6-af71-a5b3c874cfb6" src="/sites/default/files/inline-images/Sandrine%201.jpg" class="align-center" /><p>Quelques années plus tard, elle découvre la pièce « Les Amazones », écrite par Jean-Marie Chevret, à la télévision et sera enchantée par la vivacité des comédiens. C’est ce qui l’incite à intégrer les clubs de théâtre au Lycée La Bourdonnais où elle a fait sa scolarité. </p> <p>Son amour pour le théâtre lui permet notamment de surmonter sa timidité pendant cette période de sa vie. « Au début j’avais du mal à parler devant la classe, allant jusqu’à bégayer. Le théâtre, et aussi le chant m’ont sauvée. »</p> <p>Son talent ne passe pas inaperçu auprès de ses enseignants. Sandrine Raghoonauth s’investit de plus en plus. Coup de chance pour elle, l’option théâtre est ajoutée au programme scolaire pour la première fois en 2006. C’est ainsi qu’à l’âge de 14 ans, elle monte pour la première fois sur les planches du théâtre Serge Constantin pour participer à un monologue de la pièce « Antigone ».</p> <p>« Être devant les lumières et un public a juste été magnifique », se remémore-t-elle. Cette participation confirme son choix pour le théâtre. </p> <img alt="Sandrine" data-entity-type="file" data-entity-uuid="8ae1731a-c985-465f-a527-c23727f019ca" src="/sites/default/files/inline-images/sandrine%202.jpg" class="align-center" /><p>Sandrine Raghoonauth est par la suite invitée par son professeur de théâtre à rejoindre la troupe « Theatralis » pour jouer le rôle de Frosine dans « l’Avare » de Molière. Elle a alors 19 ans et se fait de plus en plus connaître sur la scène puisque de là, les projets théâtraux vont vite s’enchaîner. « Il faut dire aussi que pendant tout ce temps, mes parents m’ont beaucoup soutenue. Ils ont vu que j’avais cette fièvre de jouer sur scène et m’ont toujours encouragée à faire ce que je voulais. J’avais cette liberté de faire différentes activités dont le théâtre, le chant et le sport », dit-elle.</p> <p><strong>Metteur en scène</strong></p> <p>Le déclic pour en apprendre plus sur ce métier viendra après sa participation à « Les Théâtrales » en 2016 à Maurice. Sa master class avec le comédien français Francis Perrin est un tournant décisif, et l’encourage à approfondir ses connaissances en France. Elle met le cap sur l’Université Bordeaux Montaigne, où elle fait des études en arts du spectacle avant de retourner à Maurice quatre ans plus tard. </p> <img alt="sandrine" data-entity-type="file" data-entity-uuid="3cd207cf-7bd8-4079-aa0c-780a35e4cb4a" src="/sites/default/files/inline-images/sandrine%203.jpg" class="align-center" /><p>Depuis, elle est régulièrement sur scène un peu partout à travers l’île, pour plusieurs projets artistiques, pas uniquement le théâtre classique. En freelance, elle ne se limite pas et reste ouverte aux projets culturels. En sus d’être actrice, elle fait de la lecture scénique, de la voix-off et du doublage pour gagner sa vie car seul le théâtre ne nourrit pas son homme.</p> <img alt="Sandrine" data-entity-type="file" data-entity-uuid="9e1531ce-b1bf-4b8e-af43-f6895c76c399" src="/sites/default/files/inline-images/sandrine%204.jpg" class="align-center" /><p>L’année dernière, Sandrine Raghoonauth se lance un nouveau défi : celui d’être metteur en scène d’un spectacle avec ses élèves de théâtre. La pièce « Carton Plein », en 2023, est le fruit d’un atelier de théâtre pour adultes qu’elle a dirigé. Un projet ambitieux à travers lequel elle a permis à de nouveaux comédiens de monter sur scène pour la première fois et d’explorer diverses émotions à travers des textes qu’ils ont eux-mêmes écrits. « La pièce se distingue par sa structure non conventionnelle, offrant des tranches de vie avec un fil conducteur qui aborde des thèmes d’actualité, de politique et de société », raconte-t-elle.</p> <p>Elle renouvelle l’expérience en mettant en avant ses six élèves de théâtre de cette année en présentant la pièce « Letan Kontan ». Toujours dans le but de revitaliser et de diversifier le théâtre local, tout en partageant ses connaissances, afin d’inspirer les artistes en herbe à poursuivre leurs passions et à contribuer à la richesse culturelle de Maurice.</p> <p><strong>« Letan Kontan », le tout dernier projet en date</strong></p> <img alt="Sandrine" data-entity-type="file" data-entity-uuid="d5ea3c15-bbaa-4952-b1f8-b0ae41056cc8" src="/sites/default/files/inline-images/Sandrine%205.jpg" class="align-center" /><p>La création théâtrale « Letan Kontan » sera proposée les vendredi 23 et samedi 24 août à La Maison de l’Etoile, Eurêka, à Moka. Ce tout nouveau projet, mis en scène par Sandrine Raghoonauth, met en avant ses six élèves de théâtre : Elvin Beetun, Jena Gunnoo, Isabelle Pellegrin, Jérome Rochecouste, Juletta Julien et Yannick Nayna. La pièce a été écrite par ces six comédiens qui seront sur une scène de théâtre pour la première fois. Les deux séances sont prévues à 19 h 30 et le billet est à Rs 500. <br />  </p> </div> <div class="field field--name-field-disqus field--type-disqus-comment field--label-hidden field--item"><drupal-render-placeholder callback="Drupal\disqus\Element\Disqus::displayDisqusComments" arguments="0=Sandrine%20Raghoonauth%20%3A%20sc%C3%A8nes%20de%20vie%C2%A0&amp;1=http%3A//defimedia.info/sandrine-raghoonauth-scenes-de-vie-0&amp;2=node/162127" token="yC7hKO4O7uRwaRoTrnOhi2IpjiDYhKYiffNowPqNfM0"></drupal-render-placeholder></div> Thu, 22 Aug 2024 14:19:04 +0000 Fateema Capery 162127 at http://defimedia.info