On n’en finit plus de parler de « Missier Moustass » et de ses fameux enregistrements. Véritable figure de l’ombre à la moustache bien taillée, il en a sous le poil, ce mystérieux homme des bandes sonores ! Comme le dit un dicton : « La moustache ne ment pas, mais elle sait tout. » Aujourd’hui, « Missier Moustass » est au cœur de toutes les conversations ; il jongle avec les secrets comme un coiffeur avec ses ciseaux, prêt à écorner l’image de bien des figures publiques.
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À poil et à… moustache
Avec chaque bande sonore qui « inn fini poste », certains politiciens et des proches du pouvoir se retrouvent un peu plus « sans moustache » : exposés, nus sous le feu des projecteurs, leurs petites manigances désormais en vitrine pour le grand public. Les mauvaises langues disent que ces enregistrements enlèvent à certains leur « moustache de respectabilité », faisant tomber le masque et exposant leurs véritables intentions. D’autres politiciens se frottent les mains, savourant chaque phrase capturée avec l'enthousiasme de celui qui taille un poil dans la main, sans effort mais avec plaisir.
Pour le public, cette affaire de moustache devient une sorte de miroir. Comme on dit souvent, « si ta moustache pique, c’est qu’il est temps de se raser les illusions. » Beaucoup découvrent la politique sous un nouveau jour, avec une moustache faussement sage qui cache bien des choses. Les électeurs, mi-amusés, mi-inquiets, se demandent ce qui peut bien se cacher derrière cette moustache bien fournie qu’est le gouvernement.
Entre poil dans la main et coup de tondeuse
Et puis, il y a les citoyens eux-mêmes. Certains se disent « moustachés » par cette invasion de la vie privée. Qui aurait cru qu’au XXIe siècle, une simple moustache sonore pouvait semer une telle zizanie ? Ils voient la vie privée se faire tailler comme une barbe mal entretenue, et la peur de l’espionnage s’installe dans les esprits. Les plus superstitieux diront même que cette « moustache invisible » est le symbole d’un pouvoir aux abois, pris dans ses propres poils.
Chez les hommes d’affaires et les diplomates, on tremble en passant la main sous le nez. Personne ne veut voir sa propre moustache arrachée et ses affaires mises à nu sur les réseaux sociaux. Que l’on soit moustachu ou pas, chacun garde son poil raide, car il ne fait pas bon voir ses petites confidences devenir le feuilleton quotidien du pays.
Finalement, tout le monde attend le 11 novembre pour voir si « Missier Moustass » parviendra à faire « tomber la moustache » du gouvernement ou s’il sera épilé et mis à nu au cas échéant. Alors, « ki nouvo ? » Comme on dit par ici : « Quand la moustache est en feu, c’est tout le visage qui en prend un coup. »
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