Le Shift System introduit dans le département des urgences de la Santé publique sera bientôt étendu aux autres services, a annoncé Anil Gayan. Il a précisé que cette mesure devrait être effective dans deux ou trois mois.
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Cela fait une dizaine d’années que le Pr Tabatabay et son équipe viennent à Maurice pour des interventions délicates des yeux mais aussi pour la formation des chirurgiens locaux. Ce nouvel accord va dans le droit fil de la volonté du ministère d’offrir davantage la possibilité aux Mauriciens d’être opérés à Maurice au lieu d’aller à l’étranger.
Selon le ministre Anil Gayan, l’extension du Shift System aux autres départements des hôpitaux régionaux devrait permettre le recrutement de 250 à 300 médecins additionnels et ainsi absorber un bon nombre de ceux actuellement au chômage. Ce nouveau projet, qui devrait être effectif dans deux ou trois mois, vise aussi à résoudre certains problèmes qui ont été observés, comme la disparité de salaires entre les médecins affectés au département des urgences et ceux travaillant dans les autres services. Pour le ministre, tous les médecins seront sur un pied d’égalité avec l’introduction du Shift System à tous les services.
Le ministre Anil Gayan et le Professeur Cyrus Tabatabay, qui dirige la Teaching Eyes Surgery Foundation, ont également signé un accord de collaboration pour pérenniser et solidifier les missions de coopération entre la Suisse et Maurice en ce qu’il s’agit de la chirurgie ophtalmologique.
Gayan rappelle les infirmiers à leurs devoirs
« Vos manifestations ne m’impressionnent pas ! » a lancé le ministre de la Santé Anil Gayan aux infirmiers, à l’auditorium Octave Wiehé jeudi. Ces derniers s’étaient réunis à l’initiative de la Nursing Association à l’occasion de la Journée internationale des infirmiers. Tout en reconnaissant la valeur et l’importance de ces professionnels de la santé, Anil Gayan n’a pas mâché ses mots concernant les manifestations. Le président de la Nursing Association, Ram Nowzadick, a répliqué que si une ligne de communication entre le ministère et les syndicats était établie, les infirmiers n’auraient pas eu à descendre dans la rue pour exprimer leurs griefs. <Publicité
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